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Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 17:10

LA FESSEE PUBLIQUE D’ELODIE

 

La perspective de sa punition prochaine, qui promettait d'être exemplaire après l'accumulation de graves bêtises qu'elle avait commise ces derniers jours, aurait seule suffit a mettre Odile dans un bel état d'affolement ... mais à cela s'ajoutait une autre sensation, quelque chose de presque insignifiant et qui pourtant contribuait à la rendre mal à l'aise. Après une seconde de réflexion, elle s'était aperçue en marchant dans le couloir que la main de son tuteur qui serrait la sienne n'était plus douce. Elle ne l'écrasait pas non plus mais la serrait et la tirait en avant avec ce qui semblait presque de la brusquerie. Il avait cessé de la regarder amoureusement dans les yeux, et son regard était maintenant dur et tourné vers l'avant. Depuis qu'elle était rentré dans l'école, Michel avait toujours été l'oasis où elle pouvait venir puiser de la chaleur et du réconfort. A présent, il lui faisait presque peur ... Il avait l'air aussi sévère que le proviseur lui-même !

« Va t'asseoir sur ton lit et ne bouge pas avant que je revienne ! Madame Hautepin a demandé un conseil de discipline et, étant ton tuteur, j'ai mon mot a dire sur ce que tu mérites.
- Alors ... tu vas me défendre ?
- Non, ma fille ! Il n'y a pas d'attaquants ou de défenseurs. Tu t'es très mal conduite et nous devons nous réunir entre adultes et décider, pour ton bien, du traitement qu'il convient de te donner.
- Mais Madame Hautepin elle ... elle va me saquer ! »

Clac ! Michel, qui ne l'avait jamais frappée ni même grondée, venait de l'interrompre d'une gifle. Oh, une toute petite gifle, absolument pas douloureuse, mais l'impact psychologique fut violent.

« Ne dis pas de mal de Madame Hautepin ! Comme nous tous elle ne veut que ce qui sera la mieux pour toi ! Maintenant pose vite tes fesses sur le lit, avant que je ne décide de leur donner de la couleur ! »

Effrayée par le ton de sa voix, Odile ne se fit pas prier plus longtemps pour obéir et vint vite s'asseoir, voyant son tuteur s'éloigner vers le lieu de ce procès auquel elle ne pourrait même pas assister pour se défendre.

Quinze longues minutes plus tard, il n'était toujours pas revenu et Odile se rendit compte que l'angoisse compressait terriblement sa vessie. Elle avait une horrible envie de faire pipi, mais n'osait pas désobéir en quittant la salle alors que tout le monde pouvait arriver d'une minute a l'autre. Le fait de penser à se retenir avait au moins l'intérêt d'éloigner un peu son esprit de la perspective de la punition, mais comme l'envie devenait de plus en plus pressante elle commença à se demander ce qui était le pire ...

Encore dix minutes plus tard, elle sentit son coeur s'affoler en entendant des pas à la cadence militaire se rapprocher du dortoir. Elle serrait les fesses, serrait les dents, serrait les cuisses pour contenir son envie, et serrait les mains pour calmer ses nerfs, mais rien de tout cela n'était très utile. Quand finalement la porte s'ouvrit et qu'apparut le visage grave et fermé du proviseur, la tenaille de l'angoisse sembla serrer plus fort d'un coup sec et, rougissant de honte, elle sentit clairement une petite goutte de liquide chaud lui échapper pour s'étendre dans sa culotte.

« Petite, tu peux dire un grand merci a ton tuteur. Arguant que tu nous a rejoins il y a deux jours à peine, de surcroît pour la première année, et que tu as toujours été une petite fille adorable avec lui, il a obtenu que tu ne reçoive qu'une simple fessée, et juste à la main.

« Quoi, c'est tout ?! » pensa-t-elle. Bien sûr elle n'aurait jamais osé le dire à voix haute, mais le soulagement se lisait trop bien sur son visage pour que ce soit utile ...

« Nous avons mis pour seule condition que tu la reçoive de la main de ton tuteur. »

De mieux en mieux ! Quitte à recevoir la fessée, elle aimait autant que ça vienne de lui ! Elle eut l'idée d'adresser au directeur un grand sourire reconnaissant, mais son expression, qui n'avait rien perdu de sa dureté, l'en dissuada tout de suite.

« Nous vous attendons dans un petit quart-d'heure au réfectoire. Bien entendu, ce sera devant toute la classe ! »

Un petit quart d'heure ! Dans le fond, c'était mieux ainsi : elle n'aurait pas aimé devoir attendre davantage ... mais tout de même, ça la prenait de court !

Tous les autres étaient sortis, il ne restait plus que Michel, debout, bras croisés et mâchoire serrée, qui la contemplait d'un oeil sévère. Après quelques secondes il s'avança vers elle et, de sa main droite, lui saisit le bras gauche, juste sous l'épaule, presque assez fort pour lui faire mal.

« Viens avec moi, tu vas d'abord aller faire pipi et je vais te surveiller. Il est déja arrivé une fois qu'une petite cochonne ne sache plus se retenir pendant la fessée et qu'elle s'écoule sur ma jambe, et je déteste ça. Je ne pense pas que tu ais envie de me voir encore plus fâché que je ne le suis. »

Odile accepta avec soulagement de le suivre jusqu'aux toilettes jusqu'au moment où elle réalisa qu'il n'avait pas l'intention de l'y laisser seule. Dans un geste d'une douceur qui ne lui était plus coutumière, il la saisit par la taille des deux coté et la colla contre lui avant d'entreprendre de retrousser sa jupe dans une demi-caresse et de baisser sa culotte, dont Odile priait pour qu'elle ne soit pas trop nettement tachée. Il la posa assise sur la cuvette, se redressa, recroisa les mains et attendit, ses yeux plongeant droit dans les siens. Tête baissée, morte de honte, Odile se soulagea beaucoup plus longtemps et bruyamment qu'elle ne l'aurait voulu. Quand elle voulut prendre du papier, la main à nouveau presque douce de Michel l'arrêta. Il en prit lui même, la fit se mettre debout et l'essuya doucement avec beaucoup de soins.

Pour Odile, c'était le geste de trop. Elle ne put s'empêcher de se blottir contre sa poitrine et de la serrer de toutes ses petites forces, réclamant à corps et à cris une quelconque marque de tendresse. Pour Michel également, ce fut le geste de trop. L'expression sévère de son visage disparut en une fraction de seconde et il étreint sa bien aimée petite protégée à presque lui casser les côtes. Il fallut deux minutes pour qu'ils se décident à bouger de nouveau. Odile avait toujours sa pauvre culotte aux chevilles, et quand il la lui remit, le contact froid et mouillé sur son entrecuisse lui fit un petit électrochoc. Il la souleva comme une plume et la balança doucement de gauche à droite, bien au chaud, toute serrée contre lui.

« Mon bébé, mon petit trésor ... »

Des formules très banales, mais l'émotion y était tout de même.

« Je suis désolé ma puce, mais on est déja en retard. Il faut que je te conduise la bas. »

Pour toute réponse, elle se contenta de serrer plus fort, comme pour lui dire qu'elle comprenait, qu'elle savait avoir mérité cette correction et qu'elle ne lui en garderait pas de rancune. Et puis ce fut le moment. Tenant la main serrée et tremblotante d'Odile dans la sienne, Michel ouvrit la porte sur un réfectoire plein ou toutes les tables avaient été déplacées à la manière d'une salle de classe, afin que les chaises convergent vers l'avant de la salle, là ou se tenaient monsieur le directeur et son équipe éducative. Entre les tables remplies d'élèves et le directeur, une unique chaise leur était destinée. Soudain plus rien n'eut d'importance, et le décor s'évanouit

Des années plus tard, en repensant à cette scène Odile serait toujours incapable de se souvenir comment elle avait franchi cet espace. Elle marchait comme dans un rêve, sur un nuage de coton, aveuglément, juste tirée par la main de son tuteur qui la guidait dans la bonne direction. Elle se souviendrait de la vague impression d'être basculée en avant, sur une paire de cuisses très épaisses et solides, des jambes d'homme. Elle se rappellerait avoir senti une main anormalement grosse, dont on aurait pu penser qu'elle caressait son derrière : en réalité elle le déshabillait. Elle se rappellerait avoir frissonné de la caresse de l'air frais sur ses fesses trempées d'une fine pellicule de sueur, probablement due à l'appréhension ...

Quelque chose de très lourd s'enroula sur ses hanches, juste au dessus du sillon fessier et elle attendit que la correction commence. Après tout, des fessées, elle en avait déja reçu, ce n'était qu'un mauvais moment a passer. Elle avait même déja reçu des coups de martinet alors ce n'était pas ...

SLAAAAAM!

La puissance de ce premier coup fut une surprise totale ! C'était vraiment une main, ça ? Ca ne ressemblait à rien de ce qui l'avait corrigé par le passé !

SLAAAAM !

Une nouvelle claque d'une violence tout aussi incroyable avait résonné très fort sur les murs de la pièces. Plusieurs autres filles avaient mis leurs mains devant leurs bouches comme pour retenir un cris d'épouvante.

SLAAAM !

Trois claques et ça commençait déja à faire vraiment mal ! En essayant, sans vraiment le vouloir, de se débattre, elle se rendit compte qu'elle se trouvait dans un étau qui l'empêchait même de gigoter. La frappe suivante l'atteint juste entre les fesses au moment ou écartait les cuisses pour tenter de se débattre. Sans qu'Odile puisse s'expliquer pourquoi, elle sentit cette douleur presque insupportable jusque sur son anus, et se dépêcha de serrer bien hermétiquement les fesses. Elle reçut alors deux gifles sur chaque fesses qui résonnèrent tout autant que les autres mais lui parurent infiniment plus douloureuses que les autres. Incapable de maintenir plus longtemps son effort, elle se relâcha et dut recevoir la claque suivante avec une désespérante passivité. Après seulement dix coups lui venait l'idée qu'elle ne pourrait guère en supporter plus et des larmes de douleur et de désespoir commençaient déja a couler.

Et pourtant, elle en reçut encore. Il lui semblait que la douleur ne lui brûlait pas seulement la peau mais que toute sa chair se contusionnait, que la souffrance s'incrustait jusque dans les os de son postérieur. Jusqu'à la vingtième claque environ (mais en fait, n'était ce pas la trentième?) elle réussit a pleurer discrètement, poussant tout de même des cris de douleur de plus en plus intenses. Mais par la suite ces cris ponctuels devinrent une longue plainte continue et larmoyante. Dans un oubli total d'elle même, elle se mettait à pleurer comme un bébé, hurlant avec des hoquets et des inspirations brusques, la vue trop brouillée par les larmes pour distinguer encore quelque chose.

Impossible de savoir combien de coups elle reçut exactement ni combien de temps dura ce supplice, mais il eut une fin. Pendant quelques minutes on la laissa en position, le temps pour elle de finir de crier et de sangloter tout son saoul. Puis des mains très douces la firent se retourner, un bras s'enroula sous ses épaules et un autre sous ses cuisses, juste en dessous des fesses martyrisées. Elle sentit sa joue se poser sur quelque chose de chaud et de doux, mais sur lequel elle ne s'enfonçait pas. Le creux d'une épaule. La main qui lui tenait la cuisse la posa assise sur ses genoux, ce qui lui arracha encore un douloureux sanglot, et vint se plaquer sur son visage pour le caresser avec passion. Elle entendait vaguement des murmures réconfortants dont elle n'arrivait pas à comprendre le sens. Elle se sentait bercée d'avant en arrière, et la douleur qui lui brûlait encore les fesses prit soudain beaucoup moins d'importance.

Quelques minutes plus tard, après un bref discours du proviseur aux autres filles leur recommandant d'être bien sages sous peine de se retrouver dans la même posture, alors qu'elle avait toujours les yeux hermétiquement fermés et le visage collé à cette épaule, elle se sentit monter d'un coup et comprit qu'il s'était levé. Il la conduisait quelque part, marchant avec précaution dans les couloirs. Il l'entendit demander à quelqu'un de lui ouvrir une porte. Derrière se trouvait une chambre et un gigantesque lit couvert d'une couette rose et moelleuse. Il l'allongea dessus avec mille précaution et vint s'étendre a son tour tout contre elle. Il lui fit d'interminables et tendres caresses, qu'elle ne trouva pas longues une seule seconde.

« Je t'aime, Odile ... »

Cette déclaration la prit totalement au dépourvu. Elle n'y avait pas pensé mais ce qu'elle avait ressenti pour lui, et sentit grandir durant ces quelques jours, c'était bien ça. Elle voulut lui dire je t'aime a son tour, mais toutes ces émotions avaient brisé sa voix et elle ne put que balbutier quelque chose qui y ressemblait très vaguement. Au lieu de refermer la bouche, elle la maintint grande ouverte et implora des yeux quelque chose qu'elle désirait ardemment depuis plusieurs heures. Michel comprit sans problèmes et ses lèvres vinrent couvrir les siennes, tandis que sa langue, telle une couverture qui s'étend, tombait dans sa bouche et lui remplissait tout le corps d'une divine chaleur ...

UN SOIR CHEZ MICHEL

 

Quelques mois ont passé depuis ce jour où Michel a pris Odile dans ses bras pour la première fois. Aujourd'hui, ils passent la majeure partie de la semaine à quarante kilomètres l'un de l'autre, ce qui n'est tout de même pas énorme. Anne-Marie et Laurent sont maintenant de bons amis, de même que « monsieur le directeur », qui prévoit déjà une nouvelle édition de ses vacances à la campagne version classe de neige, en décembre. La distance les réduit cependant à l'état de simples correspondants par mails ... Par bonheur, ce n'est pas le cas avec son Michel, et tous les vendredis depuis quelques semaines, lorsque l'aiguille de l'horloge se rapproche de 17h30, ses camarades voient la petite Odile commencer à se mordiller les lèvres, à tourner en rond et a trembloter de ses longs doigts fins et fébriles. Les plus attentives la verraient parfois frissonner en frottant discrètement ses fesses. Dans quelques minutes elle sortira, et son homme l'attendra probablement dans sa voiture, sur la parking du magasin. Il l'emmènera chez lui pour la soirée, voir la journée du lendemain ... et peut-être même le dimanche. Et ce qu'il lui fera ... justement, Odile n'en sait rien du tout, et c'est bien ce qui la travaille ! Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle n'a pas reçu de fessée le week-end dernier, ni les deux précédents ... Celà fait donc deux week-ends où elle se dit que c'est probablement pour cette fois ! Aujourd'hui encore, elle ne peut rien dire d'autre que « probablement » ...

17h30 tout rond. Odile lâche enfin ses débardeurs et autres culottes fluo et peut s'éloigner de cette saleté de poste qui diffuse en continu du R&B bon marché depuis maintenant plus de huit heures. Elle se précipite vers la porte et l'ouvre, prête à courir vers la liberté ... et se retrouve face à un mur.

Le mur en question est composé d'une large poitrine, d'un ventre presque plat (hélas, seulement presque), et d'une paire de bras et d'épaules massifs, qu'orne un marcel de travail inélégant, sur lequel on peut encore apercevoir quelques petits copeaux de bois. Au sommet de ce mur, à quelques vingts centimètres des yeux d'Odile, se tient une tête dôtée d'une mâchoire carrée, dont le propriétaire (comme il fallait s'y attendre) avait encore dû oublier de se raser pendant deux ou trois jours ...

« Bonjour m'sieur ! C'est pour une pince à épiler ? Sur le menton ce serait pas du luxe ! »

Odile fait un pas en avant. Les bras qui composaient le mur s'écartent pour l'enlacer, l'un dans le dos, l'autre juste sous les fesses et elle a cette sensation, désormais familière mais toujours insolite, de sentir le sol disparaître et de rester en suspension. Michel l'éleve même de quelques centimètres en direction de l'une de ses épaules, qui dégagent une forte odeur de bois, mêlée il faut bien le dire, d'une légère odeur ... de travailleur dirons-nous.

« J'ai fini un peu plus tard, et comme je voulais t'accueillir à la sortie je n'ai pas eu le temps de prendre une douche.
- Mais qu'eeeeesst c'que c'est qu'çaaa ! Un vilain gros ours pas lavé et tout plein d'poils ! Est-ce que c'est une façon d'accueillir sa douce bien aimée ? »

Un gros bisou sonore vient tenir lieu de réponse. La prenant par la main, Michel amène sa « douce bien aimée » jusqu'à sa voiture, qui est, elle aussi (disons le pudiquement) ... une voiture d'homme. Michel étant un grand adepte de ce qu'il appelle le « bordel propre », rien de malodorant ne traîne dans sa voiture. On peut cependant y trouver un paquet de cookies à moitié mangé et dont on peut supposer que la moitié restante fond au soleil depuis au moins 24 heures, quelques canettes de jus de fruits traînant à même le sol, une édition du « journal des sans-abris » que personne ne lira, l'emballage d'un jeu vidéo bête et méchant, Les chants de Maldoror, Le petit livre des pensées les plus drôles, un « Fluide glacial », plusieurs bouteilles d'eau vides ... et d'autres choses qu'on ne peut qualifier que de « diverses ».

Je passe sur les commentaires exaspérants dont est capable une Odile survoltée pour arriver, quarante kilomètres plus tard, dans un petit appartement situé dans un des quartiers les moins urbanisés de Besançon. Et là le lecteur attentif (mais y-en-a-t'il seulement ?) s'attendrait à ce que je lui décrive un appartement que l'on pourrait qualifier pudiquement « d'appartement d'homme » (d'homme célibataire, s'entend). Eh bien absolument pas ! Le carrelage blanc est immaculé, les habituels tas de linge et autres bouts de papiers griffonnés de notes et de rimaillages ont mystérieusement disparus, les livres sont rangés par piles et par auteurs dans le meuble prévu à cet effet et, comble du luxe, un bâton d'encens au bois de santal a brûlé ici très récemment

Michel sort un verre et une bouteille de boisson chimique acide et sucrée n'ayant d'autre mérite que d'être mystérieusement aimée par Odile, les pose sur la table du salon et, de sa voix la plus charmante, lui propose d'attendre sur le canapé son retour de la salle de bain en prenant bien ses aises, précisant que, une fois n'est pas coutume, il en avait pour un petit moment. Elle acquièsce d'un léger mouvement de la tête et s'étend comme une petite chatte qui prends bien le temps de s'étirer le long dudit canapé. Fermant les yeux pour siroter sa boisson à bulle avec le délice que l'on a toujours après un régime sain et contraignant à s'empiffrer de choses grasses ou sucrées, la journée de travail lui paraît déjà très loin.

Bercée qu'elle est par le bruit d'eau de la salle de bain, étendue sur des coussins moelleux, la bouche rafraîchie et parfumée d'un goût fruité parfaitement ... chimique, chacun de ses muscle s'étire et se décontracte à son rythme, au point qu'elle se sent presque prête à s'assoupir : c'est dans un état de demi-sommeil qu'elle entend s'ouvrir la porte de la salle de bain. Elle ouvre des yeux préparés à voir sortir sa belle bête de compagnon en serviette de bain. Au lieu de celà, c'est une silhouette droite et digne, toute de noir vêtue qui s'approche d'elle d'un air sévère et déjà consterné. Michel est maintenant parfaitement glabre, les cheveux mis en ordre avec soin, discrètement parfumé d'eau de toilette boisée. Vêtu d'une chemise bleue sombre brillante, il porte impeccablement un costume noir, sobre et élégant. Odile a un faible pour les hommes en costumes strict mais n'aurait jamais imaginé son Michel dans une telle tenue. Et, comble d'étonnement, il la porte plutôt pas mal ! Avec une lenteur calculée, il vient se poser à quelques centimètres du canapé. Droit comme un i, il lui fait les gros yeux.

« Mais qu'est ce que c'est que cette attitude, ma fille ! Veux-tu bien t'asseoir correctement ! Est-ce qu'une jeune fille bien élevée a pour habitude de se vautrer ainsi ? Et cet accoutrement ! »

Il empoigne tour à tour, rapidement, ses cuisses et ses hanches, couvertes d'un jean court et sa taille, puis sa poitrine, serrées quand à elles dans un débardeur d'été fluorescent. Ainsi doivent s'habiller les vendeuses de chez J..... Il la saisit ensuite sans ménagement par le bas pour la redresser.

« Viens donc par là ! Il est hors de question que tu restes habillée comme ça ! Va dans la chambre, je vais te mettre des vêtements plus corrects ! »

Comme c'était souvent le cas dans ce genre de situations, Odile fut trop désorientée pour réagir de quelque manière que ce soit. Elle se contenta de se laisser conduire dans la chambre, soulever comme une poupée et allonger sur le lit, un grand lit moelleux avec une solide armature de chêne bien épais.

Michel lui lia les bras derrière la tête pour entreprendre de lui retirer soigneusement son débardeur, profitant honteusement de la situation pour caresser ses flancs et ses petites épaules, si fines qu'on les aurait cru prêtes à casser sous ses doigts. Le vêtement retiré, il s'étendit un moment sur elle pour l'embrasser très profondément en la serrant bien fort contre lui. Ils restèrent ainsi attachés l'un à l'autre durant plusieurs minutes avant qu'il ne se décide à continuer son oeuvre de mise à nu.

Comme pour déshabiller un bébé, il lui leva les cuisses et fit glisser son jean le long de ses jambes en une caresse un peu rugueuse propre au frottement de ce genre de tissu sur la peau. Derrière il découvrit non sans une certaine surprise et une expression faussement scandalisée, cachant à peine ce merveilleux petit trésor déjà bien moite, un string ! Odile en fut quitte pour être sévèrement grondée. Après tout, depuis quand une jeune fille sage et de bonne famille est elle censée porter ce genre de dessous !

Une fois nue, voluptueusement étendue dans ces couvertures vaporeuses, Odile avait quelque chose. d'angélique. N'aurait été son sexe trempé et ses yeux brillants de passion, on lui aurait cru la sérénité de Bouddha et la candeur d'un nouveau né. Michel ouvrit un tiroir et en sortit les nouveaux vêtements de sa bien aimée. Il y avait une petite culotte blanche toute de dentelle vaporeuse, un soutien-gorge parfaitement assorti et une simple robe, elle aussi d'une blancheur immaculée : une robe blanche nuageuse, qui aurait pu être celle d'une demoiselle d'honneur lors d'un mariage. Il lui enfila la petite culotte avec un soin tout simplement ... amoureux, et lorsque le fin tissu vint recouvrir le sexe délicat, elle ne put retenir une large inspiration de plaisir. Il en alla de même lorsque le soutien-gorge fit durcir la minuscule pointe de ses tétons roses, mais ses frissons de plaisir intenses et ciblés ne furent pas aussi délicieux que la caresse de la robe, douce comme la soie, sur son corps entier. Les mains de son amant la saisirent alors et la soulevèrent à nouveau. C'est tout naturellement qu'elle vint se blottir, bras repliés, contre sa poitrine. Elle ouvrit la bouche pour réclamer un autre baiser, qui la remplit presque aussitôt

« Ma toute douce ... Habillée comme ça, tu as l'air d'une créature d'un autre univers. Une Dame du lac peut-être, ou un esprit des ruisseaux ... »

Il la serrait à présent de toute ses forces, comme s'il avait peur de la voir s'envoler. Ses épaules se balançait lentement, de gauche à droite, et son visage s'approchait d'elle de temps à autre pour couvrir de baisers la moindre parcelle de chair que la robe laissait entrevoir.

Il s'assit sur le lit, la posa sur ses genoux et la caressa encore un moment. Puis c'est de sa propre initiative qu'Odile entreprit de se retourner, d'abord sur la hanche en l'embrassant passionnément dans le cou, puis sur le ventre avec un grand soupir de confort. Elle en avait envie ! Michel comprit immédiatement, et son bras gauche vint s'enrouler autour de la taille toute fine de son aimée, tel un boa qui s'enroule en douceur autour de sa victime mais dont la douceur cache une force suffisante pour que ladite victime soit complètement bloquée. Odile se léchait et se mordait les lèvres, toute de stress et d'anticipation à la perspective de recevoir bientôt ce qu'elle avait elle même réclamé et qu'il était trop tard pour regretter. Elle sentit cette large et terrible main, qu'elle connaissait bien, à présent, se poser en douceur sur sa robe, au niveau de ses fesses, pour les caresser avec bienveillance.

Comme à chaque fois qu'il la prenait sur ses genoux, Michel fut fasciné par la douceur de la chair des femmes lorsqu'elles sont allongées et parfaitement détendues. La main semble s'y enfoncer sans rencontrer la moindre résistance, et lorsqu'on les promène le long des jambes et du dos, partout se retrouve cette même tendresse. Sans retrousser encore la robe, il glissa son bras en dessous pour lui caresser les cuisses. Et la chaleur anormale qu'il ressentait à mesure qu'il montait ne laissait aucun doute quand à l'état d'excitation dans lequel se trouvait sa petite chérie. Aurait-il seulement touché cette fine culotte de dentelle qu'il l'aurait trouvée moite et brûlante. Autrement dit il était temps d'en finir et de lui donner enfin la fessée qu'elle attendait, pour pouvoir ensuite satisfaire cette ardeur qui (disons-le) faisait écho à la sienne. Il entreprit donc de relever la robe, dont la caresse fit se couvrir les cuisses d'Odile de chair de poule. Michel ne la déculotta pas, afin que le tissu reste en contact avec son sexe. Il prit encore une fois son derrière en main, pour le malaxer rudement tandis qu'Odile, ressentant de plein fouet son impuissance, appréhendait le début de la correction. Puis il leva la main très haut et ...

sssSSSSCHLAC !

La fessée venait de commencer. Odile ouvrit brusquement de grands yeux surpris, lança un cri aigu et bref et se dressa sur ses coude, aussi haut que le bras qui la ceinturait le lui permettait. D'autres claques suivirent, à peine moins fortes que la première. Cette accumulation de coups sur son petit derrière exposé la fit vite serrer les dents. Elle sentait son fessier brûler de plus en plus vivement, et avec la chaleur qui montait, cela commença à faire mal !

Michel la frappait régulièrement, émerveillé de voir ce postérieur se tordre et découvrir ses trésors, tout en rougissant à mesure qu'il lui imposait sa marque. Il devinait la vulve toute fondante qui le réclamait d'un grand cri silencieux en inondant la culotte dont elle était encore prisonnière. En se tordant, le ventre chaud d'Odile frottait contre son sexe de plus en plus dur et dressé, tandis qu'à chaque claque son cri de surprise, de douleur et excitation mêlé le rendait de plus en plus nerveux ... Pris de frénésie, il se mit à frapper de manière brutale et désordonnée le postérieur déjà rouge. Il devait lui faire très mal maintenant, mais l'espace d'un très court instant, il n'y pensait plus.

Finalement, une fois n'est pas coutume, cette correction s'interrompit parce que lui n'en pouvait plus ... de désir ! Il la retourna brusquement pour la poser sur le lit, retira ses vêtement à la hâte, au risque de les arracher, et écrasa la boite de préservatifs pour en retirer un, tout de suite ! Il saisit la culotte d'Odile pour la lui ôter, d'un seul geste brusque. Les yeux brillants de larmes, mais aussi de joie et de malice, Odile murmura d'une voix chantante ces deux petits mots si ravissants aux oreilles des hommes :

« Prends-moi ! »

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 16:43
 TEXTE ENVOYE PAR UN INTERNAUTE ANONYME


LES VACANCES:


Enfin les grandes vacances! Deux semaines qu'on parlait plus que de ça au bureau! Élise, la gérante, partait en Bretagne avec toute sa famille. Delphine la nouvelle prévoyait un séjour en amoureux sur la cote d'azur avec son copain : la tente, la moto, le camping nocturne dans la foret inquiétante et ses gros bras pour la rassurer.... une vraie romantique a l'ancienne!

Odile, 24 ans, vendeuse dans une boutique de fringues pour adolescentes dont je ne puis réveler le nom (c'est un prénom et ça commence par un J), avait été très peu disserte sur ses propres propjetrs pour les prochaines semaines, révélant seulement qu'elle allait profiter de l'air pur des montagnes du Haut-Doubs, des fleurs, des saucisses fumées au sapin, du chocolat suisse, du chant des oiseaux et des vaches ... le tout dans un petit hôtel en pension complète pour un prix très modeste. Elle avait un magnifique visage effilé au teint rose, des cheveux châtains, mi-longs qu'elle ramenait en queue de cheval, de très grands yeux verts très expressifs qui lui permettait de lancer des regards d'une espièglerie parfois proche de la démence et un petit corps soigneusement affûté par des années de danse et de discipline alimentaire.

Sa ravissante petite voiture de ville progressait maintenant depuis une heure a travers de petits chemins de terre boueux qui lui avait fait perdre déjà beaucoup de son lustre. Elle s'était arrêtée plusieurs fois pour cueillir des fleurs, des mures et des fraises sauvages qu'elles avait commencé à déguster dans sa voiture, malgré le conseil donné au randonneur de ne pas les manger crues. Il faut dire que ces minuscules petites fraises avaient un goût inimitables. Sa destination était une ancienne ferme très reculée située bien haut dans la montagne. Cette ferme appartenait à un professeur de littérature en lycée, un homme d'une trentaine d'année qui s'en servait de résidence secondaire. Il en avait acheté la ruine pur un prix raisonnable, puis, à force d'huile de coude et grâce à la participation financière de quelques amis aussi passionnés que lui, il l'avait ... aménagée.

La propriété s'ouvrait sur une pelouse ceinturée de magnifiques massifs de fleurs. Deux petites cabanes de bois clair se dressaient au milieu de cet espace, et une autre, plus reculée, était collée à la maison. Cette énorme et vieille bâtisse semblait construite pour accueillir plusieurs familles, ce qui avait été le cas d'ailleurs. La remettre en état sans faire appel a la moindre entreprise d'aménagement (pour des raisons de coût et ... de discrétion) avait exigé des efforts titanesques. Mais la passion a ses raisons que la raison ignore. Un morceau de champ recouvert de caillasse faisait office de parking derrière la maison, dissimulé par les arbres. Le propriétaire tenait a ce que ses pensionnaires n'aient, dans la mesure du possible, jamais vue sur leur véhicule depuis son refuge. En voyant la voiture d'Odile arriver, un homme l'accueillit avec chaleur et offrit de lui prendre ses très maigres bagages. Elle n'aurait pas besoin de beaucoup de choses.Comme le voulait la coutume, chaque pensionnaire était accueillie d'abord dans « le bureau », une petite pièce au centre du bâtiment, et ce par toute la fine équipe responsable du séjour. Elle dut donc attendre un instant que cette équipe se réunisse avant d'y être conduite. On la fit donc entrer dans une petite pièce richement décorée de tapis, de tableaux d'une charmante banalité (natures mortes, paysages...) et d'un grand bureau en bois sombre soigneusement verni.

Derrière ce bureau se tenait un homme élégant, vêtu d'un costume noir, un petit mouchoir blanc dépassant légèrement de la poche pectorale de sa veste (peut-être pour cacher une vilaine petite tache?), bronzé, aux cheveux noirs très court, la trentaine dynamique, mince et légèrement plus grand que la moyenne.

A sa droite, adossé au mur, se tenait un gros bonhomme rougeaud et pas très grand, au large et honnête sourire, roux avec une moustache bien épaisse. Il était coiffé d'une toque de cuistot et vêtu de l'uniforme blanc propre à cette fonction, mais sa bedaine le faisait plus ressembler à une sorte de Père-Noël sans la barbe.

A coté de lui, affichant un sourire plus discret, plus réservé, plus vicieux, se tenait une femme d'une quarantaine d'années, au regard perçant, que l'on devinait d'une vive intelligence, elle aussi vêtue de blanc, plutôt grande et à peine trop mince, qui dévisageait Odile avec chaleur et ... gourmandise.

A sa gauche, un superbe jeune homme, noir avec de grandes dents blanches, dont les vêtements d'été laissaient paraître des bras magnifiquement sculptés, des épaules épaisses, des pectoraux proéminents et une rangée d'abdominaux parfaits. On aurait cherché en vain la moindre parcelle de graisse sur chaque recoin de son anatomie. En examinant du coin de l'oeil le fin tissu de son pantalon à hauteur d'homme, elle se demanda l'espace d'une demi-seconde si la rumeur selon laquelle les noirs ... et rougit jusqu'aux oreilles comme une lycéenne!Après avoir reçu de chacun une bise enthousiaste, on la fit asseoir et monsieur le directeur, les mains sur son bureau, prit la parole.

« Mademoiselle, je vous souhaite tout d'abord la bienvenue, puisque pour le moment je suis encore tenu au vouvoiement. Dans quelques minutes, vous serez une de nos petites pensionnaires et ce pour une durée d'une semaine. Permettez-moi de vous présenter quelques unes des personnes qui peupleront votre quotidien, et auxquelles vous devrez bien entendu témoigner respect et obéissance. »Beaucoup de fioritures ... mais après tout, de la part d'un « monsieur le directeur » ça sonnait bien!« D'abord, monsieur Michot, notre cuisinier, un virtuose de la cuillère en bois ... Ensuite notre doctoresse, Madame Hautepin, moi-même que vous vous contenterez d'appeler "monsieur le directeur", et votre instituteur, monsieur Laurent. Comme chaque jeune fille, vous serez également placée sous la garde d'un tuteur, chargé spécifiquement de s'occuper de vous. Si vous avez envie d'une peluche, d'un câlin ou d'une histoire pour vous endormir, c'est à lui qu'il faudra le demander... mais il n'acceptera pas forcément, c'est a vous de lui obéir et non l'inverse. Hormis vos camarades, toute autre personne peut décider de vous infliger une fessée ou toute autre punition à sa convenance. Pour les bêtises les plus graves, on me consulte généralement au préalable mais ce n'est en aucun cas une obligation. Ne venez donc pas vous plaindre à votre tuteur ou a moi d'une punition que l'on vous a donnée, vu ne réussiriez qu'à en recevoir une deuxième. »Il fit mine de se pencher devant elle :

« Jusque la tu as bien compris ma puce ?
- Oui... monsieur le directeur !
- Bien! »
Il appuya ce mot d'une rude caresse dans les cheveux. On frappa à la porte. « Entrez. » Un très grand jeune homme au visage orné d'une barbe d'une semaine ouvrit la porte. En le voyant, Odile se dit une seconde que sa mère, quelques vingt-cinq ans plus tôt, avait du fauter avec un ours ! Ses bras, son torse, et tout le reste étaient aussi massifs sinon plus que ceux de l'instituteur, mais moins dessinés. Si l'un ressemblait à un athlète ou a un culturiste, l'autre ressemblait plutôt a un viking... Heureusement qu'elle n'avait pas a choisir !
« Ah, justement ! Je te présente Michel, ton tuteur! »

Sans s'expliquer pourquoi, elle se dit qu'il avait bien une tête a s'appeler Michel. Après avoir salué tout le monde, il la prit sans manières et sans lui demander son avis dans ses bras et la souleva comme une plume !

« Viens mon bébé, c'est l'heure de faire ta toilette ! »

LA DOUCHE DU SOIR ET LE DINER

Odile se laissait porter dans ce couloir étroit jusqu'à un cul-de-sac. De chaque coté des murs étaient installés des bancs, sur lesquels étaient assises une douzaines de femmes, de vingt à cinquante ans (en réalité l'une d'elle en avait même soixante, mais l'esprit jeune ça conserve !) portant toutes le même uniforme : Jupe plissée, chemise, socquettes ... rien que de très classique, de quoi faire plaisir aux fétichistes des uniformes scolaires et distraire les autres par le coté « bateau » et « vieux kitsch ». Certaines étaient assises sur les genoux de leur tuteur, ou a coté de lui, bien serrées. Pour d'autre, le tuteur était debout, penché sur elles, et leur caressait les joues et les cheveux. Michel posa sa petite protégée sans efforts sur le banc, puis, de l'index, il lui tapota le bout du nez en lui murmurant :

« Tu vas attendre gentiment ici. Le matin, vous avez le droit de prendre votre douche toutes seules, mais le soir il faut que vous soyez toutes bien propres pour aller faire de jolis rêves, alors avant de dîner c'est au tuteur de faire la toilette ! Tu vas voir, c'est très doux et ça fait beaucoup de bien. »

Salué par un « aaaaahhh ! » collectif de toutes les voix féminines en présence, le directeur arrivait avec les clefs de la salle de douche. Pour éviter chahut et précipitation, tous les tuteurs, Michel y compris, tenaient leur petite chérie par les épaules, afin de la faire rentrer dans le calme et la discipline. Il n'y avait pas de cabines, uniquement des douches fixées au mur, et, plus loin, des bancs pour poser les affaires de ces demoiselles.« Allez ma chérie, lève les bras ! »

Docilement, Odile laissa son tuteur lui retirer son maillot, son jean, sa fine culotte de dentelle et son soutien gorge assorti : autant de vêtements qu'elle n'était pas prête de remettre. Il la prit ensuite par la main et, après avoir soigneusement contrôlé la température de l'eau, la plaça sous le jet de cette manière douce mais sans appel qui caractérisait tous ses mouvements. Dés ce moment, Odile commença vraiment à se sentir en vacance ! La main gantée et savonneuse de Michel parcourait son corps, non comme des attouchements vicieux mais comme d'aimantes caresses. Il prit tout le temps de lui masser le dos et les jambes, de frictionner ses petits bras minces et fermes, de frotter plus délicatement la peau fragile de ses aisselles et de malaxer sa nuque en douceur, comme elle aimait. Il se mit finalement à caresser son petit popotin tout rond pour le pousser a s'ouvrir comme une jeune fleur, sans le brusquer, et frotter tendrement les trésors que dissimulaient ses pétales de chair. Il était évident à ses soupirs enjoués et ses longues ondulations qu'elle était excitée, ouverte, et qu'elle voulait jouir ! Il prit donc tout le temps nécessaire pour parvenir à ce résultat : un bon tuteur doit avant tout déchiffrer les désirs de sa petite chérie. Quand Odile reçut finalement cette puissante décharge électrique qui faillit la faire tomber tant elle était intense (l'eau et l'électricité ...), sa tête se mit a tourner et elle eut vaguement conscience qu'on la sortait de l'eau pour la frotter dans un grand peignoire cotonneux. Quand enfin Michel la prit amoureusement dans ses bras, elle cessa d'essayer de se rappeler ou elle était.

Cette fois, il la conduisait dans le dortoir pour lui mettre son pyjama avant de la conduire au réfectoire. Nouveau plaisir, celui de se faire habiller. Au préalable, il l'avait fait asseoir sur le lit, pour lui masser les cheveux à l'aide de sa serviette. Une fois les cheveux à peu près sec, il la fit basculer sur le dos, les fesses en l'air et lui mit un pantalon blanc garni de petites fleurs pastel.
Mais ou trouvaient-ils des pyjamas aussi doux ? Quand on la fit s'asseoir pour lui mettre le haut, elle put aussi constater que, pour son épaisseur modeste, il était aussi très chaud. Tout cela l'avait beaucoup amolli,e et si elle n'avait pu en faire qu'à sa tête, elle aurait fait la sieste dès maintenant, le ventre vide, et se serait levée dans la nuit pour grignoter ... Tututut ! Très malsain tout ça ! Heureusement qu'on ne la laisserai justement pas agir à sa guise !

Au réfectoire, cinq grandes tables étaient garnies : six assiettes sur les quatre premières (trois pour les filles et trois pour les tuteurs), et quatre assiettes pour la cinquième (destinée au cuisinier, au professeur, à la doctoresse et à « moooosieur le directeur » pensa Odile, qui se garda bien de le dire tout haut). Chacune d'elle disposait d'un très gros récipient, rempli à ras-bord d'une soupe épaisse et fumante. Les tuteurs étaient chargées de remplir les assiettes de leurs filles afin que les petites ne se salissent pas déjà, si tôt après leur toilette. Michel en mit une quantité raisonnable dans l'assiette d'Odile, la corpulence de la jeune femme suggérant un appétit modeste. Fatiguée par son voyage et ses récentes émotions, Odile traînait a finir sa soupe, pourtant loin d'être la pire qu'elle ait goûté, surtout dans une cantine. Michel en profita pour l'encourager : « Odile ! Dépêche-toi un peu, la suite va arriver ! Allez, une cuillère pour papa, une cuillère pour ... »

« NAN, J'EN VEUX PAS ! J'AIME PAS LA SOUPE ! »

Dans cette atmosphère si calme, ce cri fit bondir tout le monde ! Une seconde plus tard, on aurait pu entendre voler une mouche. Il avait été proféré par une petite chipie à la première table au fond de la salle qui, malgré les remontrances de plus en plus fermes de son tuteur, s'obstinait, mains sous le menton et coudes sur la table, dans cette attitude butée des enfants qui font un caprice, à ne pas vouloir manger. Au moment où, à cours de patience, le tuteur en question allait se résoudre à employer la manière forte, le gros cuisinier vint à sa rescousse et se proposa de l'aider à régler le problème. De là où elle était, Odile ne put entendre ce qui se disait, mais le cuisinier (comment s'appelait-il déjà ? Micho ? Machin ?) lui faisait penser à un gentil grand-père tâchant de ramener son petit-fils (sa petite-fille en l'occurrence) à la raison pour lui épargner les foudres de son père, beaucoup plus strict. La réaction de cette effrontée lui fit tout a fait perdre ses manières de papy conciliant. Dépliant son bras, elle envoya de toutes ses forces un violent coup de coude dans la grosse bedaine si tentante du cuisinier. Odile se rappela que, dans son collège, frapper un(e) camarade était très grave, mais frapper un membre du personnel était le crime suprême, passible d'exclusion définitive sans appel.

Rouge de colère (a moins que ce ne soit l'unique petit verre qu'il buvait en mangeant tous les soirs depuis près de vingt ans), le cuisinier saisit brutalement la chipie par l'épaule, faisant preuve d'une énergie que l'on n'aurait jamais soupçonné, et de l'autre entreprit de lui claquer le derrière si fort que l'on entendit le bruit résonner contre les murs de la pièce malgré le tissu qui amortissait les chocs. La jeune fille avait tout à fait perdu sa morgue et ses manières de princesses : elle poussait à présent des cris et des sanglots qui, s'ils n'étaient pas sincères, étaient très bien imités ! Après une vingtaine de claques, il se tourna vers son tuteur et lui demanda très aimablement s'il pouvait la tenir un instant. Ayant obtenu un « oui », il la jeta littéralement entre ses bras. La pauvrette ne semblait pas savoir si elle devait masser ses fesses ou son bras endolori tandis que son tuteur, qui la couvrait de ses bras, entreprenait de la bercer pour la calmer un peu.

Le cuisinier partit, fulminant, vers sa cuisine et en revint une minute plus tard avec un véritable instrument de cauchemar dans les mains : une énorme cuillère en bois qui provoqua un tel sursaut à Odile et fit s'emballer son coeur tellement fort que l'on aurait pu penser que c'était elle qui allait bientôt la recevoir. La jeune fille (Émilie, c'est comme ça que son tuteur l'avait appelée) n'en menait vraiment pas large ! Son tuteur était maintenant très calme et compatissant, mais il fallut toute sa force tant physique que persuasive, pour la déculotter, la pencher en avant et la maintenir en place tandis que le cuisinier s'approchait d'elle avec une lenteur calculée. Tout le monde, en tout cas toutes les écolières n'avaient plus d'yeux que pour sa main, qui levait la cuillère très haut derrière lui comme un tennisman préparant son coup droit.

« AAAAhaaaaaaaaa !!!!! »

Ce cri avait été expulsé de la gorge de la pauvre petite, sans que la propriétaire de la gorge en question ait forcément été d'accord pour le laisser sortir. La cuillère se leva encore, on entendit un claquement qui ne rendait pas du tout justice a la violence du choc, puis un autre cri qui en donnait une bien meilleure idée. Odile était si intimidée qu'elle retint de justesse sa vessie de n'en faire qu'à sa tête. Ce n'était pas le moment de se faire remarquer. La cuillère se leva et frappa dix fois en tout, après quoi le tueur fit relever la jeune fille, doucement, prudemment, pour qu'elle se jette dans ses bras et y pleure tout son saoul.

Une fois calmée, les yeux tout rouges, elle dut aller s'excuser auprès du cuisinier et lui faire un bisou. Le gros bonhomme la prit à son tour dans ses bras avec beaucoup de chaleur. Il lui avait pardonné depuis longtemps. Elle dut aller néanmoins au coin cul nu pendant un petit moment afin que ses hématomes spectaculaires servent de leçon a tous les autres. Michel prit la parole :

« Tu vois, monsieur Michot est à la fois le plus gentil et le plus méchant d'entre-nous. Il ne s'énerve presque jamais, mais quand il se fâche, il se fâche vraiment ! C'est pour ça qu'il vaut mieux ne pas le mettre en colère, surtout pendant les repas ... alors mange vite ta soupe ! »

Odile ne se le fit pas dire deux fois, et la soupe fut engloutie en un temps record. Après une bonne purée bien mousseuse, pleine de lait et à la croûte généreusement garnie de fromage, des saucisses, une feuille de salade et une mousse au chocolat (le cuisinier pensait priver la punie de dessert, mais ... et bien, son bon coeur le perdra !) les filles eurent le droit d'aller jouer un moment avant d'aller se coucher. Comme le temps le permettait, elles allèrent toutes jouer dehors, exceptée la punie que la doctoresse emmena d'abord à l'infirmerie pour « s'occuper d'elle » ... une expression laissée a l'interprétation de chacun ...

 

LA RECREATION ET LA PREMIERE NUIT

 
 

Décidément, rien ne manquait dans l'arrière-cour : marelles, cordes-à-sauter, élastiques, et même un ballon ! Seuls deux des tuteurs restaient pour les surveiller, car après tout c'était une heure de liberté. Les autres allaient eux aussi goûter à un petit moment de détente bien mérité.Odile en profita pour se faire de nouvelles copines, apprenant par exemple que sur les douze tuteurs, huit étaient en réalité les maris, fiancés ou petits-amis de leurs écolières respectives : elle faisait donc partie des quatre seules a avoir découvert le sien a son arrivée. Elle aurait d'ailleurs pu tomber plus mal ! Émilie était une habituée. Malgré sa jeunesse, elle participait cette année pour la quatrième fois à ces vacances et, chaque fois, elle s'arrangeait pour prendre la plus grosse dérouillée.

Pour passer le temps, les filles proposèrent un concours de saut à la corde. Odile, qui n'avait pas pratiqué depuis quinze ans, fit une performance lamentable de trois saut avant de s'emmêler les pieds dans la corde au quatrième passage. La suivante, une grande brune métisse au regard de feu, lui prit la corde avec un petit sourire en coin et en fit une cinquantaine sans efforts avant de s'arrêter volontairement. C'était Anne-marie. Forcément, elle faisait de la boxe française, la garce ! Sa silhouette était très fine, mais on voyait ça et là autour de ses bras et de ses épaules ses muscles émerger de sa peau comme ceux d'un homme mince. C'était la première fois qu'Odile voyait une femme musclée, et elle ne trouva pas du tout ça aussi repoussant qu'on a l'habitude de le dire. Au contraire, tout son corps respirait la vitalité, l'énergie, la force et la joie de vivre. Ca donnait envie de s'y mettre aussi. Mais bon ... Odile était vexée, et se dit que si elle avait l'occasion de la moucher, elle ne se gênerait pas : les enfants entre eux ne se font pas de cadeau, et les femmes encore moins !En attendant, elle rongeait son frein. Elle décida de s'en faire une bonne copine, juste au cas où ... Elle avait eu un judoka dans sa vie, et elle savait comment caresser ce genre de personnage dans le sens du poil !

« Dis donc, commença-t-elle, ça fait combien de temps que tu boxes ?
- Oulah, au moins dix ans !
- Alors un mec comme ton tuteur, tu pourrais le réduire en poussière ?
- N'importe qui pourrait faire ça ! »

Elle entreprit alors de lui réciter des discours qu'Odile connaissait déjà par coeur, sur la relativité de la notion de « force », l'incertitude de toute vraie bagarre quant à son résultat et tout le baratin habituel. Aucune importance : l'essentiel était de la faire parler. Odile découvrit que sa nouvelle amie était gentille mais pas stupide, et qu'elle ne pourrait pas en faire ce qu'on voulait ! Dommage, mais ça lui ferait toujours de la compagnie. Peu a peu, elle fit dévier la conversation sur les hommes du pensionnat. Elle appris qu'Anne-Marie était elle aussi célibataire, et que son tuteur l'intéressait moyennement, en tout cas beaucoup moins que le bel instituteur ! « Aaaah, l'instituteur ! » pensa Odile, « c'est vrai qu'ils feraient un beau couple ! » Elle les imagina en train de courir côte-à-côte, ruisselants de sueur dans des t-shirts minces et de très courts shorts moulants qui laisseraient voir les muscles de leurs cuisses s'agiter dans l'action ... Pour le décor, elle hésitait juste entre un lever et un coucher de soleil. Elle se dit ensuite qu'un coucher de soleil était plus propice à une petit pause derrière un buisson, et a quelques bêtises ... Qu'est-ce-qu'ils auraient été beaux, nus tous les deux, elle étendue sur un lit de feuilles mortes, contractée par le plaisir, cuisses bien écartées, et lui sur les genoux, bien droit, maintenant levées les hanches de sa partenaire à la force de ses bras et faisant jouer ses abdos et ses fesses à chaque va-et-viens ... Huuum !

« Mais pourquoi n'irais-tu pas lui faire du charme alors ? Qu'est ce que tu risques ?
- A part une trempe à ne plus pouvoir m'asseoir pendant deux jours ?
- Roh, ce que t'es négative !
- Je le connais pas, le bonhomme ! Je préfère attendre de l'avoir vu en mettre une sur ses genoux. Dans un cas comme ça, soit il marche dans mon jeu soit il me punit, et si c'est vraiment une brute je préfère ne pas l'apprendre au dernier moment. Mais si il est pas trop méchant, je tenterai ma chance.
- Mouais, c'est la sagesse même ! Bon bin alors si ça peut te rendre service, j'essaierai de m'arranger pour lui cafter quelqu'un !
- Ca va pas te rendre populaire auprès de certaines !
- Tu parles ! Elles veulent toutes que ça ! C'est bien pour ça qu'on est là, non ? »

Les « petits anges » de la cour de récré ... pas plus angéliques qu'autrefois. Malgré les rayons du soleil encore tenaces, aucun promeneur n'aurait pu tomber par accident sur cette scène d'une douzaine de femmes de tous âges jouant à la corde et à la marelle en pyjama blanc : l'endroît était bien trop isolé. Mais les meilleures choses ont une fin, et puisqu'il était du devoir du personnel de veiller à la parfaite hygiène de vie des pensionnaires, il s'agissait de les coucher tôt. D'autant que certaines réclameraient à coup sur une histoire ou un petit câlin pour s'endormir ...

L'un des tuteur de surveillance frappa plusieurs fois dans ses mains (pour une fois!) pour faire comprendre aux filles qu'il était temps de se mettre en rang. Odile et Anne-Marie se retrouvèrent en toute logique l'une a coté de l'autre et durent se tenir la main le temps de rentrer. Une fois à l'intérieur, chaque tuteur retrouva sa douce, lui apportant une paire de patins, lui en roulant parfois un, voire une paire ou plus, aidant certaines à retirer leurs baskets, et les conduisirent, par la main, par l'épaule ou par la voie des airs jusqu'au dortoir. Michel avait opté pour cette troisième option et Odile s'était roulé en boule contre sa poitrine comme une petite chatte, les yeux fermés. Elle semblait si douce, si angélique ... bien trop pour être honnête!

Le coucher était toujours un moment très câlin. Beaucoup de tuteurs, surtout les époux et autres légitimes, avaient pris leur trésors sur leurs genoux et les berçaient amoureusement en leur caressant l'oreille ou la joue. Odile avait réclamé qu'il la borde d'abord et reste un peu auprès d'elle pour lui faire un petit massage. Avec un de ses "s'il-te-plaît" désarmants, elle pouvait obtenir pratiquement tout ce qu'elle voulait. Merveilleuse surprise : Anne Marie était sa voisine directe de gauche. Toutes les deux avaient utilisée leur redoutable "s'il-te-plaît" à la même fin et, allongées sur le ventre, elle alissaient ces messieurs s'affairer sur leurs dos et leurs cuisses, tout en continuant à discuter, l'air de rien, comme de vraies midinettes. Ici comme ailleurs, le pouvoir des hommes n'était qu'apparence : les hommes contrôlent le monde, les femmes contrôlent les hommes. Et plus elles ont l'air soumises plus elles vous tiennent en laisse !

Finalement, ce fut l'heure de faire dormir ces demoiselles. Un dernier baiser sur le front, la joue l'oreille ou plus si affinité, et les tuteurs s'en allèrent, laissant leurs protégées au bon soin du veilleur qui ce soir était ... non! Comment pouvait-elle avoir autant de chance ! Les pas de monsieur Laurent résonnaient légèrement sur le carrelage tandis qu'il faisaient des rondes, s'assurant que chaque pensionnaire dormait ou, tout du moins, restait sage. C'était le moment de passer à l'action ! Elle chuchota aussi doucement que possible :

« Anne-Marie !
- Quoi ?
- Tu as vu qui nous surveille ?
- Ouais ...
- Tu te rappelles tous les trucs cochons que tu voudrais faire avec lui ? Et le plan que je t'ai raconté, vous deux sur un lit de feuilles mortes ...
- Super plan, oui.
- Dis voir, Anne-Marie, tu te masturbes ?
- Silence mesdemoiselles ! »

(CLAC) Aïïïe ! (CLAC) Ouille!

Chacune de ces comploteuses en fut quitte pour une tape bien lourde sur la cuisse. Odile attendit prudemment qu'il soit hors de portée.

« Alors, Anne-Marie ? Dis-le moi, on est copines !
- Nan mais t'es folle ! D'abord je fais jamais ça ! Enfin ... Bon, passons ! Et ensuite c'est interdit !
- Je sais, c'est pour ça que c'est bon ! Moi je le fais, tu vois pas ? »

En effet, elle ondulait très ostensiblement de la croupe ... mais ses mains restaient dans son dos. La vilaine menteuse ! Grâce à sa réthorique, à sa patience et à la non-négligeable présence du beau monsieur Laurent, Odile réussit l'audacieux pari de convaincre la belle et prudente Anne-Marie de mettre une main dans son bas de pyjama. Elle attendit patiemment les premiers soupirs puis les suivants, plus profonds, l'agitation dans les couvertures, tout en faisant mine d'en faire autant ... puis passa à la partie la plus audacieuse de son plan !

« Monsieur ! Anne-Marie elle se tortille dans son lit en faisant des bruits bizarres ! »

La sus-nommée tomba des nues ! Elle avait fait tout ça juste pour la trahir ! Là-dessus, elle riposta aussi sec :

« C'est pas vrai monsieur ! Et pis elle aussi elle le fait ! »

Elle réalisa trop tard la bêtise de sa phrase : le « elle aussi » contredisait totalement la première partie de sa phrase ! Elle s'était dénoncée toute seule !

« Bon, voyons donc ça. Debout, petites cochonnes ! Venez dans le couloir avec moi. »

Le regard qu'Anne-Marie lança à Odile au passage aurait gelé un volcan. Une fois sorties du dortoir, l'une a coté de l'autre, monsieur Laurent s'approcha d'elles, et, d'un ton sans répliques, leur ordonna de lui montrer leurs mains. C'était le moment décisif! Si Marie-Anne avait fait semblant elle aussi, elles seraient renvoyées au lit avec une paire de claques pour avoir chahuté ! Dans le cas contraire ... la soirée serait passionnante ! Les mains d'Odile était bien propres et sèches et sentait encore le savon, mais la main droite d'Anne-Marie.... disons seulement que ce n'est pas un hasard si monsieur Laurent la ramena jusqu'à son lit en la tenant par la main gauche. Il s'assit sur un coin de son lit, et fit un geste a l'intention d'Odile: « Toi, file te recoucher et que je ne t'entende pas ! ». Il lança un regard très dur à Anne-Marie : « Et toi, viens ici ! »

Décidée a obéir pour recevoir la correction la moins sévère possible, elle s'allongea d'elle-même sur ses genoux, et le bras qu'il posa sur son dos pour la maintenir en place lui parut un étau. Il était vraiment très fort ! Sa grande main a l'ossature épaisse faisait des "PAF" retentissant sur le coton du pantalon, projetant la malheureuse en avant à chaque fois. Elle serrait les dents mais c'était bien autre chose que de recevoir des coups pendant un match. Cette fois, il s'agissait d'attendre passivement la prochaine claque qui allait lui roussir le postérieur en sachant qu'elle arrivait et en ne pouvant rien faire pour l'éviter. Pour une fille comme elle, c'était psychologiquement un supplice, d'autant que l'obscurité la faisait se sentir encore plus impuissante.

Elle sentit sans la voir cette forte main dure comme du bois empoigner l'élastique de son pantalon et le tirer d'un coup, dévoilant son si joli derrière tout fin dont elle était si fière! Seulement, juste ce soir, elle aurait aimé qu'il soit un peu plus rembourré ! Les claques sur son derrière tout nu la firent geindre. Monsieur Laurent prenait tout son temps pour lui faire appréhender la prochaine et quand elle était assez tendu, claquait violemment. Anne-Marie ne comptait plus les tapes qu'elle recevait sous les yeux d'Odile qui n'en perdait pas une miette. Quand elle fut juste au bord des larmes, la main replacea le pantalon de pyjama sur ce popotin tout chaud, et lui prodigua une bonne caresse qui la soulagea grandement. Il passa encore deux bonnes minutes a lui caresser les fesses dans cette position avant de la recoucher avec beaucoup d'amour et de la border. Anne-Marie lui fut malgré tout très reconnaissante de cette attention et ne l'en aimait que plus. Son derrière tout chaud allait de plus bientôt lui apprendre qu'on dormait très bien juste après une bonne fessée. Elle n'en voulait pas à Odile, c'était de bonne guerre après tout! De bonne guerre, mais de guerre quand même, et quand elle pourrait lui rendre la monnaie de sa pièce elle ne se gênerait pas !

La dite Odile quant à elle semblait dormir comme un ange, sauf que cette fois elle avait vraiment une main qui s'activait sur son bouton de rose. Mais en trois ans d'internat au lycée, pour éviter la honte d'être surprise par ses copines, elle avait appris à la faire discrètement ! Au moment de se laisser aller au plaisir, elle songea à une idiote contrepèterie que sa situation rendait très drôle: « Vous avez le choix dans la date ». C'est bien une blague de lycée celle-là !

 

LA VISITE MEDICALE , LE PETIT DEJEUNER ET LA DOUCHE MATINALE

 

Rassasiée de plaisir et de vengeance, Odile dormit comme une masse, enfoncée dans ce matelas juste un peu trop mou. Ces grosses couvertures étaient un peu chaudes pour la saison, mais comme elle était très frileuse elle en fut assez contente. Elle ne se rappella jamais de ce dont elle a rêvé cette nuit la, mais seulement que c'était un très joli rêve et que, vers la fin, une voix grave et bienveillante qui semblait venir de partout à la fois lui murmurait « Odile, mon trésor! Ouvre les yeux. Allez ma puce, je sais que tu m'entends, réveille toi ! » Quand elle décida d'obéir, Michel était assis sur son lit, un bras enroulé autour d'elle et son autre main passant et repassant sur son cou. Oh que c'était bon ! Il ne manquait plus que le café et les croissants ! Mais ça, fallait pas y compter : une jeune fille bien élevée prends pas son petit déjeuner au lit.

« Bonjour ma douce ! Tu as bien dormi ?
- Huuuummmm ...
- Bien ! Redresse-toi, je vais t'aider ... »

Il la prit par le haut de la taille et tira un peu pour la faire s'asseoir. Émue par tant d'attention, Odile ne put s'empêcher de jeter ses bras autour du cou de son tuteur chéri pour le serrer à l'en étrangler en lui faisant un énorme baiser bien baveux sur la joue. Elle était en forme ce matin ! Un peu partout autour d'elle, des scènes semblables se répétaient. Les hommes exprimaient leur amour ou leur affection par des gestes lents et calculés, et les femmes le faisaient par une impulsivité touchante.

« Aujourd'hui il y a une petite visite médicale de prévue au réveil. Ne t'inquiète pas, ce n'est vraiment pas grand chose, et puis madame Hautepin est une femme très délicate, très attentionnée. Elle ne te fera pas mal du tout. »

Madame Hautepin, dans son éternelle blouse blanche, arriva quelques minutes plus tard dans le dortoir, commandant à chaque demoiselle de se mettre à quatre pattes sur son lit. En fait d'examen médical, celà ressemblait plutôt à une sorte de contrôle d' hygiène ... en plus caressant. La doctoresse s'arrêtait devant chacune, glissait ses mains dans la veste, caressait le dos, la poitrine et les aissailles, puis finalement baissait le pantalon pour parcourir les fesses et les cuisses de la même manière. Elle s'attarda un peu plus sur le derrière de la pauvre Émilie, encore couvert de bleus, qu'elle badigeonna de crème apaisante et, dans une moindre mesure, sur celui d'Anne-Marie. Ce dernier ne portait plus de marques, mais madame Hautepin avait été avertie de la fessée qu'elle avait reçue la veille de la main de monsieur Laurent.

Ce fut bientôt le tour d'Odile. Madame Hautepin procédait à ses attouchements avec un sérieux tout à fait ... médical ! Ses mains étaient légères ... si légères qu'on les sentait à peine : des mains de femmes, d'une douceur à nulle autre pareille. Quand elle se glissèrent sous ses bras, Odile fut prise d'un frisson qui la parcourut sur toute la colonne vertébrale, descendant de la nuque jusqu'au coccyx.

« Mademoiselle a beaucoup transpiré cette nuit ! Il faudra peut être retirer une couverture ! »

Ses mains aux ongles longs et froids laissèrent son pantalon, découvrant sa pastille brune bien exposée et sa fente qui, Odile s'en aperçut depuis sa position, sentait encore bien la femelle depuis sa masturbation d'hier soir.

« Hum, oui ! Décidément vous transpirez beaucoup ! »

Madame hautepin leva alors sa main vers ses rondeurs, et fit une chose qui fit si violemment réagir sa proie qu'elle se demanda comment un contact si léger, presque imperceptible, pouvait provoquer des sensations si fortes : du bout de l'index, elle effleura ses dernières vertèbres et parcourut toute la longueur de son sillon fessier, touchant au passage son anus palpitant et sa fente douillette. Elle était encore un peu collante. Oh, pas beaucoup, et il fallait un oeil d'expert pour s'en rendre compte, mais justement Madame Hautepin était une experte. Elle proclama tout haut « bon, il faudra surveiller ça d'un peu plus près! », puis, beaucoup plus bas, juste a l'oreille de sa victime : « Toi ma grande, sois sûre que je ne vais pas te rater ! » Odile avala bruyamment sa salive, remit son pantalon, rouge de confusion, et, pour se rassurer, se blottit dans les bras de son tuteur.

C'était l'heure du petit déjeuner. Tous et toutes festoyèrent de pain tout frais à la croûte épaisse dont le croquant et la saveur balayaient les dernières réserves des adeptes de la baguette de supermarché, de croissants tout chauds, de café, de thé ou de chocolat fumant et de confiture maison. Quelques unes, plus aventureuses, tentèrent de goûter une tartine à la cancoillotte, spécialité locale. Ayant toutes un souvenir bien vif que ce qui était arrivée à Émilie lors du souper, elles se conduisirent en petites filles modèles.

Puis, ce fut l'heure de la douche matinale, celle que les pensionnaires étaient autorisées à prendre toutes seules, ce qui provoqua un enthousiasme considérable. Toutes se jetèrent dans la salle d'eau comme de jeunes vacancières se jettent dans la mer avec un « YAHAAA » triomphal lors du premier jour de plage. Enfin seules, rien qu'entre femmes, sans le moindre maton derrière elles ! Odile n'était pas une bavarde mais elle se surprit à se montrer intarissable : elle qui détestait d'ordinaire parler chiffons et fanfreluches y prit un plaisir immense, d'autant qu'elles parlèrent aussi beaucoup ... d'autres choses, dans un langage parfois cru et anatomique, à faire passer "Sex in the City" pour un goûter pastoral. La salle de bain était le royaume des femmes, et celles-là avaient beaucoup de pression à évacuer. Ces messieurs attendaient derrière la porte, et risquaient d'attendre longtemps ! Ainsi l'ordre social était rétabli. Les hommes prenaient cela avec philosophie : après tout il valait mieux qu'elles se défoulent maintenant.

Seulement voilà, quand on a goûté à un peu de liberté, on en veut plus. D'abord, quand on papote et qu'on veut se faire entendre dans une pièce réduite et remplie d'autres papoteuses, on parle de plus en plus fort. Puis vient l'envie de s'amuser un peu ! Alors commence le vrai chahut : les batailles d'eau, les batailles de serviettes mouillées, la lutte pour jeter sa bonne copine sous la douche glacée sans qu'elle ait forcément eu le temps de se déshabiller et tutti fruti ! Rien qu'au bruit infernal qu'elles faisaient, on devinait le chahut monstrueux auquel elles se livraient. Aussi, le proviseur, qui passait justement par là, décida que trop c'était trop. Il ouvrit brusquement la porte sur une scène d'apocalypse ou plus aucune serviette ni aucun vêtement ne semblait encore sec !

« C'EST BIENTÔT FINI CE MASSACRE ! »

Une douzaine de paires de jambes sursautèrent, et une douzaine de paires d'yeux fixèrent l'intrus avec effroi ! Monsieur le directeur faisait partie de ces hommes dont la seule présence pouvait faire chuter la température d'une pièce d'un seul regard. Pour cet odieux gaspillage d'eau chaude, ce chahut et tout le travail qu'allait coûter le relavage et le séchage de leurs vêtements, elles eurent droit à une soufflante mémorable (d'autant plus mémorable que les hommes, lui y compris, se chargeaient de la lessive : il n'avait donc pas à faire semblant d'être en colère). Sa grosse voix tonnait dans un silence abyssal et une parfaite immobilité. Pour finir, une fois qu'il fut un peu calmé, il reprit plus doucement :

« Tout le monde aligné face au mur et mains sur la tête, punition collective ! »

Toutes s'exécutèrent sans broncher, et se mirent contre le mur, les unes a coté des autres.

« Celles qui sont encore habillées, baissez vos culottes ! Posez les mains contre le mur ! »

Odile était alors toute nue. Effrayée par ce qui allait suivre (sa toute première correction depuis plus de deux ans) et décidée à se montrer aussi obéissante que possible pour ne pas le mettre plus en colère, elle posa les mains au mur et se pencha un peu pour tendre la croupe. Monsieur le directeur s'approcha de la première fautive.

CLAC ! Aïïïe ! CLAC ! Aouh !

Il lui flanqua une énorme claque sur chaque fesse. Dans l'organisme d'Odile, la pression commençait à monter ! Elle allait avoir tout le loisir de voir son tout approcher et sentait déjà le sang lui monter à la tête

CLAC ! Ouh ! CLAC ! Aaaaah !

C'était presque insoutenable. Elle aurait souhaité s'aligner au début de la file : ce serait déjà terminé. Enfin vint le tour de sa plus proche voisine et, comme à la cantine, Odile retint sa vessie de justesse.

CLAC ! Aaah ! CLAC ! Aïïïïïïeeeuuuuuuuu !

Lorsqu'il se tourna vers elle en avançant avec une lenteur toute calculée, son coeur manqua un battement et le rattrapa au centuple la seconde d'après.

« Il va me faire mal ! » pensait-elle. « Il est en colère et il va me faire vraiment mal ! »

La première claque sur sa fesse gauche la fit hurler comme une furie : on ne l'avait jamais frappée aussi fort. Elle n'eut même pas le temps de reprendre son souffle avant de ressentir la même brûlure sur la fesse droite.

Enfin toutes les jeunes femmes sortirent, penaudes, la tête basse, et allèrent chercher de nouveaux vêtements dans leurs penderies. Il fallait à présent s'habiller avant d'aller en classe.

 
LE COURS DE CALLIGRAPHIE

En pénétrant dans la salle de classe, Odile s'était attendue à l' atmosphère inquiétante et un peu glauque de ces écoles a l'ancienne, avec leurs planches anatomiques et géographiques, leurs bureau-chaise d'une pièce, les encriers, le grand tableau noir et la longue baguette de bois trônant a coté du bureau du maître. Elle ressemblait finalement davantage à une salle de classe telle qu'on peut la trouver dans les collèges d'aujourd'hui, garnie de chaises et tables toutes simples et faciles à déplacer, de larges fenêtres dont les lumières étaient reflétées par les murs nus aux couleurs claires, un modeste bureau pour le professeur, un petit tableau allant plus vers le vert foncé et, comble du luxe, la salle était équipée d'un petit écran de télé ! Odile se doutait toutefois que les documents historiques et autres reportages enregistrés sur Arte serait probablement remplacés par une programmation plus coquine ...

La soufflante de la douche paraissait déjà loin, et les demoiselles commençaient à se détendre en attendant monsieur Laurent ("le beau black au corps d'athlète" pensait déjà une bonne moitié de ces petites vicieuses). Selon une étude réalisée par un labo américain ayant rassemblé un panel d'homme de toutes physionomie pour leur demander d'identifier sur diapo le corps qu'il pensaient avoir et celui qu'ils voudraient avoir, on a remarqué que les hommes étaient généralement honnêtes sur la façon dont ils se voyaient mais auraient aimé avoir, en moyenne, 15 kilos de muscles en plus, alors même que les femmes a qui l'on a montré ses mêmes diapos affichaient le plus souvent leurs préférences sur des corps a la musculature plus modeste. Est-ce que les filles qui aiment la fessée sont plus sensibles au charme (ou aux charmes) d'un culturiste ? Apparemment oui, car les premiers rangs étaient tous occupés.

Depuis que le monde est monde et que l'école est ... école, que font les élèves en l'absence, même très courte, du professeur ? Ils papotent ! La voisine d'Odile était une femme d'une cinquantaine d'année, mariée, qui affichait des manières un peu pédante de grande soeur, lui racontant son « bon vieux temps », ou les fessées à caractère éducatif étaient encore d'usage et ou la morale voulait qu'une jeune fille bien élevée en sache le moins possible sur « ces choses là » jusqu'au jour de son mariage. Quand, la veille de celui-ci, elle avait demandé a sa mère ce qui était censé se passer dans un lit entre elle et son époux, elle avait répondu, furieuse : « Je sais pas, moi à chaque fois j'ferme mes yeux ! »

Depuis ce jour, cette dame semblait s'être bien rattrapée, ainsi qu'elle en convenait elle même. Monsieur Laurent ouvrit finalement la porte et toutes ces pipelettes interrompirent à la seconde leurs conversation, parfois au milieu d'une phrase, pour le dresser, droites comme des « i » à coté de leur table jusqu'à ce que le maître les autorise à s'asseoir. Une manière silencieuse de dire « bonjour » au professeur, remplaçant avantageusement le chahut du cri collectif.

Monsieur Laurent semblait d'excellente humeur aujourd'hui et prenait plaisir à avancer jusqu'à son bureau en lançant des sourires bienveillants à chacune. « Aujourd'hui mesdemoiselles, la leçon portera sur ... » Il se tourna vers son bureau et saisit une craie pour écrire en même temps qu'il le déclamait : « L'art oublié d'utiliser la plume ! ». Il se retourna vers ses élèves :

« Celle dont il est question est une plume d'oie, dont le bout, taillé en pointe et plongé dans un encrier, était utilisé par vos grands-parents peut être aussi par vos parents pour écrire avec une calligraphie (il se retourna un moment pour écrire le mot calligraphie) toute particulière et en tout cas différente de celles des stylos a bille. Pour les exercices pratiques, je vous ai apporté à chacune un encrier, une petite réserve de plumes de rechange en cas d'accident, et une photocopie de l'alphabet accompagné de quelques phrases d'exemple pour vous servir de modèles. »

Il passa devant chaque table, sans oublier une seule fois de récompenser tous les petits « merci » souriant d'une affectueuse caresse dans les cheveux. Anne-Marie qui, depuis qu'elle avait reçu la fessée de sa main, semblait être devenu sa chouchoute, eut même droit a un baiser sur le front.

Sous la tendre surveillance de leur professeur, les petites commencèrent leur exercice avec plus ou moins d'adresse, mais avec surtout d'infinies précautions, compte tenu du fait qu'elles n'avaient rien pour protéger leur adorable petit chemisier blanc. Odile comprit très vite que sa voisine avait déjà eu l'occasion d'écrire à la plume, car elle y montra une virtuosité qu'aucun débutant ne peut avoir. Les filles plus jeunes ayant des résultats beaucoup moins heureux, monsieur Laurent passait derrière les plus malhabiles pour les encourager gentiment, leur assurant qu'on apprenait pas l'usage de cet outil en quelques minutes, ni même en quelques heures.

Anne-Marie, en particulier, semblait désespèrée par ses résultats ... ou bien n'était-ce qu'une manoeuvre pour faire s'approcher le professeur ? Elle manoeuvra en tous cas tant et si bien que celui-ci finit par prendre une chaise, s'asseoir à coté d'elle et lui montrer comment faire, un bras enroulé autour de ses epaules. Il lui tint délicatement la main pour guider la caresse de la pointe sur le papier râpeux qui crissait tandis qu'elle se délectait de la chaleur de son corps, tout contre elle, au point d'en oublier toute concentration. Loin de se fâcher, monsieur Laurent finit par lui prendre l'objet des doigts et lui chuchoter a l'oreille : « Tu restera en classe pendant la recréation, je te montrerai en détail comment on utilise le mieux cette petite chose... »

En effet, après à peine une heure de travail, vint la première pause. Tandis que les autres allaient s'amuser, Anne-Marie restait bien sagement assise, aussi rouge qu'il est possible de l'être, à dévorer son professeur du regard. Celui-ci vint très calmement se placer a coté d'elle, lui prit le bras en douceur pour l'inviter à se lever, puis, une fois debout, la prit dans ses bras telle une jeune mariée et la porta sans effort jusqu'à son bureau ou il la déposa sur le dos, en foetus, avec d'infinies précautions. Sans cesser de la regarder droit dans les yeux, il prit la plume et entrepris de lui caresser les joues, descendant jusqu'à son cou, dont il fit le tour, prit le temps de déboutonner son chemisier en silence et de descendre son soutien-gorge pour libérer sa modeste mais ferme poitrine de femme sportive et, de sa plume, parcourut chaque sein, l'un après l'autre en cercles concentriques. Entre deux ronronnements de plaisir énamourés, Anne-Marie eut juste la force d'articuler un très vague « embrasse-moi ! » qu'elle n'eut heureusement pas à répéter. La bouche du professeur parcourut ensuite exactement le même chemin que la plume, descendit sur le ventre nu à la fois ferme et moelleux et, s'attarda sur le nombril, la langue glissant à l'intérieur.

Quand il retroussa sa jupe avec ardeur, elle crut qu'était venu le moment où il allait la satisfaire. Au lieu de celà, jouant de la subtile torture des préliminaires qui n'en finissent pas, il reprit sa plume et lui chatouilla le pli de chaque genoux, l'arrière et l'intérieur des cuisses jusqu'à l'aine, puis retira sa culotte dans une caresse, chatouilla encore sa vulve déjà béante et juteuse. Lorsqu'il n'y tint plus, son comportement changea en une seconde: il se dévêtit à la hâte, sortit une boite en plastique contenant des préservatifs, l'écrasa dans sa main pour ne pas s'embêter à l'ouvrir, sortit l'un d'eux, et l'enfila avec empressement avant de se ruer contre sa proie, qui en mourait d'envie depuis si longtemps, pour la prendre, tel un jeune amoureux emporté par sa passion, ses mains lui relevant la tête pour coller sa bouche moelleuse à la sienne, enfonçant sa langue en elle aussi fougueusement que son sexe. Il la prit très fort, très longtemps et la salle de classe résonna de leurs rugissements de plaisir.

L’INFIRMERIE

Qui aurait pu penser une seule seconde que le gros câlin entre Anne-Marie et monsieur Laurent allait passer totalement inaperçu. Bien sûr les volets avaient été fermés ... mais cela même excite la curiosité ! Odile et quelques copines s'étaient ainsi retrouvées a soulever très discrètement l'un des volets de la salle de classe pour regarder. Cette chipie avait ainsi confirmation de l'attirance réciproque très forte qu'elle avait remarqué entre ces deux oiseaux, et ne pouvait que se féliciter de cette belle union qui s'était quand même produite un peu grâce a elle... Comme ils étaient mignons tous les deux maintenant, Laurent assis sur le bureau, Anne Marie blottie dans ses bras, a s'embrasser langoureusement, faisant glisser leurs mains sur leurs corps encore moites des efforts qu'ils venaient de fournir, sereins, heureux, et totalement inconscient de ce petit oeil indiscret qui n'en avait pas perdu une miette !

Pourquoi Odile s'était-elle attardée plus longtemps que les autres à rêvasser sur ce joli tableau ? Peut être parce qu'elle se sentait seule et qu'elle aussi aurait bien voulu fermer les yeux, poser sa tête contre l'épaule d'un homme et laisser son esprit voyager au rythme de ses caresses... Être aimée ! C'est finalement bien ça que veulent toutes les chipies de la planète! Se savoir aimées et protégées par leur doudou ! Elle s'imaginait portée par son homme jusqu'à un grand lit à baldaquins où il la poserait avec des trésors d'attentions, des baisers et des caresses, pleines de passions mais en même temps contenues, pour ne pas la brusquer ! Cette chaleur si intense et si douce d'un autre corps collé au sien, ces petites phrases qui seraient insignifiantes sans la charge d'amour qu'elles contiennent...

AAAAÏÏÏEUUUUUU ! Odile venait de se faire brusquement ramener à la réalité par la sensation qu'une aiguille était en train de piquer le haut de son oreille gauche. A la réflexion, il devait s'agir d'une main, une main aux doigts très longs et fins et aux ongles pointus ! A trente centimètres environ de cette main, le visage de madame Hautepin se partageait entre une fausse expression de colère et d'indignation et une joie féroce mal dissimulée.

« On se rinçait l'oeil, mademoiselle Odile ? »

Mademoiselle Odile ne trouva rien d'autre à répondre qu'un petit « aïe » étouffé. Elle se voyait déja furieusement grondée pour son indiscrétion, puis traînée par l'oreille jusqu'au local de l'infirmière et corrigée d'importance, peut-être par quelque chose de pire encore que la cuillère de monsieur Michot, et par une femme, ce qui pour elle était encore moins drôle ! Elle ne connaissait pas les façons de faire de madame Hautepin. Contre toute attente, elle libéra l'oreille douloureuse, se contenta de regarder sa victime pendant une bonne minute, indifférente a la petite foule qui s'était rassemblée autour d'elles, et se contenta de dire « retourne donc en classe avec tes camarades, tu ne perds rien pour attendre ! »

C'était la deuxième fois qu'elle lui disait « tu ne perds rien pour attendre », et la première fois les évènements qui avaient suivi lui avait fait perdre le souvenir de cet avertissement. Mais cette fois, le ton et la situation n'étaient plus les mêmes, et elle était sûre que l'effet s'en ressentirait! Effectivement, dès que monsieur Laurent vint dans la cour, soigneusement rhabillé, annoncer la fin de la récréation et la reprise des cours, Odile resta pendant une heure obnubilée par le châtiment qui lui pendait au nez et dont elle ne connaissait ni la nature, ni l'heure. Elle se montra une élève des plus dissipées, incapable de se concentrer, passant sa nervosité en plantant ses ongles dans sa gomme, sa jupe, puis finalement ses avant-bras, n'écoutant quasiment rien et se faisant rappeler à l'ordre à deux reprises. Elle ne dut qu'à l'actuelle bonne humeur de monsieur Laurent de ne pas aller au coin ...

Une heure plus tard, on entendit frapper a la porte, et, sans savoir pourquoi, Odile fut sûre que c'était pour elle. Aussi fut elle assez surprise de voir apparaître Michel, son tuteur, de l'autre coté de la porte. Avec le sourire de celui qui s'adresse à un vieil ami, il dit a monsieur Laurent :

« Excusez-moi de perturber le cours, mais madame Hautepin a demandé a voir la petite Odile dans les plus brefs délais. A moins que vous n'ayez besoin d'elle dans l'immédiat ...
- Oh, pas de problèmes ! Je vous en prie, vous pouvez l'emmener immédiatement ! S'il s'agit de sa santé surtout ... »

Le discret petit clin d'oeil qu'ils échangèrent en parlant de « santé » en disait plus long qu'un discours. Michel pris doucement Odile par les épaules pour l'inciter à se lever, l'aida un peu à ranger ses affaires et entreprit de la conduire à l'infirmerie. En marchant dans les couloirs, il s'aperçut que la petite main d'Odile tremblait dans la sienne.

« Dites monsieur ...
- Allons, je suis ton tuteur, tu peux me tutoyer et m'appeller par mon prénom.
- Comme v... tu veux ! Euh ... Est-ce que madame Hautepin a dit pourquoi elle voulait me voir ?
- Elle dit qu'elle a un doute depuis ton examen de ce matin et qu'elle aimerait voir ça de plus près.
- Qu... Qu'est-ce-qu'elle va me faire ?
- Hum ... Je ne suis pas infirmier, je n'en sais rien ... »

L'imagination d'Odile démarra à toute vitesse. Elle s'imaginait une foule de supplices paramédicaux, livrée a cette prédatrice froide et impitoyable. Elle savait que, quelle serait obligée d'y passer.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 12:52
1/ BIZUTAGE A MONTPELLIER:

Je suis en Fac de médecine à Montpellier et notre bizutage favori consiste à examiner les garçons et à les mettre dans des situations humiliantes. Eux qui la plus grande partie du temps se conduisent comme des vrais "machos", c'est pendant ces bizutages que nous pouvons nous venger et leur faire ravaler leur arrogance.

Luc était le bizut de la matinée et il savait qu'il allait être osculté par moi car j'avais été tirée au sort pour jouer le rôle du docteur. La scéance était bien évidement publique et la plus grande partie des filles y assitaient.  Pour cette journée de bizutage la salle de réunions avait été aménagée en cabinet médical afin de pouvoir prendre les photos qui témoigneraient de la réussite des bizutages.

Devant plus de cinquante filles et presque autant de garçons, le bizutage de Luc allait pouvoir commencer. Jer jouais donc le rôle du docteur et lui demandé de me tourner le dos et de baisser son pantalon légèrement. Il commencala à défaire la boucle de la ceinture et son pantalon tomba tout seul sur ses cuisses. Je lui demandais de se pencher en avant.

Cette position me permettait de voir les poils de ses fesses et ses bourses qui étaient aussi trés poilues. Les autres filles profitaient aussi du spectacle.


Surpris mais ne voulant pas céder à la panique, il restait dans cette position attendant la suite du bizutage.
Sans me presser pour bien faire durer cette position humiliante et fatiguante, je mettais un gant de consultation pour continuer mon oscultation en profondeur.

Je voyais son anus trés serré qui semblait se douter de la visite qu'il allait recevoir.
Bien décidée à forcer le passage, je lui mis directement deux doigts dans les fesses et j'appuyais sur son auns pour faire céder ses sphincters.
Mais comme Luc était "vierge" de se côté là, il m'était impossible de le pénétrer sans risquer de le blesser.


"Enlève tous tes vêtements et allonge toi sur la table de soin" lui dis-je.
Il se retournais pudiquement et enlevais sa chemise, son paontalon et son calçon à petits carreaux qui lui donnait un air de petit enfant.


Une fois allongé sur la table, je repris mon "travail". Pendant qu'il restait allongé sur le ventre entièrement nu devant tout le monde, j'allais chercher de la vaseline afin de mieux préparer son anus.
Je lui écartais les fesses avec les doigts et lui enfoncait une bonne dose de vaseline dans la raie des fesses


Pour mieux la faire pénétrer dans son anus, je lui fourrais un doigt dans l'anus et commencais à préparer le passage.


Bien décidée à forcer le passage de cet anus encore vierge, je remmetais une nouvelle couche de vaseline afin de passer à la phase d'introduction. La raie de ses fesses était remplie de vaseline et plus j'en mettais plus je sentais Luc angoissé. Il ne serrais plus les fesses car il avait accepté bon gré mal gré,l'idée de cet examen rectal en public.


Pour mieux l'humilier, je demandais à une autre fille de venir m'aider. Sandra se porta immédiatement volontaire car elle était aussi l'ancienne "copine" de Luc. Un peu de vengeance à postèriori ne lui ferait pas de mal !!!

Elle enfila une paire de gants en caoutchouc et m'aida à lui écarter les fesses au maximum.
Une fois le passage bien dégagé, je lui enfoncais directement mon index dans l'anus. Ses sphincters restaient car manifestement aucune ne fille n'avait joué avec son anus. J'avais du mal à forcer le passage et heureusement que la vaseline facilitait l'introcution.




Je voyais le dessous de ses testicules velues et je lui fis écarter les fesses un peu plus pour que les filles puissent prendre des photos de ses fesses et de ses testicules poilues.
Pendant ce temps, je continuais à faire aller et venir mon doigt dans son rectum et cela devenait de plus en plus facile car ses sphincters commencaient à se relacher.

Luc subissait ce petit viol anal avec stoïcisme, et se décidais d'abréger son supplice.
"C'est fini, tu peux te rhabiller" lui dis-je.
Il se levait et sans se retourner vers les autres élèves, il prit ses affaires et alla se vétir en quatrième vitesse. Des applaudissements ponctuèrent cette scéance. Je levais les bras en signe de victoire.

                                              --------------------------------------


2/ BIZUTAGE DES GARCONS A LILLE:

PHOTOS ET TEXTE ENVOYE PAR JEAN.

Les internes ont bien "malmené" des bizuts. Ils avaient décidé comme chaque année de faire un nouvel album photo du bizutage des élèves étrangers venus de Roumanie. Ne connaissant pas les coutumes locales mais étant informés de la pratique des bizutages, c'était facile de leur faire faire ce que l'on voulait.

Mika, fut le premier à passer sur la table de bizutage. Henri, le plus ancien des bizuteurs, le demanda de se déshabiller pour un exament complet devant toute la promo qui était là.


Mika était grand et mince et comme il était extrèmement gentil,il ne fit aucune difficultée à se dévétir devant les filles et les garçons de la "promo 99". Les filles faisaient des remarques sur sa minceur. Il avait des kilos à rattraper !!!


Une fois ses vêtements enlevés, Henri enfila des gants gynécologiques pour faire semblant de l'examiner. Mika baissait la tête, un peu mal à l'aise malgré tout de devoir se montrer nu devant tous les élèves. Henri prit son pénis dans sa main et commenca à le soupeser et à faire rouler ses testicues sous ses doigts. Le bizutage venait vraiment de commencer.
Mika avait un pubis presque imberbe. Cela fit rire quelques filles.

L'une d'elle s'écria à l'attention d'Henri:
" Il faudrait le raser avant de l'examiner"


"Ok" on va lui faire la coupe "frite lilloise".
Il alla chercher un rasoir jetable et prit dans sa main une petite bouteille de gel. Il appliqua la lotion sur le pubis de Mika qui c'était allongé sur la table de soin en attendant la suite de son bizutage.


Des filles prenaient des photos et commentaient l'anatomie de Mika. Son pénis attendait maintenant le passage du rasoir.


Henri en "expert du bizutage" commenca par lui raser le pubis en passant et repassant le rasoir à contre sens du poil. On entendait le crissement de la lame sur la peau. Pour faciliter le passage du rasoir, Henri maintenait la verge de Mika avec sa main gauche. Petit à petit, son sexe redevenait celui d'un petit enfant pubère.






Une fois qu'Henri eut terminer de raser Mika, il s'écarta afin que les filles et les garçons puissent faire des photos. Mika géné, tournait la tête afin de cacher sa gène de se montrer ainsi complètement rasé, le sexe aussi lisse qu'un carambar. Il ne risquait pas de bander tellement il était géné de son exhibition forcée.


Les garçons réclamaient maintenant la suite du bizutage, car certains devaient trouver le bizutage trop "soft" et ils voulaient que Mika subisse un véritable supplice devant les filles.

"L'examen anal" demanda Vincent un des plus agités de la promo.
Henri ne se fit pas prier, il fit mettre Mika sur le côté et commenca à forcer le passage de son anus avec ses doigts.
Apparament le passage était plus facile que prévu et henri pour mettre Mika mal à l'aise devant les filles s'écria:
" Mais tu n'est plus puceau du cul. Tu nous présentera ton petit ami qu'on voit comment il est monté".
Les filles riaiet de plus belle et Henri en profita pour continuer son examen en profondeur.
Il écratait l'anus de Mika avec ses doigts gantés et poussait pour le faire réagir.


Lorsqu'il écarta un peu plus son anus avec ses doigts, Mika ne pu retenir un "pet" et cela eu pour effet de mettre Henri en colère.


"Comment, tu me pète à la figure" lui dit-il.
"Il va falloir que je t'examine en profondeur".
"Met toi à genoux sur la table et écarte les cuisses que je puisse faire montravail".

Nous avions une vue imprenable sur le trou du cul de Mika et sur ses testicules qui pendaient entre ses cuisses.

Henri faisait volontairement durer le plaisir, et ilprenait un réel plaisir à exposer ainsi le derrière de Mika.



Au bout de plusieurs minutes d'exposition, Henri annonça à Mika que l'examen était fini et que son bizutage était terminer. Il ne lui restait plus qu'à aller s'habiller et à espérer que les filles ne se moqueraient pas trop de lui pendant le reste de l'année.
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 12:49
Nous campons depuis plusieurs années ensemble Nicole et moi et cette année ma mère m'avais imposé d'emener  Alex mon cousin dont les parents étaient en plein divorce.
Alex était un jeune boutoneux casse pieds qui n'était jamais sorti de son village.

Comme chaque anne nous campions à Vernet les bains ou nous avons nos habitudes.
Alex était vraiment un boulet pour nous car tous les soirs lorsque nous allions en boite, il réussissait à faire fuir les garçons qui nou tournaient autour. Ses histoires stupides et sa façon de draguer les filles étaient insupportables.
Deplus il ne supportait pas l'alcool.

Un soir ou nous étions au " Blues - Rock" un bar branché de la station, il se mit à picoler pour se donner bonne contenance. Au bout de quelques heures, il était complétement bourré et il nous gacha la soirée car il fallu le ramener au camping. Il commencait à vomir sur les tables et le patron nous mis dehors en nous priant de ne plus jamais revenir.

Nous l'avons remené jusqu'à l'entrée du camping et lui avons intimé l'ordre de rejoindre sa tente et d'aller se coucher.
Nous étions furieuse et bien décidée à lui faire payer cette soirée ratée et notre éviction définitive du bar.

Au petit matin, nous avons découvert Alex devant sa tente, affalé sur le sol endormi, portant des bottes bizzares qu'il avait du emprunter je ne sais pour quelle raison.
Nous avions beau le secouer, il ronflait comme un sonneur et impossible de le réveiller.
Cela donna une idée à Nicole.
"Et si on se vengeait" me dit-elle.
"D'accord, on va lui faire payer sa connerie".

"On le fout à poil et on le bizute" lui proposais-je.

Sans même me répondre, Nicole commença à défaire le pantalon d'Alex. Moi je lui maintenais les bras en l'air pour faciliter l'opération.


Une fois son pantalon déboutonné, je fouillais son slip pour en sortir sa verge de petit "ivrogne".
Il ronflait toujours et ne rendais compte de rien.

Fantastique on allait pouvoir s'amuser à ses dépends.
Je sentais son sexe tout ramoli et mouillé par la transpiration. Il fallait le mettre à l'air pour voir de quoi il avait l'air.


J'écartais un peu plus la fermeture éclair afin de sortir son pénis du slip qu'il portait.
Nicole fut étonnée de voir son sexe se durcir alors qu'il continuait à ronfler et à dormir à poings fermés. Peut être qu'il devait faire un rêve érotique.

Elle se mit à rire en silence et commença à le masturber avec sa main droite pour voir s'il allait jouir en dormant.

"Ce n'est pas une punition que tu lui fait là" lui dis-je.
"J'ai une meilleure idée, tu vas voir". Je venais de penser à une terrible punition.

Nicole sembla amusée quand je commença à baisser mon pantalon. Elle ne comprenais pas ou je voulais en venir et elle n'envisageait pas une seconde que je puisse "baiser" mon cousin.



Bien évidement mon intention était toute autre.
Sans dévoiler à Nicole mes intentions, je baissais complètement mon pantalon et aprés avoir bien vérifié que personne ne me voyait, je descendais complètement ma culotte.
J'avais les fesses à l'air et cela amusait beaucoup Nicole qui me dit.
" Tu ne vas pas te le faire ? ton cul est bien trop beau pour ce porc"
" Non, mais je vais lui laisser un drôle de souvenir, regarde".

Je demandais à Nicole de se mettre à califourchon sur Alex au cas ou il se reveillerait.
Une fois certaine qu'il ne pourrait plus bouger en cas de réveil, je m'assis au dessus de son sexe.

Une terrible envie de faire caca me tiraillait le ventre depuis le matin et je me retenais depuis de longues minutes. Cette envie m'avait donné l'idée de ma vengeance.

J'allais lui chier dessus. Remplir son "froc" de mes excréments et lui faire croire qu'il s'était chié dessus. La honte suprème.

Je me mis donc les cuisses écartées au dessus de son "entre jambes" et je commencais à déféquer sur lui. Je relachais mes shpincters et dans la seconde qui suivi je sentis sortir de mon anus les premiers "estrons".
Cette sensation était tout à fait nouvelle et franchement irrésistible.
Je me vidais sur lui et la consistance plutôt liquide de mes selles commencait à remplir son pantalon.
Nicole fermait la bouche et le nez à cause de l'odeur et je me dépéchait de finir de chier car je sentais que j'avais également envie d'uriner.
Mes sphincters se contractèrent et je me mis tout naturellement à pisser en un long jet chaud que je sentis couler sur son sexe et sur ses testicules. J'avais envie d'éclater de rire, mais je me contenais, de peur de le réveiller.


Une fois vidée par mes deux orifices, je me remis debout et remontait rapidement mon slip et mon pantalon sans même prendre le temps de m'essuyer, tellement j'avais peur d'être vue dans cette position.

Nous regardions toute les deux Alex qui ronflait de plus belle, ne se rendant absolument pas compte qu'il était couvert de merde et d'urine.
 L'odeur était difficile à supporter. Je m'approchais en arrétant de respirer pour remonter un peu le pantalon d'Alex. Il fallait que cela paraisse naturel.

Une fois ses vêtements partiellement remis en place, nous nous sommes cachés derrière les arbres, bien décidés à attendre pour assiter à la suite des opérations.

Alex dormait toujours lorsqu'un groupe de campeur le découvrit dans cette tenue.
Scandalisée, une des femmes du groupe alla cherché le directeur du camping qui resta sans voie devant le spectacle d'Alex couvert de merde et de pisse, ronflant comme si de rien n'était.

Alex fut réveillé à coup de pieds dans les fesses par le patron. Une fois reveillé, il lui signifia l'ordre d'aller se laver, de prendre ses affaires et de quitter le camp dans la matinée.

Sans y avoir pensé une seule seconde, nous venions de trouver le moyen de nous débarasser d'Alex.
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 12:36

Luce et moi nous faisions du camping chaque année  à côté de la dune du Pila. Nous étions toujours ensemble et il faut bien reconnaitre que beaucoup de garçons nous tournaient autour.
Depuis quelques jours, un grand Belge nous suivait sans arrêt et nous abreuvais de ses blagues vaseuses. Nous avions beau lui faire comprendre qu'il ne nous interessait pas, il nous suivait à longueur de journée. Comme nous ne répondions pas à ses avances, il devint soudain plus pressant et un soir il alla même jusqu'à nous peloter sur la piste de dance de la boite de nuit du camping. On n'avait beau le repousser, il revenait sans cesse avec ses grosses mains balladeuses.

Le lendemain nous avons décidé de nous venger. Sous pretexte de boire un coup au bar, Luce lui versa une bonne dose de somnifère dans son coca. Il n'allait pas vraiment dormir, mais cela nous servirait à calmer ses ardeurs.

Nous partimes vers la plage et bien entendu, il nous suivit.
Une fois allongé sur la plage, on le laissa s'assoupir. Il nous fallait le trainer à l'écart des vacanciers. On le tira par les bras  et bizzarment, il se laissa faire, certainement amusé par notre initiative.


Une fois à l'écart, je me commençais à lui dégrapher son pantalon. Il se laissait faire, il était un peu "dans les vaps". Je commençais à ouvrir son jeans et je constatais qu'il ne portatit pas de slip.
Deplus ce gros vicieux se rasait le sexe. cela nous fit rire et je continuais notre plan de vengeance.


Je continuais à lui descendre le pantalon en dessous des testicules. Elles étaient elles aussi rasées et lisses commes des petits oeufs.
J'avais préparé un grand lacet bien solide qui devait me servir pour mettre mon plan à exécution.

Une fois son pantalon baissé et ses couilles bien dégagées, je passait rapidement le lacet autour de ses testicules. Je tirais d'un coup pour lui emprisonner les bourses et il n'eu même pas le temps de se protéger. Le piège s'était refermé sur lui.


"Maintenant, lui dis-je. Tu vas nous foutre la paix définitivement. Je vais te castrer comme un animal. Tu n'auras même plus envie de courrir les filles.
Il me fixait et n'osait pas bouger de peur que je serre un peu plus le lacet qui lui rentrait dans les chairs.
Luce était plièe de rire, car elle savait que jamais je n'oserais passer à l'acte.



Pour me donner du courage, je lui dit que j'allais le délivrer à la seule condition qu'il jure de nous laisser en paix jusqu'à la fin de notre séjour.
Effrayé à l'idée de perdre sa virilité, il jura plusieurs fois et me demanda pardon.
Je serrais une dernière fois pour lui montrer qui était le maître.
Je me relevais et le laissait dans cette position ridicule: Le pantalon baissé et le sexe ficelé.
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