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Jeudi 22 février 4 22 /02 /Fév 21:30

J’ai eu moi aussi à subir un bizutage lors de ma deuxième année de fac à Grenoble. Les anciens avaient choisis six filles et six garçons qui devaient être bizutés ce jour là.

 

Nous avons été conduit à la sorti de la ville et nous nous sommes retrouvé les douze bizuts dans la forêt qui borde la banlieue.

 

Là il nous a été demandé d’enlever tous nos vêtements. Je vis la fille se déshabiller en même temps que moi, sans oser se rebeller. Elle portait un tout petit slip façon "panthère", elle le fit descendre lentement le long de ses cuisses pour ne pas l'abimer, et je pu voir sa toison taillée trés court qui laissait entrevoir son sexe. Elle se rasait déjà, c'était étonnant pour une fille de son âge.



Une fois tous déshabillés nous avons été mis par couples. Personnellement j’étais avec une fille que je connaissais pas du tout et notre embarra été réciproque.

 

Nous avons été attachés l’un contre l’autre, mon torse et mon ventre plaqué contre son dos.

Mes mains furent passées autour de sa taille et plaquées sur sa poitrine qui était volumineuse. Les mains de la fille dont j’ignorais le nom furent tirées vers le bas. La corde qui liaient ses poignets étaient passées dans son dos et fut passée entre mes jambes afin que ses deux mains soit en contact direct avec mon sexe. Je sentais ses doigts qui effleuraient mes testicules, la tension des cordes l’obligeait à maintenir ses mains entre mes jambes. J’essayais de ne plus penser car j’avais très peur de me mettre à bander.

 

Mais ce n’était pas fini. Une fois mes mains plaqués sur ses seins, de nouveaux tours de films plastic furent fait afin de bloquer tout mouvement de bras de ma part. Je sentais sous mes doigts le bout de ses tétons qui semblaient durcis par le froid.

Afin de nous attacher très prés l’un de l’autre nous avons été enroulés avec un rouleau de film transparent étirable. Nos deux corps été tellement serrés l’un contre l’autre que malgré ses deux mains qui tentaient de faire barrage, j’avais le sexe qui rentrait dans ses fesses.

 

Une fois empaquetés et réduits à la position de statue vivante, on a mis à chacun de nous, un bonnet sur la tête afin de nous empêcher de voir la suite du bizutage. 

 

Nous étions pieds nus et le sol était froid, soudain on a commencé à nous faire tourner pour nous faire perdre le sens de l’orientation. Après plusieurs minutes nous nous sommes retrouvés apparemment seuls dans la forêt, incapable de voir ou nous devions marcher pour chercher du secours. Nous ne pouvions pas nous asseoir car les liens étaient trop serrés.

 

Plantés là, sans pouvoir réagir, nous essayons de bouger pour essayer de détendre nos liens. A chaque mouvement je sentais les deux mains de la fille qui s’appuyaient sur mon sexe et sur mes testicules. Je ne pouvais arrêter mon érection. La fille avait beau essayer de placer ses mains autrement, rien n’y faisait le contact était toujours aussi direct.

 

Soudain une douleur violente sur les fesses me fit crier de toutes mes forces. On me frappait les fesses certainement avec une branche, car je sentais à chaque coup la morsure de quelque chose de fin et très souple qui me déchirait le derrière.

Un des garçons dit à haute voix : Tant que tu banderas tu recevras des coups sur les fesses.

Au dixième coup je ne bandais absolument plus et ma seule obsession était d’essayer d’éviter les coups en me déplaçant au hasard.

 

Au bout de quelques minutes d’interruption, on nous enleva les bonnets qui nous empêchaient de voir. Les six autres « couples » étaient également attachés de la même manière à côté de nous. Le maître de cérémonie nous dit que des paires de ciseaux étaient posées autour de nous et qu’ne cherchant bien nous pourrions les trouver et parvenir à nous détacher. Nos vêtements étaient suspendus à des branches d’arbres, nous n’aurions plus qu’à les récupérer.

Le groupe d’ancien nous abandonnât et les six couples de bizuts commencèrent à chercher les paires de ciseaux.

Pour ma part, j’ai vite repérer une paire et il a fallu nous allonger par terre pour que ma « compagne » puisse avec ses mains attraper la paire de ciseaux qui se trouvait maintenant entre mes jambes sous mes bourses. Mes mains étant emprisonnées sous le film plastic, je ne pouvais pas m’en servir pour essayer de nous délivrer. Seule ma compagne d’infortune pouvait avec ses doigts attraper les ciseaux. Après de longues minutes, elle réussit à couper la corde qui liait ses poignets. La suite ne fut qu’un jeu d’enfant et au bout de quelques minutes nous étions libérés. Les premiers à avoir réussi aidaient maintenant les autres et c’était assez amusant de voir déambuler des corps nus en pleines forêts. Aucun de nous n’avait pensé à se rhabiller. En priorité il fallait délivrer tout le monde, qu’importe la pudeur. Au point ou nous en étions cela ne servait à rien de vouloir cacher notre nudité.

 

Ce bizutage a eu un effet très positif par la suite car il a véritablement soudé les 12 bizuts et tout le reste de l’année le « groupe des 12 » est resté très lié. Cette épreuve ayant été vécue de manière collective nous a rapproché et par la suite nous sommes devenus des amis inséparables. Nous nous voyons ou nous appelons toujours régulièrement. Nous organisons même chaque année une journée en mémoire de notre aventure.

 
Par Marc - Publié dans : bizutages
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