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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:34
Dévoilement
 
 

Le métro était presque vide en ce début d'après-midi. Cette fois, Anne n'hésita pas à s'asseoir. Deux jeunes Africains debout près de la porte ne cessaient de la regarder. La petite jupe noire qu'elle portait la veille lors de sa première rencontre avec Rodolphe découvrait largement ses belles jambes nues, mais elle imaginait ce qu'auraient éprouvé les deux jeunes Noirs, s'ils avaient su que cette belle fille qu'ils contemplaient si avidement ne portait rien sous sa jupe, comme Rodolphe le lui avait ordonné la veille au soir. Elle songeait aussi au programme sur lequel ils s'étaient mis d'accord et dont l'audace la troublait vivement.

Dans le hall de son hôtel Rodolphe fumait la pipe en lisant un magazine. Il parut heureux de voir arriver la jeune fille et aussitôt , vec elle, il se dirigea vers l'ascenseur.

Dans la chambre confortable qu'il occupait, il commença à s'asseoir en laissant debout devant lui la jeune Valeria qui attendait tremblante ce à quoi elle avait consenti .

- Retirez votre veste et écoutez-moi. Il m'est revenu, commença-t-il, que vous osez vous promener en ville sans porter de culotte. Si cela était confirmé, je l'estimerais parfaitement indécent.

Valeria toute rougissante le nia et prétendit que cela ne lui était jamais arrivé.

- Eh bien, poursuivit Rodolphe, nous allons le vérifier immédiatement.

- Oh non! s'écria la jeune fille, j'aurais trop honte

- Si, comme vous l'affirmez, vous n'êtes pas nue sous votre jupe, vous n'avez aucune raison d'avoir honte. Tout au plus, je verrai votre petite culotte. Lorsque vous êtes en maillot sur la plage, vous vous montrez bien ainsi.

Comme la jeune fille ne bougeait pas, il lui suggéra, puisqu'elle était tellement gênée, de se retourner , mais il exigeait alors qu'elle relevât immédiatement sa jupe jusqu'à la taille. Valeria lui tourna le dos et commença à relever sa jupe. Soudain elle eut conscience qu'elle allait lui montrer ses fesses nues, ce qui lui faisait encore plus honte que le contact purement tactile de la veille. Quand elle eut remonté tout à fait sa jupe et imaginé le regard qu'il devait porter sur le spectacle qu'elle lui offrait maintenant, il s'exclama :

- Parfait, me voilà édifié. Vous pouvez baisser votre jupe et vous retourner.

Quand elle lui fit face à nouveau, elle hésitait à rencontrer le regard de l'homme devant lequel elle venait de s'exposer.

- Regardez-moi, Valeria. Ne pensez-vous pas que vous méritez une bonne punition pour avoir aggravé votre faute par un mensonge? Comment monsieur votre père vous punissait-il quand vous vous conduisiez mal ?

- Il lui arrivait de me donner la fessée, répondit-elle toute confuse

- Il avait bien raison et c'est ce que vous méritez aujourd'hui. Je vais vous administrer quarante claques sur vos fesses nues : vingt pour être sortie sans culotte, vingt pour avoir menti.

- Oh, non Monsieur, vous ne pouvez pas le faire : je suis trop grande maintenant.

- Et pourquoi , je vous prie, ne devrais-je pas vous donner une bonne fessée ?

- Mais j'aurais bien trop honte

- Je m'en doute bien , mais la honte que vous allez éprouver fera partie de la punition. En revanche, je serai bon prince. Puisque c'est votre première fessée de grande fille, vous en réglerez vous-même l'intensité. Je commencerai très doucement, et vous me demanderez de vous frapper plus fort tant que vous pourrez le supporter. A partir de ce moment, je vous administrerai les quarante claques que je vous ai annoncées et je vous prierai d'avoir l'obligeance de les compter. Si jamais vous l'oubliez, les claques que vous recevrez alors ne feront pas partie des quarante. Allez, maintenant venez vous étendre sur mes genoux.

Lorsqu'elle fut installée, il releva très lentement sa jupe. Elle sentit le tissu remonter le long de ses cuisses et bientôt elle dut se soulever un peu pour dégager ses fesses qui maintenant s'étalaient dans toute leur nudité. Elle ne put s'empêcher de rougir en pensant qu'il les voyait maintenant de si près, tellement exposées et prêtes pour la correction.

Comme pour prolonger son humiliation, il ne la toucha pas tout de suite. Instinctivement elle se contractait dans l'attente de la première claque. Mais, comme il l'avait promis, il la frappa à peine. C'était presque comme une caresse. Et ce fut elle qui murmura :

- Plus fort, s'il vous plaît, monsieur!

Progressivement, l'intensité des claques augmenta.. A un moment, elle lui dit :

- Comme ça, c'est bien!

Alors commença la correction proprement dite. Elle sentait sa peau nue brûler sous les claques, mais c'était finalement très supportable. Et bientôt la souffrance se confondant avec le sentiment de son humiliation, elle éprouva un plaisir si vif qu'elle trouva que le terme de la punition arrivait bien trop vite. Elle fut même tentée d'oublier de compter pour faire durer la fessée mais elle pensa qu'elle aurait bien d'autres occasions d'être punie plus sévèrement.

Elle reçut l'ordre d'aller se mettre debout dans un coin, le nez collé au mur. Et tout de suite Rodolphe lui demanda de retirer sa jupe. Elle la laissa tomber à ses pieds, se dénudant à nouveau. Elle dut rester ainsi pendant plusieurs minutes, exposée comme une petite fille punie, le sentant derrière elle, silencieux et attentif. Puis il lui dit de retirer son chemisier. Lorsqu'elle l'eut défait, elle ne portait plus rien sur elle. Il la laissa ainsi pendant un long moment avant de la prier de se retourner.

En lui faisant face, elle ne put s'empêcher de cacher ses seins et son sexe en se protégeant des mains. Mais d'une voix très sévère il lui dit :

- Les mains derrière la tête.

En proie à un violent accès de honte, elle obéit néanmoins, se sentant totalement exposée.

- Levez la tête, je vous prie et regardez-moi.

Alors Valeria, tremblante de honte, dut croiser son regard qui la détaillait impitoyablement. Cette fois, elle ne pouvait plus cacher ses seins dont les pointes malgré elle s'étaient durcies. Son ventre, ses cuisses, la toison blonde de son sexe s'offraient maintenant en pleine lumière devant cet homme élégamment vêtu d'un costume trois pièces. Assis dans le fauteuil, il la regardait en silence, sans sourire. Mais au milieu de sa confusion elle continuait de ressentir un émoi fort agréable, et songeait qu'elle n'avait pas encore fini de se dénuder pour lui, qu'elle allait devoir lui montrer les parties les plus secrètes de son intimité.

Il lui ordonna de s'agenouiller sur le lit en lui tournant le dos puis d'abaisser sa tête en écartant les jambes. Là , elle sut qu'elle exposait devant lui aussi bien les lèvres de son sexe que le petit anneau plus sombre qui se cachait dans le sillon de ses fesses. Il lui demanda de nommer ce qu'elle lui montrait. Elle murmura :

- Je vous montre mon sexe et...

Mais sa voix s'étouffa et elle ne put continuer.

- J'attends que vous appeliez par son nom ce que vous me montrez avec tant d'indécence.

Alors elle réussit péniblement à articuler :
- Je vous montre mon anus
- Dites le plus fort et plus distinctement.
Elle répéta sa phrase.
- Qu'éprouvez vous en ce moment, Valeria ?
- J'ai honte, monsieur
- Honte de quoi ?
- de vous montrer mon anus
- Alors dites-le.

Et elle s'entendit prononcer clairement ces mots qui redoublaient sa honte :

- Monsieur, j'ai honte de vous montrer mon anus.

Elle dut ensuite s'allonger sur le dos, ouvrir largement ses jambes, écarter les lèvres humides de son sexe, et montrer les délicates petites lèvres qui se rejoignaient au-dessous du bouton gonflé de son clitoris, puis introduire un doigt dans son vagin que le plaisir naissant avait parfaitement lubrifié.

- C'est suffisant pour cette fois, vous pouvez vous rhabiller.

Les joues encore toutes rouges, elle se releva pour aller prendre ses vêtements mais il ne lui permit pas de remettre son chemisier. Elle devrait donc repartir seulement vêtue de sa jupe et de sa veste dont le décolleté laissait entrevoir la naissance de ses seins. Elle quitta Rodolphe après avoir fixé avec lui le déroulement de la prochaine séance.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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