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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:21
Ma première relation sexuelle avec Patricia :
 

Je venais d’avoir dix sept ans et j’étais toujours puceau. Incapable de pousser plus avant une relation avec les filles avec qui je « flirtais » lors de nos sorties et des « boums ». Je me contentais le plus souvent de le caresser sans oser aller plus loin de peur d’avoir à me déshabiller devant elles.

 

Patricia fut la première fille avec qui se me sentis en confiance. Elle était très en avance pour son âge et je n’étais pas son « premier petit amis » attitré. Elle pratiquait aussi le naturisme, ce que j’ignorais au départ de notre rencontre.

 

Un été à la plage, après seulement quelques jours de « flirt » nous nous retrouvions dans sa chambre ( ces parents ayant un appartement dans un immeuble de la grande motte ) et je dus surmonter mon angoisse et lorsqu’elle commença à enlever ses vêtements et se mettre torse nue devant moi je fus obligé de faire pareil car elle attendait assise sur le canapé en me faisant fasse afin de ne rien manquer du spectacle de « strip tease » que j’allais lui offrir. Je sentais mes joues chauffer et je devais être rouge comme une pivoine. J’imaginais et redoutais l’instant où j’allais devoir enlever mon slip et lui montrer mon tout petit sexe. Mais je ne pouvais pas reculer et je finis par enlever en hâte tous mes vêtements et laissait tomber mon slip sur mes talons.

Patricia était devant le canapé en cuir, debout devant moi en jeans les seins à l'air qui se trouvaient sous mon nez, et moi nu comme un ver a attendre je ne sais quoi. Voir ses seins à quelques centimètres de moi me fit un effet immédiat, je commencais à voir mon pénis se redresser.


Patricia amusée par cette réaction, prit mon sexe dans sa main droite et commenca à me masturber le sexe d'avant en arrière en compressant ma verge le plus possible.


Ne pouvant pas tenir bien longtemps je ne pu me retenir et je jouis dans un temps record qui devait lui faire comprendre que j'étais un vrai puceau.


"Mais tu as joui dans mes mains gros cochon, je vais devoir te punir" me dit elle.
Tourne toi et met toi à genoux. Je m'exécutais sans oser dire non.

Mon jeans encore sur les genoux , elle passa ses mains à l'intérieur pour le baisser complètement. je me mis maladroitement en position et attendit.


J'étais les fesses offertes et vraiment géné par cette position qui ne cachait rien de mon ventre jambes. Elle me fit basculer en avant  et m'enleva mon jeans.

J'étais à quatre pattes nu, les fesses écartées dans un position ridicule.
"Je vais te traire comme une vache tu as trop de lait dans ton ventre" me dit-elle en éclatant de rire.

Elle saisi mes bourses avec une main et de l'autre commença à me carresser.
Puis elle décida de passer à la véritable "traite". Appuyant une main sur mes fesses pour me forcer à rester en place, elle se mit à me masturber à toute vitesse avec l'autre main.

C'était agréable mais la position impudique que je devais conserver m'empéchait de bander correctement, je ne pouvais détacher mon esprit de la vision qu'elle avait de mes fesses, de mon anus offert et de mes testicules maltraitées.


Je ne pus retenir longtemps mon envie d'éjaculer et  je lui joui une deuxième fois dans les mains.

"A c'est bien, tu commence à te vider" 
Ce n'est rien me dit-elle, nous allons recommencer........
Elle prit à nouveau mon pénis entre ses doigts et le caressa pour me faire à nouveau bander.

Patricia compris très vite que je n’avais jamais pénétré une fille et elle prit les choses en main pour guider mon petit sexe redevenu dur comme du bois vers la toison que je devinais en regardant les yeux baissés.

 

Ce premier contact chaud et humide se traduit immédiatement par un effet à la fois atroce et incontrôlable. Je sentis une poussée irrésistible dans ma verge et je ne pus une fois de plus me retenir. Je jouis dans les secondes qui suivirent avant même d’avoir pu réellement la pénétrer.

 

Patricia eu les mots qu’il fallait pour me réconforter et sa patience força mon admiration lorsqu’elle entreprit de me caresser pour me faire rebander. Elle me fit mettre à genoux devant le canapé, le pantalon baissé pour pouvoir bien dégager mon pénis et les bras relevé au dessus de ma tête. Elle saisi à pleine main mes testicules tout en les massant et les tirant avec ses doigts experts. Elle tirait en l'air mon pénis avec vigueur.


Puis elle me fit de nouveau allonger sur le lit. Elle approcha sa tête de mon sexe et le prit délicatement dans sa bouche. Elle entreprit de me refaire bander une troisième fois en me sucant profondément avec sa bouche. Sa main gauche guidait le mouvement de va et vient.


J’étais aux anges, enfin je pouvais me retrouver nu devant une fille sans avoir envie de fuir. Le reste de l’après midi fut très agréable et je pensais pouvoir maintenant laisser derrière moi mes complexes.

 

Quelques jours plus tard, elle me dit que nous allions aller retrouver des amis et sa famille à la plage pour partager avec eux un pique nique. Je me retrouvais donc avec elle sur la plage de Maguelone qui était réservée aux nudistes. Je me sentais pris au piège, mais je ne pouvais faire marche arrière. Une fois arrivé sur la plage, je fus présenté à tous ses amis et parents qui étais tous nus comme des vers et bronzés comme des antillais. Moi qui étais blanc comme un linge, le contraste était frappant.

 

Je dus enlever tous mes vêtements et je me retrouvais dans le plus simple appareil en présence d’inconnus qui semblaient ne pas faire cas de ma particularité. J’étais gêné par la position des femmes qui me faisaient face et qui avait une vue plongeante sur mon entre jambe exposé à leurs regards. Etant assis en « tailleur » comme les autres pour partager le repas, je ne pouvais serrer les jambes et lui cacher mon intimité.

En face de moi se trouvait la fille de l'un des amis de Patricia. Elle devait avoir  une vingtaine d'année , c'était une superbe brune, ses seins étaient petits mais trés jolis. Ils portaient la marque de bronzage du maillot et cela accentuait le coté érotique. Elle ne semblait absolument pas génée de se trouver en face de moi les jambes écartée, me laissant voir son  sexe qui été parfaitement épilé. Seuls quelques poils sur le pubis montraient qu'il ne s'agissait pas une enfant.


Les mères étaient également assises les jambes écartées et me regardaient avec interêt.
L’une d’elle eut un sourire à peine dissimulé car elle se rendit compte de mon embarras et de sa cause. Elle fixait intensément mon pénis recroquevillé et semblait s’en amuser à mes dépends.


Son mari assis à coté d’elle avait un sexe qui me paraissait énorme à coté du mien. Plus je pensais à cela et plus mon sexe semblait se rétracter et rentrer dans mon corps. Si cela continuait bientôt on ne pourrait plus le voir.

 

Après avoir mangé, les filles décidèrent de faire une partie de ballon  et je dus me mettre debout avec elles pour former une équipe mixte. Je regardais du coin de l’œil tous ces sexes exposés sans aucune gène et qui ne faisaient qu’accentuer mon complexe et ma différence. J’avais l’impression d’être un nouveau né tout nu devant des adultes, mais surtout géner de m'exposer devant les filles de mon âge.


 La gêne accentuait la rétractation de mon pénis et cela ne pouvait passer inaperçue. Les filles elles jouaient tout naturellement sans se préoccuper de leur nudité.


 

Cette partie de ballon fut pour moi un véritable supplice car à chaque mouvement je sentais mon sexe être l’objet des regards amusés. Les filles devaient se moquer de moi dans leurs têtes car leurs regards semblaient être plus attirés par le spectacle affligeant de mon mini pénis que par le jeu en lui-même. J’étais exposé à la vue de tous grands et petits et chaque fois que je tournais la tête, c’était pour voir un garçon ou un homme avec un sexe bien plus gros que le mien. J’avais du mal à cacher ma honte.

Je retournais m'assoir au bord de l'eau, pour ne plus me montrer, mais devant moi trois filles de la famille des voisins de Patricia me faisaient face. Elles étaient allongées toute les trois sur le sable et se faisaient bronzer entièrement nues et sans aucune gène.


L'une d'elle me proposa de venir m'assoir. J'étais mort de honte de me tenir ainsi tout nu devant les filles dont le visage était à hauteur de mon pénis. Je ne pouvais pas me cacher et je mis à bredouiller.

 En face de moi une autre fille me faisait face, entièrement nue, les jambes croisées de façon trés naturelle.
"Viens avec nous, on va aller se baigner" me dit-elle

"Je dois rentrer à l'appartement , j'ai trés mal à la tête, sans doute le soleil" lui répondis je complètement décontenancé par son aplomb.

Je décidais de partir et j'ordonnais à Patricia de quitter la plage avec moi, car je ne pouvais plus supporter de me montrer à tous comme une bête de foire. Elle fut trés vexée de ce départ précipité et me demanda de la suivre chez elle.

 

Une fois dans sa chambre elle me dit que ma réaction était stupide et qu’il fallait qu’elle me punisse pour l’avoir privée d’une superbe après midi de plage.

Je ne compris pas tout de suite le sens de ce mot punition. Elle me dit que si je voulais continuer à sortir avec elle, je devais lui obéir sans discuter. Elle me dit que j’allais devoir rester ici car elle comptait bien retourner sur la plage avec ses amis et parents.

 

Elle m’enleva mon maillot de bain et mon tee-shirt et je me retrouvais nu devant elle. Elle me dit de reste là et de m’attendre sans bouger. Elle revint avec un gros rouleau de cordes et me demanda de me retourner et de mettre mes mains dans mon dos. De peur de la sanction promise, je préférais lui obéir sans poser de questions. Nous étions seuls, abrités des regards indiscrets et apparemment je ne risquais pas grand-chose à lui obéir.

Elle se mit à me ligoter les poignets et les bras.La corde passait derrière mes coudes et je ne pouvais absolument plus faire le moindre mouvement.


 J’étais sans défense et je ne pouvais plus me protéger. Elle me poussa sur le lit et je tombais à plat ventre. Patricia me replia les jambes en arrière, les genoux écartés au maximum pour être bien en appui sur le lit afin que je ne puisse pas me retourner. Elle attacha ensembles mes chevilles avec plusieurs tours de cordes. Une fois mes genoux écartelés solidement bloqués et mes chevilles attachées entre elles, elle les tira vers mes bras et refit passer à nouveau les cordes entre mes poignets et mes chevilles afin que je ne puisse plus bouger et faire un mouvement.

C’était cela ma punition j’allais devoir rester là attaché et nu, à plat ventre dans l’appartement de ses parents et attendre que Patricia veuille bien venir me délivrer. La peur de l’entendre dire qu’elle ne voulait plus sortir avec moi me fit accepter cette punition sans un mot de réprobation.

 

Patricia me dit de ne plus bouger. Elle revint quelques secondes après et me banda les yeux pour une raison que je ne comprenais pas. Mais loin de moi l’idée de discuter. J’acceptais la sentence sans broncher.

J’entendis la porte claquer et je ne pus éviter un frisson de peur compte tenu de ma situation.

Il m’était impossible de me retourner, je devrais donc rester dans cette position inconfortable pour un temps que je ne pouvais évaluer, en espérant que personne d’autre ne vienne dans l’appartement avant que Patricia ne revienne.

 

Plaqué contre le lit, je commençais à transpirer sur le dessus de lit, quelques minutes plus tard, j’étais en nage et je commençais à glisser sur la soie du dessus de lit. Pour ne pas avoir de crampes j’étais obligé de remuer régulièrement pour éviter un engourdissement de mes muscles. Ces manœuvres me faisaient peu à peu glisser vers le bas du lit et je dus arrêter de bouger pour ne pas risquer de tomber.

Le temps passait et toujours pas de Patricia en vue. Il devait être environ Quatre heures et mon calvaire devrait donc durer jusqu’au moment ou elle déciderait de revenir me délivrer.

 

Après plusieurs heures d’attente, je fus obligé de gesticuler pour éviter une crampe dans mes mollets. Ces gesticulations furent fatales et je glissait soudain en arrière et me retrouvais par terre sur le carrelage de la chambre, sur le dos, trempé de sueur et sans voir ou j’étais réellement. Je devinais que la porte de la chambre n’était pas bien loin. Peut être qu’en me faisant glisser jusqu’à la cuisine je pourrais attraper quelque chose pour me délivrer.

 

Décidé à ne pas subir la douleur des crampes que je sentais venir petit à petit, j’essayais d'avancer sur le carrelage en poussant sur mes bras et mes mains. La transpiration me faisait glisser sur le carrelage et je pus au prix de multiples efforts me retrouver au milieu de la porte de la chambre qui était restée ouverte.

 

Au moment où je décidais de continuer ma glissade vers la cuisine et me retrouvais au beau milieu de l'appartement, j’entendis le bruit d’une clef dans la serrure et tout de suite la porte d’entrée de l’appartement claqua. Les yeux bandés ; je ne pouvais voir qui venait de rentrer dans l’appartement. Aucune parole, aucun bruit me permettant d’identifier le visiteur. J’entendais pourtant marcher à pas feutrés et mon angoisse devenait de plus en plus grande car j’imaginais être regardé par la grande sœur ou pire par les parents de Patricia. Je ne parvenais pas à identifier cette respiration, mais une odeur de parfum me fit penser à une présence féminine.

 

Pétrifié de peur et de honte ainsi exposé, les jambes écartées et mon sexe offert à la vue de tous, les bras attachés dans le dos me rendant complètement vulnérable dans cette position humiliante. Je décidais de ne plus bouger et d’attendre que l’on me libère.

 

Je sentis cette présence se rapprocher de moi et je compris qu’elle venait de s’agenouiller sur moi pour m'imobiliser, car je sentais un corps s'appuyer de tout son poids sur mes épaules et sur ma tête. Que faisait-elle ?

 

Soudain j’entendis le bruit caractéristique d’un aérosol et presque instantanément une brulure sur tout mon sexe. Un liquide coulait sur ma peau, c’était sans aucun doute du parfum en vaporisateur car je sentais son odeur. Mon bourreau continuait de m’asperger le sexe et j’étais en feu. La brulure était intense et même mon anus me chauffait et me brulait. L’alcool du parfum me donnait l’impression d’avoir trempé mon sexe dans du vinaigre.
Elle s'était maintenant assise à califourchon sur ma tête pour m'immobiliser et m'empécher de gesticuler. Je ne ne pouvait presque plus bouger.


Je ne pus retenir un cri de douleur. Un éclat de rire me fit reconnaître la voix d’Annick, la grande sœur. J’étais pétrifié de honte de savoir qu’elle abusait de moi et se régalait du spectacle que je lui offrais. En moi-même je me disais que sa présence n’était pas due au hasard et que Patricia devait y être pour quelque chose.

 

J’entendis un deuxième rire qui était celui de Patricia. Elle avait assisté à toute la scène et à cette seconde punition en se délectant de la situation.

 
Je sentis son corps remonter sur mon visage et pour augmenter mon humiliation Annick enleva sa culotte et posa carrément ses fesses sur mon visage. L'odeur de son intimité emplissait mes narines. Le nez collé entre ses fesses, je ne pouvais pratiquement plus respirer. Elle me maintenait la tête avec ses mains comme pour mieux guider mon visage vers ses fesses. J'étais humilié par cette position qui devait être ridicule.


 

Toujours allongé sur le carrelage, je sentis une main chaude passer sous mes fesses et commencer à jouer avec mon anus. Mes sphincters se contractèrent immédiatement en signe de réprobation. Loin de capituler un doigt inquisiteur força le passage et je me trouvais dans la situation de subir cette pénétration que je ne pouvais empêcher malgré mes contractions. C’était bien le doigt d’Annick qui s’introduisait ainsi au fond de mon anus.


Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J’étais pétrifié de honte, mais le comble c’était que je sentais mon pénis se redresser sous l’effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.

Pour accentuer mon humiliation, elle tournait son doigt et je sentais son ongle gratter la paroi intérieure de mon colon. J’étais pétrifié de honte, mais le comble c’était que je sentais mon pénis se redresser sous l’effet à la fois de la brulure du parfum, mais surtout maintenant du fait de ce doigt qui fouillait au plus profond de moi.

 

Annick riait de plus belle, encouragée par Patricia qui lui dit de « me finir » selon ses propres termes. Elle me saisi immédiatement la verge à deux mains et commença à me branler à toute vitesse pour me faire jouir. Au bout de quelques secondes, je devais capituler et je sentis mon sperme couler dans ses mains.

 

Pour aller au bout de mon humiliation, elle mis ses deux mains sur ma bouche et s’essuya sur mes lèvres en me forçant à lécher ce liquide qui souillait ses paumes de mains.

Quelques instants plus tard, je compris qu’elle venait de partir car je fus retourné sur le ventre par des mains que je reconnaissais et le claquement sec d'une paire de ciseaux me délivra de mes liens.

 

Patricia me dit qu’elle me pardonnait de mon attitude et que je devais considérer cette expérience comme un simple jeu érotique, sans plus. Pour elle, ce n’était qu’amusements, découvertes et réalisations de ses propres fantasmes. Elle m’accompagna sous la douche et entrepris de me laver elle-même comme on le ferait avec un enfant.

 

Cette fin de journée agréable me fit en partie oublier l’humiliation subie en présence de la sœur de Patricia. Elle me promis de ne plus recommencer.

 
 
Par Ptitbit - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:12
Visite médicale :
 

Mes parents ne m’ayant jamais expliqué les raisons de mon anomalie anatomique, je ne savais absolument pas pourquoi un seul testicule était descendu dans mes bourses.

 

Lorsque j’appuyais sur le coté droit de mon ventre, je ressentais une légère douleur qui en fait été due à la présence de ce testicule non descendu.

 

Lors d’une visite médicale pour les trois jours, le médecin m’osculta attentivement et fut très surpris de constater que le testicule non descendu n’avait pas été enlevé. Après m’avoir palpé sous toutes les coutures en présence des autres appelés, il me demanda de prendre rendez vous avec un urologue.
Je fus reçu quelques jours plus tard par une trés grande jeune femme en blouse blanche qui me posa des questions sur mon anatomie. Elle me fit déshabiller dans la salle et je me retournais pour ne pas me montrer face à elle.

Elle enfila des gants, me fit mettre en face d'elle, debout les bras le long du corp et commenca à me palper le sexe et à presser mon testicule pour tester ma réaction.


Elle le soupesait, le faisait rouler sous ses doigts, le mesurait.
Puis elle prit un metre ruban pour prendre les mesures de mon pénis.


Aprés l'avoir mesué ren longueur, elle mis son mètre ruban autour de mon prépuce pour en mesurer le diamètre. J'étais rouge de honte.

 Elle me demanda ensuite de m’allonger sur la table de consultation et de poser mes pieds dans les étriers prévus à cet effet. Je devais donc écarter au maximum les jambes pour faciliter son examen.

Cette position ne pouvait rien cacher de mon anatomie.
 
Equipée de ses gants en caoutchouc elle m’enduisait maintenant l’anus d’une pommade qui me fit me contracter un peu plus. Elle me dit de me détendre enfonça une canule à lavement et appuya fortement pour libérer le liquide dans mon ventre.

Elle me demanda de rester en place quelques minutes sans bouger le temps que la potion agisse.

Il fallait avant tout nettoyer mon rectum pour un véritable examen.

Lorsque je senti le liquide commencer à couler le long de mes cuisses j’essayais de me retenir mais elle appuya sur mon ventre pour libérer le liquide. Le vase métallique placé en dessous permis de recueillir le liquide noirâtre. Une fois purgé, elle me fit une rapide toilette avec des lingettes parfumées. J’étais honteux de cette posture et d’avoir du déféquer devant quelqu’un.

 
Elle me dit de me détendre et de ne pas contracter mes sphincters. Facile à dire !!!

Elle enfonça alors deux doigts enduits de pommade dans mon rectum. Je sentais ses doigts palper les parois de mon rectum et cela était très désagréable. J’avais mal et je me sentais dilaté par ses doigts. 


Je voyais son visage à quelques centimètres de mon pénis tout recroquevillé. Cela ne semblait pas la déranger. Elle avait l’habitude. Pour moi c’était un véritable supplice de devoir être ainsi exposé.


 Son diagnostic fut sans complaisance. Il fallait rapidement m’opérer pour faire l’ablation de ce testicule non descendu.
 
Je me retrouvais donc le mois suivant en clinique pour y être opéré.

A peine installé la veille dans la chambre que je partageais avec un autre malade, la porte s’ouvrit et un médecin accompagné de trois étudiants  et deux jeunes infirmières se mirent devant mon lit. Je me pensais à l’abri sous les draps, mais le médecin pris le drap de dessus et le replia pour pouvoir m’examiner en présence des élèves.Seule une petite serviette de toilette posée sur mon ventre me protégeait en partie.


Il prit ma verge avec sa mains gauche et pinca la base pour en voir la réaction. Le fait d'être nu exposé aisni qux regards des autres m'enlevait toute idée d'érection. Cependant la pression des doigts du médecin avait pour effet de gonfler légèrement mon pénis, mais sans plus. S'il pensait que j'allais avoir une érection ou qu'il cherchait à la provoquer, il en serait pour ses frais.


Le voisin de chambre me regardait du coin de l’œil et ne semblait rien perdre de la scène. Aucun paravent n’avait été installé entre nos deux lits. J’étais donc parfaitement visible par lui et il ne perdait rien du spectacle offert.

 

N’ayant pas mis de bas de pyjama à la demande de l’infirmière lors de mon inscription, je me retrouvais nu devant cinq personnes qui commentaient à voie haute ma prochaine opération.

J’étais très gêné par cette situation et par cet examen intime qui était réalisé sans aucune pudeur. Le médecin me palpa la verge, retroussa mon précpuce et soupesa mon testicule. Il demanda à chaque élève de faire pareil et d’appuyer sur mon ventre pour bien sentir celui qui restait en haut.

 

Mon voisin assistait à la scène et me voyait dans mon intimité la plus secrète.
 

Ce que je vivais comme une véritable humiliation semblait tout à fait naturel pour les autres personnes. Les commentaires fusaient entre eux et ils s’étonnaient tous de la petite taille de mon pénis. La taille de mon testicule fut aussi l’objet d’une longue discussion.

Le medecin chef demanda aux deux infirmières de me prendre la température. Je fus retourné sur le ventre par les deux jeunes femmes et l'une d'elle commenca à m'enfoncer un thermomètre sans l'anus. J'étais trés humilié par cette position et me contractais afin de ne pas laisser échapper un vent.


Quelques minutes plus tard, l’infirmière en chef entra dans la chambre et le médecin lui dit qu’il faudrait prévoir un rasage pour l’opération. J’étais paralysé par la honte d’être ainsi exposé nu devant tout le monde, mon petit sexe bien en vue.

Quelques heures plus tard, deux jeunes infirmières entraient dans la chambre pour procéder à ma toilette et au rasage demandé. L’une d’elle fit en sorte de tourner le dos à mon voisin pour m’épargner cette nouvelle humiliation.

 

Après m’avoir fait une toilette rapide du bas du corps, l’une d’elle me talqua le sexe, le pubis et le dessous des bourses. C’était la méthode employée dans les cliniques pour raser les patients. Quelques minutes après, je me retrouvais sans aucun poil. Mon sexe ressemblant à celui d’un petit ange.


Les deux jeunes infirmières devaient bien rire en secret car non seulement je n’avais pu m’empêcher de bander lors de mon rasage et elles avaient du faire des prouesses avec le rasoir pour arriver à me raser correctement, mais maintenant j’avais l’air d’un enfant pubère tondu et lisse comme un nouveau né.

Constatant mon état la plus jeune entrepris de me laver avec un gant de toilette mouillé. Je sentais sa main sous son gant passer sur mon sexe et entre mes fesses et je ne pouvait plus bouger, exité par cette toilette intime , mais paralysé par la gène et la honte d'être ainsi "nettoyé" à côté de mon voisin qui devait bien se marrer en douce.

Une fois rasé et lavé, l'autre infirmère me dit que je devais rester au lit et ne plus bouger jusqu'au repas. Je lui demandais cependant de me mettre enfin sous les draps ce qu'elle m'accorda bien évidement.

Par Ptitbite - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 03:06

Un souvenir cuisant :
 

L’été de mes quinze ans, nous étions partis en camping dans les Pyrénées pour tout le mois d’août. Le camping était très agréable et les enfants de mon âge étaient nombreux.

Une bande d’une dizaine de filles et garçons qui passaient la majeure partie de leur journée ensemble avait retenu mon attention. Je décidais, pour ne pas rester seul dans mon coin, d’essayer d’entrer dans cette bande.

 

Le soir même je rencontrais aux douches celui qui me paraissait être le chef de bande. Il devait avoir au moins seize ans et il était bien plus grand que moi. Je lui fis part de mon désir et me répondit qu’il n’y voyait pas d’inconvénient si je réussissais le test de courage. Je pensais qu’il devait s’agir d’un test physique et lui donnait mon accord pour le lendemain.

 
Le lendemain matin toute la bande était réunie et Pierre, le chef m’expliqua en quoi consistait l’examen de passage.

Chaque membre de la bande allait écrire sur un morceau de papier un gage que je devrais obligatoirement réaliser sous peine de ne pouvoir rentrer dans la bande. Je devrais tirer au hasard Trois gages à réaliser sous 24 heures maximum. Si l’un des gages était refus par moi, je devrais en tirer deux autres et les accomplir dans les délais impartis.

 

Au fur et à mesure que le bob de Pierre se remplissait des mots de chacun, je me demandais quels allaient être les épreuves à réaliser. Le nombre de filles et de garçons étant à peu prés identiques, je pensais pouvoir m’en sortir facilement et ne pas avoir à trop souffrir.

 

Une fois tous les papiers remis à Pierre, je dus m’avancer pour tirer trois gages. Je devais les lire à haute voie et dire si oui ou non je les acceptais.

 
Je tirais un premier papier.
 
Il semblait avoir été rédigé par une fille car l’écriture était très régulière. Son texte :
 

Tu devras rentrer en fin d’après midi dans les douches des femmes et prendre une véritable douche complète, comme si tu été une fille. Ca commençait mal et je ne pouvais refuser sous peine de devoir retirer un gage supplémentaire. J’acceptais donc le gage.

 
Le second papier était manifestement écrit par un garçon.
Je devais grimper tout en haut du grand arbre situé prés des courts de tennis et jeter en bas tous mes vêtements.
J’avais vécu pire et je me dis que je pourrais rapidement regagner ma tente.
 
Le troisième me paru impossible à accepter car je devais devant tout le monde m’enduire le corps de mes propres excréments.
 
Je choisi donc de tirer deux autres gages supplémentaires.
 

Le premier consistait à faire une partie de strip poker avec les filles, et le second consistait à traverser sans courir de nuit tout le camp, tout nu avec mon slip sur la tête. J’étais obligé d’accepter, mais j’étais rassuré par le fait que le gage devait être réalisé de nuit.

 
Moi qui avais espéré un moment que les épreuves seraient des épreuves physique, je m’étais lourdement trompé.
Mais la réussite de mes vacances était à ce prix là.
 

Vers quatre heure de l’après midi je dus me rendre aux douches sous la surveillance à distance de toute la bande. Une des filles devait même venir constater si je respectais bien les consignes une fois entré dans les douches.

 

Par bonheur il n’y avait encore personne. Les douches des femmes ressemblaient à celles des garçons à ceci prés qu’aucun mur ni porte ne séparait chaque douche. Il fallait que je fasse vite avant qu’une femme se présente et je me mis rapidement tout nu sous la douche pour exécuter mon gage. S’entendit l’une des filles me dire que je devais absolument me savonner entièrement le corps. Un tube de gel douche était posé à coté du vestiaire et je devais m’en servir.

Je pris donc en main le gel et pour ne pas perdre de temps je le vidais presque entièrement sur mon corps pour en finir au plus vite. Je me rendis compte immédiatement que quelque chose clochait. Le gel contenait du bleu de Mytilène et tous mon corps été maintenant couvert de teinture bleu. Le piège. J’étais tombé dans le panneau pour avoir voulu aller trop vite. J’aurais du me douter que ce gel ne pouvait être là par hasard.

 

Je cherchais rapidement un moyen de me nettoyer et faire partir cette teinture avant quelle sèche sur mon corps. J’aperçu un reste de savon au fond d’un bac à douche et je me précipitais dessus pour m’en servir. Au moment où je me baissais pour le ramasser j’entendis les voies de deux femmes qui venaient de rentrer pour se doucher. Sans faire attention à moi, elles se déshabillèrent et se mirent ensemble sous les douches situées à coté de moi. Pour ne pas me faire voir je leur tournais le dos, mais je me rendis compte que j’étais encore couvert de teinture sur le ventre et sur le sexe.

 Je filais en douce aux vestiaires avant qu’elles ne s’en aperçoivent et donnent l’alerte. Une fois dans les vestiaires je remis mes affaires et sortais des douches encore couvert de bleu. Je courais me réfugier dans ma tente situé à coté de la caravane de mes parents.

Une fois dedans et à l’abri des regards, je me déshabillais à nouveau et j’entrepris de me laver à l’aide de mon savon personnel de la pierre ponce que j’emporte toujours dans ma trousse de toilette et de la bouteille d’eau qui était à coté de mon matelas pneumatique. Heureusement qu’elle était là et bien remplie pour me rince le corps.

Après plus d’une demi-heure de ponçage et de lavage je fini par venir à bout de la teinture et décidait de rejoindre la bande pour leur montrer que j’avais réussi la première épreuve.

 
La bande me félicita pour cet exploit et Pierre me dit que je devais dans une heure grimper en haut de l’arbre des tennis.
 

A l’heure dite, je commençais mon ascension et une fois arrivé sur la plate forme installée au milieu des plus grosses branches, je m’assis pour me dévêtir. Pierre me demandais de lui envoyer tous mes vêtements. Cela se cantonnait à mon bermuda de plage et mon tee-shirt.

Une fois débarrassé de mes vêtements je devais attendre au moins trente minutes en haut de l’arbre. Je ne comprenais pas les raisons de cette attente, mais j’acceptais car toute la bande me surveillait de l’autre coté des tennis.

 

Une fois Pierre parti je restais assis et commençait à compter les minutes. Au bout de cinq minutes je fus intrigué par un bruit de ronflement dans l’arbre. C’était un disjoncteur qui se mettait en marche. En fait l’arbre était entièrement éclairé pour la nuit et la plate forme était également surmontée d’un gros spot qui m’éblouissait et qui montrait à tous les joueurs ma nudité. Je ne savais pas comment me cacher car instinctivement les regards de plusieurs joueurs s’étaient portés sur cette nouvelle lumière. J’entendis des rires provenant du court le plus proche. Heureusement avec mes mains je pouvais me cacher le sexe et éviter de tout montrer de mon anatomie. Les joueurs après avoir ri de moi un moment reprirent leur partie.

 

Au bout de minutes qui me parurent une éternité, je vis arriver Pierre qui me redonna mes vêtements. Second examen de passage réussi.

 

Une fois rhabillé, les garçons de la bande me dirent d’aller dans le local d’activités multiples réservé aux filles et de les rejoindre là-bas.

 
La salle n’était pas très éloignée et je pénétrais à l’intérieur ou toutes les filles de la bande m’attendaient.
 
La table de poker était installée et cinq filles avaient été désignées pour jouer contre moi.
La partie allait commencer et la règle était simple des allumettes pour les mises, un vêtement de perdu en cas de défaite.
 

Le début de la partie était en ma faveur mais les filles qui avaient prévu le coup étaient bien plus habillées que moi. Pantalon, slip, soutient gorge, tee-shirt, gilet et casquettes. Je n’avais pas pensé à me vêtir en conséquence.

 

Après quelques parties équilibrés je fus vite mis en situation difficile car manifestement les filles faisaient en sorte de me faire perdre. J’étais maintenant vêtu de mon seul bermuda.

Le coup suivant je perdais la partie et devait leur donner mon dernier vêtement. C’était dur de me mettre nu devant des filles inconnues et qui n’attendais que cela pour me regarder.

Je fus obligé de me mettre debout à coté de la table et lorsque je fis descendre mon bermuda sur mes chevilles les rires fusèrent et les réflexions sur mon anatomie allèrent bon train car je ne pouvais cacher mon érection et ma verge était maintenant à l'horizontale. La plus agée des filles me prit par l'épaule et me placa au milieu de la pièce pour que toutes les filles puissent profiter du spectacle.


Je devais rester là planté debout les mains sur la tête pendant cinq minutes le temps que la partie se termine avec les autres joueuses.

 

Pendant la suite de la partie les filles se retournaient constamment pour me regarder. Ma honte était visible et je rougissais de tout mon corps car je ne pouvais rien cacher à leur vue car mes mains devaient obligatoirement rester sur ma tête jusqu’à la fin de la partie.

 

Une autre fille très mignonne commençait aussi à perdre et je fus ravi de la voir se déshabiller entièrement pour me rejoindre. Elle prit mon sexe dans sa main droite et commenca à me caresser pour me faire rebander. Elle mit ses doigts dans ma bouche et me les fit sucer en même temps pour marquer le rythme.


Pour mieux me branler, elle me fit assoir sur une chaise et continua de me caresser le bout du gland, alors qu'avec sa main gauche, elle me pinçait la peau de mes bourses et jouait à faire rouler mes testicules dans sa main en les pressant comme des citrons.

Au bout de seulement une minute, je ne pu me retenir et je jouissais en un jet continu, tout honteux de me vider ainsi devant toutes ces filles qui étaient hilares de me voir éjaculer.

 La partie durait un temps fou car chacune regagnait à son tour. Au bout de presque une heure, nous étions enfin cinq à être exposés tout nu aux regards des autres filles. Mais je comprenais bien que la nudité des autres filles n’était qu’un prétexte pour pouvoir me regarder plus longtemps.

 

Cette humiliation fut très pénible car dorénavant chaque fille connaitrait tout de mon anatomie. Mais j’avais quand même remporté le troisième défi.

 

Toute la bande se retrouvait au bar du camping à dix heures précises. Je devais être là et je dus mentir à mes parents et prétexter une envie pressante pour m’éclipser.

 

Le signal de départ me fut signifié et je dus enlever mon tee shirt, mon maillot et poser celui-ci sur ma tête. Pierre me dit que je devais attendre que les autres rejoignent la sortie du camping pour me voir arriver.

 
Je m’assis à une table en priant le ciel que personne ne vienne s’y asseoir.
Au top départ, Pierre me rappela que si je courais, le gage serait perdu et je ne serais pas accepté dans la bande.

Prenant mon courage à deux mains, je me levais et commençait à marcher en direction de la sortie du camp qui était à environ cinq cent mètres. Pour cacher ma nudité à tous les passants, je mettais mes deux mains devant mon sexe et essayait de rester stoïque. De nombreux promeneurs dans le camp m’observaient en se demandant si je n’étais pas fou de me promener ainsi tout nu avec mon maillot sur la tête. Des enfants riant en voyant mes fesses dénudées. Quelques femmes gloussèrent sur mon passage et l’une d’elle prit même une photo. J’étais littéralement mort de honte, mais je devais continuer sans courir pour gagner mon pari.

Heureusement je pouvais cacher mon sexe et seulement mes fesses étaient exposées à la vue de tous.

La sortie du camping arrivait enfin et je pus me rhabiller avec l’accord de toute la bande qui me félicita des tous ces exploits. J’étais accepté. Pour la première fois de ma vie, j’avais vaincu ma timidité et mes complexes.

Au bout de quelques jours j’étais enfin intégré à la bande et j’avais de plus en plus d’affinités avec Marie une jolie brune à la poitrine généreuse. Au fil des jours nous devenions inséparable et le fait de m’avoir vu dans une posture humiliante ne semblait pas la gêner ni du reste les particularités de mon anatomie. Notre complicité semblait faire des jaloux et Marc qui semblait aussi convoiter Marie n’appréciait pas notre début de relation. Un après midi ou nous nous promenions dans les allées du camping et je trouvais par terre le portefeuille de Marc. Il avait du le faire tomber en rentrant de la superette du camping.

Curieux nous décidions de regarder à l’intérieur. Là comble de surprise il y avait des photos de Marc habillé en fille. Qui les avaient prise ? Nous ne le saurons certainement jamais.

 

Pour nous venger de sa jalousie nous avons cru malin de coller toutes les photos sur le panneau de réservation du tennis. Sachant que Marc jouait tous les soirs une partie en double mixte, notre vengeance été assurée de réussir.

 
Pour ne pas être reconnu nous déposions le portefeuille de Marc devant la caravane de ses parents.
 

Bien décider à profiter du spectacle nous avons décidé de trainer autour du terrain de tennis en attendant que Marc et ses copains arrivent. Quelques minutes plus tard, il arrivait en compagnie de Jérôme, Stéphanie et Luce. Pour prendre la clef il fallait barrait sa réservation et tous trois se retrouvèrent devant le panneau éclairé ou les photos étaient exposés montrant Marc dans une attitude plus qu’équivoque.

 

Ne pouvant se justifier et rouge de colère il arracha les photos et parti en courant se réfugier chez ses parents. Sans que nous puissions nous en douter, la mère de marc nous avait vu par la fenêtre de la caravane déposer le portefeuille et elle n’avait pu nous remercier de vive voie car nous étions parts au plus vite. Marc allait être informé à notre insu par sa mère de l’identité des auteurs de cette mauvaise farce.

 

Le lendemain, une promenade et un repas en forêt était organisée. Nous étions Marie et moi partis devant les autres afin d’être un peu seul. Après une bonne heure de marche nous étions en vue du mont Canigou et nous décidâmes de nous reposer un petit peu.

 

Alors que nous étions allongés dans l’herbe l’un contre l’autre, une véritable horde sauvage nous tomba dessus. Sans pouvoir réagir et savoir qui était nos agresseurs nous nous retrouvions attachés contre un gros sapin le ventre contre le tronc et saucissonnés par une longue corde qui nous prenait les mains et le corps.

 

Pour finir le tout nos agresseurs nous avait mis un bandeau sur les yeux et aussi un bâillon pour étouffer nos cris. Je sentais les mains de Marie qui de l’autre coté de l’arbre tremblait comme une feuille. La peur nous paralysait car nous n’avions aucune idée sur l’identité de nos bourreaux.

 

Je sentis que l’on m’enfonçait dans les oreilles quelque chose de souple et tout à coup le silence se fit, je n’entendais plus rien. Des boules « quies » pour nous empêcher de reconnaître ces voyous.

 

Ainsi plaqué contre le tronc de l’arbre, bâillonné, les yeux bandés et dans l’impossibilité d’entendre le moindre bruit, notre situation était catastrophique.

 

Nous en étions réduits à imaginer la suite des événements. Les mains de Marie étaient toutes moites et tremblaient de plus en plus. J’essayai de les serrer pour lui montrer que je partageais sa tristesse.

 
Les minutes me parurent interminables et soudain ce fut la surprise et bien vite la panique.

Je sentais que l’on défaisait la ceinture de mon short. En un instant je sentis mon short et mon slip descendre sur mes talons. je me retrouvais les fesses exposées à mes bourreaux, nu ligoté sans pouvoir faire le moindre mouvement de défense. Mon sexe frottait sur le tronc d’arbre et ce contact rugeux  me faisait déjà mal. Mais ce n’étais que le début des supplices.

 

Je sentais passer quelque chose sur mes fesses et soudain mes fesses s mirent à me bruler. Ce contact inconnu n’étais pas des branches mais plutôt des feuilles. Je réalisais soudain qu’il s’agissait certainelent de bouquets d’orties, car mes fesses me brulaient de plus en plus et la douleur devenait insupportable a chaque passage.

 

J’avais beau essayer de me débattre en me tortillant contre l’arbre, le feuillage revenait régulièrement et je sentais immédiatement la brulure sur mes fesses qui devaient être dans un drôle d’état.

Ne pouvant prévoir le moment ou les orties touchaient mes fesses, j’étais chaque fois pris au dépourvu et la surprise s’ajoutait à la souffrance. J’espérais que Marie ne subissait pas le même sort.

 

Je sentis soudain que les feuilles passaient entre mes jambes et se faufilaient vers mon anus et vers mon pénis. La brulure me fit me tordre de douleur et chaque passage des feuilles sur mon sexe et sur mes bourses me procurait une douleur violente. Pour finir je sentis que l’on enfonçait le bouquet d’orties dans la raie de mes fesses. Il m’était impossible d’empêcher ce nouveau supplice. La douleur et la brulure se propageait dans tout mon corps, j’étais en larmes et en nage ruisselant de sueur. La douleur que je resentaais dans ma raie des fesses était à la limite du supportable. J'aurais voulu hurler ma douleur mais je ne réussisait qu'à emettre un son ridicule.

 

Au bout d’un temps qui me paru infini je sentis que l’on détachait nos mains. Nous étions toujours maintenus ficelés par nos bourreaux qui décidèrent de nous attacher l’un contre l’autre entièrement nu et face à face.

Nos bras furent enlacés l’un autour de l’autre et la corde servi à nous ficeler solidement pour que nous ne puissions nous détacher nous même. Une petite corde fut passée autour de nos genoux pour nous empêcher de courir. Seules nos chevilles étaient libres et nous ne pourrions nous déplacer facilement. Nos ventres étant étroitement serrés l'un contre l'autre notre respiration été difficile. Un véritable corset qui nous soudait l'un à l'autre. Si la douleur n'vait pas été aussi forte j'aurais certainelent apprécié la position.

 

Nos bourreaux avaient pris soin de ramasser nos vêtements et au moment de nous lâcher dans la nature dans cette position humiliante, ils enlevèrent les bandeaux qui nous empêchaient de voir ; La lumière du soleil nous éblouie et nos agresseurs en profitèrent pour s’esquiver sans que l’on ait pu les voir et les identifier. Nous n’avions aucune idée sur leur identité car nous étions persuadés de ne pas avoir été vu lors de la pose du portefeuille.

 

Les bouchons dans nos oreilles nous empêchaient d’entendre le moindre bruit. Marie parvint à faire glisser son bâillon et elle se mit à crier au secours. Après plusieurs tentatives, je lui dis de ne pas insister. Il fallait mieux ne pas se faire voir dans cet état.

 

Nous étions là debout attachés l’un contre l’autre avec les fesses en feu et dans l’impossibilité de marcher correctement. Nos devions nous déplacer par petits pas en même temps car les liens aux genoux ralentissaient notre marche, pour essayer de renter au camping ou pour espérer retrouver le "Gr" qui devait être un peu plus bas. Notre marche était difficile et la sueur eut pour effet de faire glisser nos corps. Comme par magie cela permis à nos liens de se détendre, et pu faire glisser la corde petit à petit le long de nos corps. Il était préférable d’essayer de se sortir tous seuls de ce piège plutôt que d’être secouru et retrouvé dans cette posture. Marie pleurait car la douleur était encore très forte. J’essayais pour ma part de ne pas penser à la douleur de mes fesses, mais de me concentrer sur ces liens que je devais à tous prix réussir à enlever.

 

Au bout d’une bonne heure de combat, j’étais en nage et le contact du corps nu de Marie contre moi commençait à me faire un effet que Marie ne pu que constater. Impossible de faire autrement, nous étions encore serrés l’un contre l’autre, et mon embarras devait se voir sur mon visage. Soudain les liens lâchèrent et nous pûmes nous libérer complètement.

 

Je regardais les fesses de Marie qui ressemblaient à un gros chou-fleur boursouflé et rouge écarlate. Elle me dit que mes fesses étaient horribles à voir. Je pouvais voir les dégâts sur ma verge et sur la peau de mes bourses. Mon petit sexe était gonflé comme un gros radis rouge et mes testicules semblaient gonflées comme des balles de tennis. Si je n’avais pas eu aussi mal j’aurais bien apprécié ce nouveau volume de mes attributs. Moi qui étais complexé par la taille de mon sexe, pour une fois le volume était impressionnant à voir.

 

Cependant la douleur ne passait pas et il nous fallait rapidement trouver un moyen de rafraichir notre peau. Marie me dit qu’un petit ruisseau était en contre bas du Gr.

 

Heureusement nos bourreaux nous avaient laissés nos chaussures et nous pûmes courir jusqu’au ruisseau pour nous asperger d’eau fraîche. Pendant plus d’une demi-heure nous nous aspergions mutuellement pour calmer la douleur.

 

Mais il fallait commencer à rentrer car la nuit n’allait pas tarder à tomber et il faudrait justifier notre absence. De plus il allait falloir renter au camp tout nu sans vêtement.

 

Nous nous mimes à courir jusqu’au camp et sans regarder autour de nous nous regagnâmes nos tentes respectives. La nuit serait longue et il fallait ne rien laisser paraître de notre douleur sous peine d’interrogatoire qui aurait été horrible à subir.

 

Le lendemain, nous retrouvions nos copains au bar et aucun ne fit une quelconque allusion à nos visages passablement fatigués. Marc restait sans réaction et nous ne pouvions nous douter un instant que c’est lui qui avec l’aide de ses meilleurs amis avait décidé de se venger de nous.

 
Nous avions été pris à notre propre piège.

La souffrance que nous avons du endurer Marie et moi nous commandait de rechercher à tous prix à savoir si l’un de nos agresseurs faisait partie du camping.

 

Le hasard allait bien faire les choses. Marie rencontrait à la superette la mère de Marc et cette dernière l’ayant reconnu, elle se dirigea vers Marie pour la remercier d’avoir rapporter le portefeuille de Marc. Le sang ne fit qu’un tour dans les veines de Marie réalisa tout de suite que Marc connaissait par sa mère les auteurs de l’affichage de ses photos secrètes.

C’était donc lui qui avait voulu se venger et qui avait organisé cette expédition punitive.
 
Je fus tout de suite informé par Marie et nous nous mimes à chercher comment nous venger sans que Marc puisse nous identifier.
 

C’est marie qui eu la meilleure idée. Elle savait que dans la pharmacie du camp il y avait des laxatifs très efficaces et qu’il suffisait de s’en procurer pour préparer nos représailles.

 

Le lendemain Marie prenait prétexte d’un traitement pour sa mère afin d’obtenir de la part de la stagiaire plusieurs sachets de laxatifs.

 

Le soir nous nous retrouvions régulièrement au bar de la piscine et c’est là que notre plan devrait prendre forme. Marie proposa innocemment d’offrir une tournée générale sous prétexte de fêter son passage en terminale.

Pendant que Marc tournait le dos, Marie en profita pour verser dans son verre de coca trois sachets de laxatifs. L’effet devait se ressentir dans les dix minutes suivant la prise du médicament.

Le compte à rebours avait commencé. Au bout de huit minutes, marc reçu un appel de la direction du camping à travers le haut parleur du camp. On le demandait au téléphone et il devait rejoindre la cabine téléphonique installée à l’entrée du camp.

 

Marie avait usé du téléphone portable de ses parents pour faire appeler Marc. Le piège fonctionnait. Marc se dépêchait de se rendre à la cabine téléphonique.

 Cette cabine avait ceci de particulier qu’elle était entièrement réalisée dans une petite case en bois pour assurer aux clients une parfaite isolation et une parfaite intimité. Un haut parleur de la sonorisation du camp étant installé juste au dessus de la cabine, il avait été nécessaire de construire une cabane avec une bonne isolation phonique. Cela allait bien nous servir.

 

Nous suivions Marc s’en qu’il s’en rende compte et dés qu’il referma la porte de la cabine, je bloquais le bas de la porte avec deux calles en bois que j’enfonçais sous la porte avec avec une pierre. La porte était maintenant bloquée et Marc n’était pas prés de sortir de là.

 

La sonorisation du camp couvrirait sans problème ses appels à l’aide. Pour plus de sécurité nous avions récupéré le panneau « en panne » et nous l’avons mis au clou de la porte d’entrée.

Il ne nous restait plus qu’à aller derrière la cabine et grimper sur un escabeau pour suivre à travers la petite lucarne la suite de notre plan.

 

Marc essayait de forcer la porte mais bientôt il fut pris d’une intense convultion et on imaginait facilement le début de sa diarrhée. On devinait par ses gesticulations qu’il n’allait pas pouvoir se retenir longtemps. Les mains sur le ventre tordu dans tous les sens.

Pris au piège sans aucun moyen de sortir et dans une cabine vide il ne lui restait plus qu’à enlever son pantalon et son slip afin de ne pas les salir.

Nous l’apercevions les fesses à l’air entrain de se tenir le ventre pour retarder l’expulsion.

Soudain il se plia sous la douleur et un puissant jet sorti de son anus sans qu’il puisse l’arrêter, eclaboussant le sol et ses jambes. Il se vidait en longs jets saccadés et puissants, et nous étions tous les deux impressionnés de la quantité de liquide qui sortait de ses fesses. Cela faisait dix bonnes minutes que Marc se vidait et tout le sol de la cabine était maintenant rempli de ses déjections. Il avait expulsé au moins deux litres de liquide.

 

Nous étions ravis de notre vengeance et il ne nous restait plus qu’à signaler au gardien que la porte de la cabine de téléphone était bloquée. Marie profita de la pénombre pour dire au gardien qu’il devait intervenir, il ne pourrait la reconnaître par la suite.

 

On vit le gardien prendre sa lampe de poche et se diriger vers la cabane. Il enleva rapidement les calles et en ouvrant la porte, il se trouva en face de Marc, les fesses à l’air pataugeant dans ses excréments. L’odeur devait être épouvantable car le gardien fit un grand pas en arrière et Marc en profita pour filer en courant le plus vite possible, le cul à l’air qui continuait à se vider pendant sa course.
Dans son empressement à fuir, il ne faisait plus attention aux flots de liquides qui continuer à couler le long de ses jambes.

 
Témoin jusqu’au bout de la scène nous étions pliés de rire et ravis que notre superbe plan ait fonctionné à merveille.
Par Olivier - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 février 1 19 /02 /Fév 02:46

LA GROSSE HONTE LORS DE MON PREMIER BIZUTAGE

Ma première grosse honte a été vécu lors d'un camp de vacances. J'avais alors 13 ans et je n'osais pas prendre de douche en présence des autres garcons ne voulant pas leur dévoiler mon anatomie.

 Un soir les plus grands ont décidé de bizuter les plus jeunes et bien sur le bizutage est tombé sur moi.

Je dormais profondément enfermé dans mon duvet lorsque je me suis senti "porté en l'air" sans comprendre se qui m'arrivait.
Pour ne pas être reconnu  et de peur d'être dénoncés par la suite , je me suis retrouvé allongé dans la salle des douches avec un bonnet enfoncé jusqu'au coup et pour qu'il tienne en place l'un des "bizuteurs" a fait plusieurs tours de scotch autour des yeux.
Je ne pouvait voir ce qui se passait et  j'étais mort de peur et de honte. Je voulais crier mais là également les grands avaient bien préparer leur affaire et je me suis retrouvé avec un morceau de tissu dans la bouche le tout bien maintenu par le sctoch qui me tiraillait les cheveux et maintenait en place le baillon qui m'empéchait de parler. Enfermé dans mon duvet avec seulement la tête qui dépassait et qui était déjà 'hors d'état de nuire", je ne pouvais que subir.

Lorsqu'ils ont décidé de me faire une véritable "mise a l'air" , j'ai entendu les rires des garcons mais aussi des filles. J'avais envie de pleurer et de crier mais je ne pouvais pas. J'ai soudain senti mon tee shirt passer au dessus de mes épaules et dans les secondes qui ont suivi , mon slip a lui aussi été enlevé sans ménagement. Lorsque je l'ai senti glisser à mes chevilles, j'ai réalisé que cette soirée allait être terrible pour moi car je ne pouvais m'opposer à cette mise à nu.

Je me suis retrouve nu étendu sur le carrelage des douches, les bras et les jambes maintenus écartés par plusieurs mains solides. Une main vigoureuse tirait en l'air mon sexe pour je ne savais encore quelle raison.

 J'essayais de me débattre mais l'un d'eux s'est trés vite assis sur mon torse afin de me bloquer solidement au sol. Pour mieux m'immobiliser, l'un de mes bourreaux m'avait maintenant attaché les mains derrière le dos à l'aide du rouleau de scotch.

Je sentis soudain une main se refermer sur ma verge et commencer à me masturber devant tout le monde. "On va le faire bander comme un fou" s'écriat la voie féminine qui me secouait la verge dans tous les sens. Cela faisait mal, mais bizarrement je ne pouvais stopper le début d'un timide érection.


J'entendais une voix qui annoncait le supplice à venir: "Il faut lui faire la bite au cirage"
 

Les rires fusaient, les reflexions sur la petite taille de mon sexe et les commentaires allaient bon train. Je devais être rouge de honte, mais cela ne pouvait se voir.

"Le cirage, le cirage réclamaient les filles".

L'une des filles qui riait de plus en plus fort prés de mon oreille avait décidé de me carresser le sexe afin de faciliter le passage  du cirage. N'ayant plus de force pour me débattre, je ne bougeais presque plus et je comprenais que c'est justement cela qu'attendait mes bourreaux pour pouvoir agir plus facilement. J' étais en nage à force de gesticuler et de me contortionner pour essayer de cacher en vain ma nudité.

Je sentis soudain le contact d'une brosse sur mon sexe , ce qui créait un effet assez bizarre de honte et de plaisir à  la fois. Quelques rires de filles amusés par la scéne me donnait envie de mourrir et j'entendais des voix connues qui commentaient mon début d'érection. Le cirage devait faire son effet car la brosse avait de plus en plus de mal à passer sur mon sexe et entre mes jambes et je sentais le cirage coller aux polis de mon ventre et sur mes cuisses.

"La fessée, la fessée, demandaient maintenant des voies ennemies".

Tout d'un coup je fus retourné sur le ventre et je senti presque aussitot les premier claquements sur mes fesses nues. Un "grand" ou une fille devait me fesser avec la paume de  car le contact était souple et le bruit était trés sec. Je sentais peu à peu mes fesses me bruler sous les claques.

Heureusement cette punition s'arréta aprés une vingtaine de claques qui avaient du "rougir" mes fesses car malgré le baillon j'essayais de crier  tant et plus.Je pense que c'est cela qui m'a sauvé d'une trés longue fessée et la peur que mes cris étouffés soient entendus a fait cesser cette terrible humiliation.

Le bizutage allait prendre fin aprés que mes fesses aussi eurent été également passées aussi au cirage. Le devant ne leur suffisait pas, il leur fallait aussi "colorier" le côté face pour rendre complète cette humiliation.

Je sentais la brosse passer et repasser sur mes fesses et même dans la raie des fesses. L'un des bizuteurs écarta avec ses mains mes fesses pour mieux pouvoir passer la brosse et le cirage. Les filles étaient  "mortes de rires" de voir mon intimitée ainsi dévoilée et barbouillée.

J'entendais des reflexions et des commentaires plus humiliants les uns que les autres.
Avant de me libérer l'un des garcons a ordonner que l'on me passe le bout du gland au cirage. Je me suis donc retrouvé immédiatement retourné à nouveau avec sur mon visage les fesses d'un des plus lourd de la bande.J'avais du mal a respirer,c'était terrible à vivre.

Je sentais à nouveau la brosse passer sur le bout de mon sexe et je ne pouvais retenir une trés faible  érection qui me faisait honte devant tous ces témoins. Puis ce fut la fin de mon supplice. Je fus maintenu les jambes serrées le temps pour mes bourreaux de me remettre dans mon duvet pour faciliter leur fuite.

Pour pouvoir s'enfuir en toute impunité et ne pas être reconnus, l'un d'eux avait fait plusieurs tours de rouleau adhésif autour de mon duvet,mes bras avaient été eux aussi scotché dans mon dos, heureusement pas suffisament fort pour les ligoter définitivement.
J'entendais des rires s'éloigner en courrant, mais je ne pouvais les identifier.

Quelques minutes plus tard j'arrivais à me redresser en m'appuyant sur l'un des murs de la salle de douches et je pu  libérer mes bras à force de gesticulations. J'enlevais immédiatement mon baillon et le bonnet qui m'empéchait de voir le résultat de ce bizutage.

Une fois devant le miroir des lavabos je voyais devant moi un corps couvert de cirage , mon sexe mais aussi mes cuisses et mes fesses étaient enduites de cirage noir. Le cirage collait  à mes poils et lorque je mis ma main sur ma peau je compris tout de suite que faire partir le cirage serait trés difficile car il avait eu le temps de sécher.
Le seul moyen de le faire partir était de passer sous la douche et de me savonner jusqu'à ce que toute trace de cirage soit partie.

Je ne sais pas combien de temps j'ai passé dans la salle de bain pour fair partir ce foutu cirage, mais cela m'a parru une éternité.J'avais les mais pleines de cirage et le savon ne nettoyais pas trés bien. Cette nouvelle épreuve m' a parru durer des heures. Le gras du cirage était extrèment difficile à nettoyer completement et il en restait encore sur ma peau aprés plusieurs nettoyages au savon.

Pendant ce temps j'imaginais les conversations des témoins de ce bizutage. J'ai fini par regagner le dortoir et en me recouchant j'ai entendus les chuchotements et les gloussements des autres pensionnaires qui essayaient de deviner ce qui m'était arrivé.

Je n'arrivais pas à m'endormir car j'imaginais la honte qui allait être la mienne le lendemain au petit déjeuner lorsqu'il faudrait affronter le regard des filles et des garcons qui m'avaient vu nu et couvert de cirage.
Qui m'avait bizuté ? qui m'avait fessé ? Qui avait vu mon intimité et aussi mon infirmité ?

Le pire c'était de ne pas savoir qui avait participé et qui m'avait  vu dans cette position honteuse.
Le lendemain je n'osais pas me lever et rejoindre les autres pensionnaires. Il a fallu que le pion me force à me lever et à me rendre au réfectoire. J'aurais voulu m'enfuir de cet enfer que je devais à nouveau endurer.
Je crois que cette journée fut pire que le bizutage en lui même car je sentais bien les rires et les commentaires dans mon dos. Personnes ne me parlait directement et c'était un cauchemar éveillé que je vivais.
Les jours qui suivirent furent pour moi un véritable calvaire car je n'osais pas aller voir le directeur ou le suveillant général pour raconter mon malheur. J'étais bel et bien pris au propre piège de ma timidité maladive.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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