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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:32
Colin-maillard
 
 Durant la semaine qui s'écoula, Valeria avait pour mission d'entrer en contact avec un autre homme, celui chez lequel Rodolphe la conduirait les yeux bandés.

Elle eut recours à nouveau au Minitel. Elle procéda avec soin comme la première fois et finit par trouver un correspondant intéressé par son message : "JF non vénale aux formes élancées que son ami aime montrer à un inconnu." Elle lui expliqua qu'elle se rendrait chez lui avec son ami, qu'elle aurait les yeux bandés, qu'il n'aurait pas le droit de la toucher et que son ami se mettrait d'accord avec lui pour déterminer les formes que prendrait cette exhibition.

Le jour convenu, Rodolphe, en présence de Valeria, téléphona à l'inconnu et lui indiqua en détail le déroulement de la séance.

Pour cette visite, Valéria était vêtue de façon plus stricte : elle portait une robe assez longue sous laquelle elle avait été autorisée à porter un slip et un. soutien –gorge.

Quand ils arrivèrent dans l'immeuble de l'inconnu et qu'ils eurent pris l'ascenseur, Rodolphe couvrit les yeux de Valeria d'un bandeau noir. La porte de l'appartement s'ouvrit et Valéria entendit une voix qui leur souhaitait la bienvenue. On la laissa debout pendant que l'inconnu offrait à Rodolphe une boisson. Puis on lui demanda de retirer sa veste, sa jupe et son chemisier. Elle obéit et se retrouva en soutien-gorge et petite culotte. Ce fut plus gênant quand il lui fut demandé de dénuder sa poitrine. On la fit tourner sur elle-même pour admirer ses seins de face et de profil. Elle pensait que cet inconnu dont elle ne verrait pas le visage était en train de la voir se déshabiller complètement. Puis Rodolphe lui demanda de se retourner et de quitter sa petite culotte.

Lentement, elle la fit glisser, sentant qu'elle livrait ses fesses nues à la vue des deux hommes et en particulier de l'inconnu. Elle dut se retourner et rester un long moment face à eux pour leur exposer sa totale nudité.

Elle ressentit alors un besoin d'aller aux toilettes : Rodolphe lui déclara qu'il n'en était pas question et qu'elle allait se soulager ici, devant eux. Il demanda à l'inconnu d'aller chercher une cuvette ou un quelconque récipient. Elle frémit à l'idée de l'humiliation qu'on lui préparait : elle allait devoir se livrer à cette opération intime devant deux hommes dont l'un lui était totalement inconnu.

On la laissa debout en lui faisant appuyer ses fesses contre une table, puis on lui demanda d'écarter largement les jambes et l'on plaça sous elle une bassine, entre ses pieds. Elle était tellement troublée et honteuse qu'elle ne réussissait pas à uriner. Rodolphe s'approcha, la gifla à toute volée. Le jet partit immédiatement et comme son envie était forte, elle dut pendant un long moment laisser s'échapper d'elle son urine tiède et colorée. Heureusement qu'elle pouvait cacher sa honte derrière le bandeau qui lui couvrait les yeux!

Lorsqu'elle eut terminé, on ne retira pas la bassine, qui resta pour témoigner de son humiliation. Elle dut se coucher sur la table et ouvrir ses cuisses le plus largement pour laisser voir son sexe rose. Elle fut contrainte de l'ouvrir et de le montrer tout entier. Elle était déjà passablement troublée, lorsque Rodolphe lui demanda de se caresser devant l'inconnu.

Dans cette position tout à fait indécente, elle commença à effleurer doucement les lèvres de son sexe, puis songeant au spectacle qu'elle offrait, elle se sentit devenir toute humide, ce qui lui permit d'ouvrir ses lèvres sans effort et de s'emparer de son clitoris qu'elle massa délicatement avec l'un de ses doigts. Cette caresse et la pensée de ce que voyaient les deux hommes la plongèrent dans un violent état d'excitation.

Rodolphe la pria de ne pas retenir ses cris et ses gémissements de plaisir et de l'avertir au moment de son orgasme. Lorsqu'elle sentit le plaisir déferler de toutes parts, elle cria :

- Oh! je jouis, je jouis! en oubliant presque la présence des deux hommes.

On la laissa dans cette position jusqu'à ce qu'elle eût repris son souffle. Elle les entendit se lever et s'approcher d'elle. Ils se livrèrent à quelques remarques en regardant de près son sexe humide et largement ouvert. Elle se promit de se remémorer ce moment lorsqu'elle serait seule et de le savourer à nouveau. Elle put se rhabiller mais sans reprendre ses sous-vêtements qu'on laissa en souvenir à l'inconnu.

Lorsqu'elle se retrouva dans la rue, elle ne portait plus le bandeau que Rodolphe lui avait retiré dans l'ascenseur. Ils s'assirent dans un café, non loin de là. De sa sacoche, il retira un paquet de forme longue et le tendit à Valeria en lui disant :

- un cadeau pour vous

Avec impatience, elle défit le papier. C'était un fouet, un beau fouet de cuir tressé avec deux lanières. Comme le garçon approchait pour prendre leur commande, elle se hâta de remballer l'objet terrible et fascinant.

- Merci, Monsieur dit-elle simplement.

Rodolphe la pria de l'apporter lors de leur prochaine rencontre.

- Nous en aurons besoin ajouta-t-il.

Et il lui proposa un scénario pour le dimanche suivant , où elle viendrait chez lui, à la campagne.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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