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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:26
HISTOIRE VECUE:

Les vraies fessées que j'ai reçues m’ont beaucoup marquées surtout la première.

Je devais être en CE2, j’avais 10 ans. J’avais redoublé, j’étais « en retard ». J'avais une maîtresse que je trouvais  très laide qu’on appelait "la Mère Michèle" je ne sais plus pourquoi. Enfant j'étais une vraie chipie, pourrie par ma tante qui faisait la plus part du temps office de maman car mes deux parents travaillaient, rentraient tard le soir et c’est elle qui me gardait.

A l'école j'étais  abominable, une peste ! je n'en ratais pas une. L’absence de mes parents que je voyais peu y était pour beaucoup ! J'étais parmi les dernières de la classe et j'en ‘faisais baver’ à "la Mère Michèle". Elle n'avait pas d'autorité, laissait faire et à bout de ressources piquait des vraies colères et finissait par flanquer des coups de règles sur les mains ou sur les mollets.

C'était au début des années 60 et les instits utilisaient encore les  bonnes vielles méthodes. J'avais une souffre douleur : « Chantal J ». C' était la première de la classe. Evidemment, je la maltraitais en récréation, lui cachais son cartable, ses affaires… je la taquinais méchamment en toutes circonstances.
Bien sûr l'institutrice  le voyait mais elle ne réagissait pas  comme elle aurait dû. Et comme je ne ratais pas une occasion d'harceler "la chouchoute de la maîtresse", il fallait que j'en fasse beaucoup pour qu'elle me punisse. Je suis restée quelques fois en retenue mais cela ne m'empêchait pas de recommencer.

Un jour, alors que c’était la sortie de la classe, au moment où toutes les filles se précipitaient vers le portail, j’ai tendu la jambe quand « Chantal J » est passée devant moi en courant et mon souffre douleur s’est étalée lamentablement. En fait, j’avais voulu la faire tomber plus pour l’humilier, ‘pour rire’,  que pour lui faire mal : l’ennui c’est que la gamine était ratatinée. Les mains, les genoux étaient écorchés et saignaient,  le cartable s’était ouvert dans la chute et surtout ses lunettes avaient volé. « Chantal J » hurlait comme une perdue. Des parents qui attendaient leurs gamines s’étaient précipités.

C’était une autre maîtresse qui surveillait la sortie. Elle l’a aidée à se relever, à récupérer son matériel, lui a remis ses lunettes qui étaient abîmées (je ne sais plus ce qu’elles avaient). Bien sûr « Chantal J » entre deux sanglots a dit que c’était « la Françoise » qui lui avait fait ça… et des parents m’ont montrée du doigt.
La gamine est rentrée chez elle en piteux état, la maîtresse de surveillance m’a évidemment  punie en me faisant faire des tours de cour pendant la récréation de l’étude qui suivait. Je restais 1 soir sur 2 en étude pour faire mes devoirs.
Je n’étais pas très fière de moi car je n’avais pas eu l’intention de lui faire mal, mais j’étais  tout de même plutôt satisfaite de m’en tirer par des tours de cour. C’était une punition très en vogue à l’époque.

La récréation finie nous avons regagné l’étude. Il y avait 2 salles, une pour les « grandes », une pour les « petites ». J’étais dans celle des « petites » et c’était "la Mère Michèle" qui nous surveillait ce soir là. Je me tenais plutôt à carreau. Je venais de faire une grosse bêtise, je m’en tirais bien mais je ressentais confusément que ça aurait pu être grave. L’étude se déroulait normalement quand on a frappé très fort à la porte.
 "La Mère Michèle" a ouvert et j’ai vu un gros monsieur tout rouge, furieux, qui tenait ma victime encore en larmes par la main. C’était le papa ! Je me rappelle qu’il parlait fort, que "la Mère Michèle" semblait très embêtée et qu’elle a demandé à ‘la pauvre petite’ de montrer celle qui lui avait fait le croche pied. Evidemment j’ai vu un doigt vengeur me désigner et cette fois je me suis faite toute petite.

La maîtresse a dit qu’elle en parlerait à la directrice. Le papa très remonté a fini par partir en disant qu’il espérait bien que je serais sévèrement punie.

Je m’attendais évidemment à ce que mes parents soient informés de ma sottise et je m’imaginais déjà privée de télé. Comble de l’horreur !

Quand le papa est sorti  "la Mère Michèle" a demandé à une élève de venir au bureau surveiller l’étude et elle m’a appelée au tableau . Elle m’a  prise par le bras et tirée dans le couloir. . Je ne savais pas ce qu’elle voulait mais j’étais inquiète. Je m’attendais à me faire gifler mais la « mère Michèle » n’en a rien fait mais m’a entraîné vers le fond du couloir.

Je me souviendrai toujours de ce  trajet. "La Mère Michèle" me tirait par le bras en répétant :  « Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi… hein! qu’est-ce qu’on va faire…. ? ».

J’ai compris où elle m’emmenait  quand nous sommes arrivées devant la salle d’étude des grandes. Elle a frappé et est entrée ? C’était la directrice qui gardait l’étude ce soir là. La « Direlo » avait la réputation d’être très sévère et je n’en menais pas large.

Mon entrée a été très remarquée. Quand la directrice a vu "la Mère Michèle" toute affolée, elle s’est levée et est venue  vers nous. La Mère Michèle lui a raconté l’épisode du papa et ce qui s’était passé. Au début la directrice semblait  très ennuyée elle aussi. Les «  grandes » (c’étaient des CM et des fin d’étude) me regardaient avec un air  à la fois moqueur et interrogateur.  J’ai préféré alors regarder la pointe de mes pieds.

La directrice et la Mère Michèle ont parlé ensuite à voix basse en me regardant de temps en temps puis il y a eu un silence. La Directrice a dû se demander l’espace d’un instant ce qu’il convenait de faire.

Soudain elle m’a saisie par un bras, m’a tirée devant le tableau. Jusque là, la conversation s’était déroulée vers la porte. Elle m’a fait monter sur l’estrade, m’a mise face au tableau, m'a prise sous son bras - je me suis retrouvée penchée en avant les fesses tendues en arrière face à  la classe. Je me suis laissée faire comme une poupée de chiffon, incapable de réagir. Son bras enserrait ma taille et je ne pouvais pas me redresser.

 J’ai soudain reçu une bonne douzaine de claques par dessus mon tablier qui ne m’ont pas fait mal mais m’ont surprise. Je ne m’attendais tout de même pas  à recevoir une fessée et je n’en avais jamais reçu de la sorte. J’étais pétrifiée et je n’ai pas plus réagi qu’un bout de bois. Comme la directrice faisait sans doute partie de ces gens qui contiennent trop longtemps leur colère et finissent par craquer,  car pensant que les coups devaient être trop amortis pour être efficaces puisque j’étais sans réaction, elle a soudain retroussé mon tablier puis ma  jupe et cette fois j’ai reçu une bonne ‘avoinée’ crépitante par dessus ma culotte.

La fessée par dessus la jupe m’avait laissée sans réaction du fait de l’effet de surprise mais aussi parce que je n’avais pratiquement rien senti. Cette fois-ci la fessée qui tombait allègrement sur  mes fesses seulement protégée par une petite culotte était d’une tout autre teneur. Elle a peut-être duré 10 ou 20  secondes mais la directrice me claquait très fort et surtout très vite si bien que j’en ai gardé un  souvenir plutôt cuisant.!

Je me souviens qu’en même temps qu’elle  me fessait elle disait quelque chose comme : « tu vas voir si on va pas te calmer, tu vas voir… ».

Et j’ai vu !

Je me souviendrai toujours de l’instant  où  elle m’a retroussée. J’ai ressentis alors quelque chose que je n’ai jamais oublié ni ressenti depuis. Le fait d’être retroussée, fessée sur ma culotte en public était pour moi, gamine de 10 ans, quelque chose d’impensable et de vraiment honteux.. Une émotion énorme ! Je me souviendrai toute ma vie de l’instant où j’ai senti que mes fesses étaient découvertes à la vue de tous et surtout  du bruit des claques.

C’est sans doute ce bruit qui m’a le plus humiliée. Je l’entends encore. Le bruit sec de la fessée dans le silence de la classe avec uniquement la voix rageuse de ma directrice. Je me rappelle avoir ressenti comme une brûlure dès que la première claque est tombée et ça a très vite empiré. Je crois que j’ai serré les fesses le plus possible et  je me rappelle avoir fini par danser d’un pied sur l’autre à un moment donné tellement ça me brûlait. C’est peut-être ce qui a mis fin à la fessée. J’étais à la limite d’éclater en sanglots pitoyables mais je n’ai pas crié, pas pleuré, ni pendant, ni après. Ce n’ était  pas l’envie qui m’en manquait. Il n’aurait pas fallu que la fessée dure plus longtemps car je pense que je n’aurais pas pu résister davantage. Je me souviens que les fesses me cuisaient encore quand j’ai regagné ma salle d’étude.

Je n’ai peut-être pas reçu plus d’une trentaine de claques mais elles étaient vraiment très appuyées. En plus, elles ont dû finir par tirer mon slip vers le haut et ont découvert en partie le bas de mes fesses car les dernières étaient vraiment épouvantablement cuisantes. Il me semble d’ailleurs avoir réajusté mon slip quand la directrice m’a lâchée.

L’autre moment fort de cette fessée, c’est l’instant où elle a rabaissé jupe et tablier et m’a retournée vers la classe. Je n’osais pas lever la tête. Je devais être très rouge et je contenais vraiment mes larmes. Mais j’ai entrevu tout de même ces visages  qui me fixaient, ces grandes filles qui semblaient elles aussi très tétanisées… et ce silence ! La Directrice m’a encore sermonnée et je me souviens surtout qu’elle m’a dit que j’avais eu de la chance et que la  prochaine fois ce serait bien pire.

Le souvenir du trajet inverse dans le couloir poussée par la mère Michèle n’est pas près de s’effacer de ma mémoire. Elle disait des : « T’as vu… t’as compris…recommence encore et tu vas voir… si tu veux que je te remmène, recommence ! ». Bien sûr les filles de la « petite étude » n’ont pas su tout de suite ce qui m’était arrivé mais quand je suis revenue en classe je devais être très rouge et piteuse,  vraiment au bord des larmes car elles ont semblé très surprises. La chipie était matée !

Evidemment le lendemain toute l’école savait que la « Françoise V » avait été fessée devant tout le monde et qu’on avait vu sa culotte. Suprême humiliation pour une fillette de 10 ans !

J’ai été la risée de l’école pendant plusieurs jours, le sujet de moquerie. Je ne voulais plus aller en classe mais je me suis  bien gardée de raconter tout cela à mes parents. Les récréations qui ont suivi ont été un vrai calvaire car soit on était gentille avec moi et on me demandait alors si ça avait fait mal et on me plaignait, soi on se moquait ouvertement en chantant sur tous les tons qu’on avait vu ma culotte, que j’avais eu les fesses toutes rouges…etc.

Cette fessée a tout de même eu le mérite de ‘me calmer’ comme l’avait annoncé la directrice car j’étais terrorisée à l’idée d’être à nouveau conduite dans sa classe. Je me suis faite un peu plus sage surtout à cause des mots de la directrice : « La  prochaine fois ce serait bien pire ». Que pouvait-il arriver de pire  qu’être fessée retroussée devant toute une classe ? J’avais vite conclu que ce ne pouvait qu’être que  recevoir une fessée déculottée devant tout le monde et  cela, à 10 ans,  ça ne fait pas rire du tout. Je me rappelais aussi des mots de la « mère Michèle » que je ne craignais pas du tout auparavant : « si tu veux que je te remmène, recommence ! ». Je ne tenais pas du tout à ce qu’elle me remmène !

Aujourd’hui je suis très partagée quand au bon choix de la directrice. Certes, la fessée a été efficace puisque j’ai fait beaucoup plus attention à ne pas trop provoquer la colère des maîtresses. Je n’ai plus jamais fait de croche-pied mais cette fessée a pesé très lourd dans ma sexualité d’adolescente et aujourd’hui de femme. Adolescente, j’ai très souvent revu cette fessée en rêve avec de nombreuses variantes et en particulier l’une où j’étais fessée, fesses nues,  devant toute la classe. C’est vite devenu un phantasme masturbatoire. Aujourd’hui encore ! Il m’arrive de revivre éveillée cette fessée et le mot « fessée » résonne dans ma tête comme résonnent les claques que j’ai reçues ce jour là. Sauf qu’aujourd’hui ce mot a une connotation très différente. Il agit comme un déclic, « me mets dans tous mes états » comme on dit familièrement. C’est le mot que j’ai frappé sur le moteur de recherche.

Alors, cette fessée a –t-elle été bénéfique ? Je pense finalement que oui.

 
 
 

 

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:12
Marion et moi sortons ensemble depuis quelques mois. Pendant mes premières années de fac je sortais régulièrement avec Anne qui faisait elle aussi ses études de médecine.
En début d'année, Marion et moi avons eu quelques TP à faire ensemble et c'est à partir de ce moment là que nous sommes sortis ensemble et que j'ai rompu ma relation avec Anne, qui a trés mal prit cette trahison.

En fin de premier trimestre lorsque les bizutages ont eu lieu, nous savions Marion et moi que nous serions de la fête car c'était à notre promo de subir les bizutages des anciens.

Anne qui avait deux ans de plus avait une idée derrière la tête pour se venger.

Cette année le bizutage a lieu dans la salle de TP car cela permet à tous les internes de venir assister aux épreuves réservées aux bizuts.

Comme tous les autres bizuts, nous avons du jurer accepter notre sentence sans savoir à l'avance ce qui nous attendait.

ce que nous ne savions pas c'est qu'Anne avait préparé avec les anciens un bizutage spécial pour Marion et moi.

Bizzarement, nous fumes appelés en premier et devant toute l'assemblée, je fut le premier à être bizuté.
On me fit mettre tout nu et je dus m'allonger les jambes écartées sur la table de soins.

Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer Anne en tenue de médecin. C'est elle qui allait m'osculter devant tout le monde. La garce avait trouver le moyen de m'humilier publiquement.

Elle enfila lentement des gants de caoutchouc  en prenant son temps pour que tout le monde puisse profiter su spectacle.



Une fois ses gants enfilés, Anne s'approcha de moi avec un sourire qui en disait long sur sa détermination. Moi parralysé par la peur et par la honte, je n'osait bouger ni protester car je savais que si je refusais de subir mon bizutage, j'allais le payer au centuple tout le long de l'année.

Anne savait parfaitement ou elle voulait en venir. Elle me fit écarter les jambes au maximum et plus rien n'empéchait l'assistance de voir mon sexe entièrement dénudé et la raie de mes fesses.

J'avais eu la malencontreuse idée de me raser la semaine dernière car je devais participer à une course de vélo.

La vue de mon pénis et de mes testicules entièrement rasé, firent éclater de rire Anne qui s'écria bien fort pour me faire encore plus honte:

"Regardez, il se rase comme les filles".

"Si tu te comporte comme une fille, tu dois aimer te faire examiner le trou du cul", dit-elle pour que tout le monde entende.

Joignant le geste à la parole, elle m'enfonca son index dans l'anus.



Anne faisait en sorte de faire durer le plaisir. Elle alla chercher un tube de vaseline pour m'en enduire l'anus, afin de mieux pouvoir me pénétrer.

Son doigt reprit son travail et il me labourait l'intérieur du ventre. Elle grattait le fond de mon rectum en essayant de provoquer une réaction de ma part. J'essayais de me contenir et de ne pas montrer mon embarras.

Cette sodomie provoqua quand même une légère érection ce qui eu pour effet de l'agacer, car son but était de me faire souffrir et non de me donner du plaisir.


Il faut poursuivre l'exament en profondeur annoncat-elle.
Elle alla chercher sur la table un spéculum. En la voyant revenir avec cet instrument, je compris que j'allais passer un mauvais moment.

Elle remis de la vaseline autour de mon anus afin de faciliter l'introduction du métal dans mes fesses.
Elle poussait lentement mais surement et je ne pouvais m'opposer à ce viol. Je sentais le spéculum s'enfoncer irrésistiblement dans mon rectum.



Une fois en place, Anne commenca à tourner le molette d'écartement pour me dillater l'anus devant tout le monde.
Une furieuse envie de déffequer montait en moi et je transpirais à grosses gouttes pour me retenir en serrant au maximum mes sphincters.
Anne s'en rendit compte et décida alors de passer à un autre supplice de peur de recevoir sur elle une giclée d'excréments.

Elle retira d'un coup le spéculum pour me faire mal et je dus serré les fesses au maximum pour ne pas me relacher devant tout le monde. J'étais au bord du KO.

Anne me laissa ainsi quelques instants, le temps pour elle d'aller chercher un appareil que je ne reconnu pas tout de suite.

Il s'agissait d'un stimulateur électrique que l'on utilise pour sitmuler les muscles ou en médecine pour vérifier les reflexes.

"Tu dois savoir comment àa marche, toi le sportif" me dit-elle.
"Nous allons tester tes reflexes".



Sans attendre elle m'appliqua une électrode sur la verge et l'autre sur les testicules.
Etant rasé de prés, le collage se fit facilement et les électrodes collaient parfaitement à ma peau. Le courrant allait passer au maximum.

Anne alluma l'appareil et commenca à monter l'intensité de l'appareil.
Je voyais mon sexe se contracter et je ne pouvais stopper une érection devant toute les filles qui applaudissaient le travail d'Anne.

Mes testicules commencaient à me bruler et je ne savais pas comment faire. Je devais subir cette mini électrocution.
Peu à peu je sentis monter en moi une éjaculation que je ne pourrais pas retarder bien longtemps.
Au bout de quelques minutes, je ne pus me retenir et j'éjaculais devant toute l'assemblée qui se mit à applaudir à nouveau.
La tension électrique avait été poussée au maximum par Anne et je continuais à bander malgré cette éjaculation. J'avais de plus en plus mal à la verge qui restait gonflée par la stimulation électrique.

Cette garce voulait me vider, j'en était sur.
Au bout de quelques secondes, je ne pu retenir un nouvel éjacula et cette fois, heureusement mon pénis se mit à débander.

Le public poussa un "Ouh" de désapprobation et Anne du se résoudre à débrancher l'appareil.
Sans me faire prier, je pu quitter la salle pour aller me laver et me rhabiller.


Anne avait maintenant décidé de s'occuper de Marion qui avait assité à tout mon bizutage.
Elle était effrayée intèrieurement mais ne voulait pas donner se plaisir à Anne. Elle faisait donc mine de s'amuser de la situation avec un léger sourire au coin des lèvres.

Vexée de la voir sourire, Anne lui intima l'ordre de se déhabiller et de mettre une blouse de patient pour subir elle aussi un examen complet.

Marion se mit entirement nue et devant les sifflets des garçons vivement interessés par ce nouveau spectacle, elle enfila la blouse qui était accroché au paravent.




Marion alla s'installer d'elle même sur la table car elle devinait facilement la suite du bizutage. Elle sourit pour donner le change, ce qui eu pour effet n'énerver plus encore Anne.

Anne lui bloqua les pieds dans les étriers afin de lui écarter les cuisses au maximum. Les garçons regardaient attentivement car on avait maintenant une vue imprenable sur "l'entre jambe" de Marion.

Anne eut immédiatement le sentiment de victoire car elle vit  en preimier que Marion avait un percing sur le sexe.


"La salope s'écria t-elle", elle a un percing sur le sexe. Les rires et les "ouh" fusèrent à nouveau. Anne avait trouvé le point faible.

"Il faut que je t'examine toi aussi en profondeur".
Elle prit à nouveau le spéculum et l'enfonca entièrement dans le vagin de Marion qui ne pu retenir un cri de douleur.


Une fois le simulacre d'exament au spécumum terminé, Anne voulu humilier totalement Marion.

Elle la fit mettre à quatre pattes de dos sur la table afin que ses fesses soient bien en vue.
Elle continua la sentence en enfoncant  ses doigts dans l'anus de Marion qui ne s'attendait pas à cette sodomie publique.

Ces fesses écartées au maximum laissaient entrevoir son sexe et le percing intime était visible de tous.


Anne continuait à maltraiter l'anus de Marion pour mieux la préparer à la suite du bizutage.


"Maintenant que tu es bien distendue, il va falloir te faire un lavement pour te purifier.
"rese en place à quatre pattes pendant que je prépare  le matèriel".

Marion restait  dans cette position humiliante, les fesses et son sexe écartés devant une centaine de paires d'yeaux qui se réjouissaient du spectacle.

Une fois le liquide mis dans la bouillotte, Anne commenca à enfoncer la canule dans l'anus de Marion.



Une fois la canule bien en place, Anne ouvrit le petit robinet pour faire couler l'eau chaude dans le rectum de Marion, qui ne pouvait empécher cette eau de lui remplir le cul.

Pour accélerer le chatiment, Anne appuya trés fort sur la bouillotte, pour en faire sorit l'eau plus vite.

Marion commencait à être remplie car on entendit des bruits d'air dans la bouillotte.
Anne lui imposa de rester en place pendant cinq minutes , le temps que le liquide fasse son effet et qu'elle aussi ne puisse plus se retenir.

Marion serrait au maximum ses sphincters pour ne pas relacher cette eau qui emplissait son ventre.


Quand elle fut au bor de la rupture, elle cria et commenca à se relacher. Ses sphincters ne pouvaient plus retenir le liquide qui voulait sortir .

De petits jets de liquide commencaient à sortir de ses fesses et son humiliation devint totale lorsque ne pouvant plus se retenir, Marion se vida devant toute l'assemblée qui se mit à hurler en la traitant de "grosse cochonne".

Au comble de la honte et de l'humiliation, Marion descendit de la table en se tenant le ventre.
Entièrement  nue, elle partie en essayant de marcher lentement pour conserver en elle le reste de liquide et aller se réfugier aux toilettes sans même prendre le temps de récupérer ses habits.

Des grands jets d'eaux continuaient à couler entre ses fesses et voyant cela, Marion se mit à courir pour ne pas continuer à se vider en public.

Nos étions tous les deux les"héros malheureux" de la journée.
Pendant Tout le reste de l'année, nous fumes appelés par nos nouveaux surnoms:

"Bitsanpoil" pour moi  et "Anus percé" pour marion.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 15:16
Pour couronner la remise des diplomes de " la meilleure sportive de l'année", la fac EPS de Kiel, organise chaque année un combat entre les deux filles ayant obtenu les meilleures notes tout au long de l'année.

Cette année nous sommes particulièrement gatés car les deux premières Morgan et Kirta se détestent depuis la rentrée, chacune voulant terminer première de la promotion 2006.

La salle polyvatente du campus est donc aménagée en salle de combat et chacun peut parrier sur sa favorite.

Bien chacune peut refuser de participer à cette épreuve donc les règles sont fixées à l'avance depuis plusieurs années.
Mais aucune d'elle ne voulant passer pour une peureuse, le combat est fixé à samedi aprés midi.

Une centaine d'étudiants ont accepté de payer 5 euros pour assiter au spectacle. Cette somme est uniquement réclamée pour couvrir les frais d'aménagement du local.

Les paris sont tenus par les "doyens" qui font offices de dirigeants pour cet journée trés spéciale.


Les règles du combat sont simples:

Les filles doivent commencer le combat en slip (qui sont fournis par l'organisation), seins nus
La gagnante doit mettre son adversaire intégralement nue, et aprés lui avoir enlevé son slip elle doit immobiliser son adversaire jusqu'à ce que cette dernière tape sur le sol avec ses mains pour arrêter le combat et s'avouer vaincue.

La première à pénétrer sur le ring est Morgan, la superbe brune qui a terminée seconde de la promotion derrière Kirta.

Kirta attend qu'elle soit arrivée sur le ring, pour faire son entrée. Elle sait qu'elle est en principe la plus forte. Elle regarde fixement Morgan et lui jete un regard qui en dit long sur sa motivation.

Une fois la cloture des paris effectuée par les "doyens", le gong de début de combat est donné dans une ambiance survoltée.

Les garçons, mais aussi les filles sont exités comme des puces à la vue de ces deux superbes filles pratiquement nues qui vont se battre devant eux.

Kirta qui souhaite abréger le combat se rue immédiatement sur Morgan. Sa puissance physique est supèrieure et elle commence à essayer de renverser Morgan qui resiste du mieux qu'elle peut.

Les encouragements sont équilibrés car les paris sont organisés pour que le nombre de parieurs sur chaque fille soit identique.


Kirta qui pratique le judo commence à fatiguer Morgan en lui faisant des prises d'immobilisaition. Elle lui bloque les bras en lui faisant une clé et lui maintient les cuisses écartées avec sa jambe droite. Morgan ne va pas tarder à fatiguer.


Kirta attaque maintenant un retournement afin de passer au dessus de Morgan. Elle la fait à nouveau basculer sur le côté et  prépare une prise de blocage au sol qui lui donnera la maitrise sur son adversaire.

Kirta a réussi à passer sur le corps de Morgan. Elle s'assoit sur elle pour la contraindre à l'immobilisme.

Morgan est complètement sous les cuisses de Kirta. Elle a du mal a reprendre son souffle et l'odeur de transpiration de Kirta lui emplie les narines.

Pour mieux l'humilier devant les spectateurs, Kirta écarte ses cuisses pour mettre son entre jambes sur la bouche de Morgan. Elle lui maintient les bras avec sa main doite et sa jambe gauche.

D'un geste rapide Kirta attrape la ficelle qui maintient le slip rose de Morgan. Elle ltire sur la ficelle pour le détacher. Le noeud vient de se défaire, il ne lui reste plus qu'à tirer d'un coup sec pour que Morgan se retrouve complètement nue.

Les encouragements des garçons se font encore plus assourdissants lorsqu'ils constatent que Morgan qui est entièrement rasée, porte un magnifique taouage sur le pubis.

Voyant cela, Kirta décide de lui porter un coupa fatal. Elle lui enfonce deux doigt dans le sexe et devant l'assistance abassourdie, elle commence à la masturber devant tout le monde pour lui faire rendre grâce. Morgan décontenancée se met à gémir de souffrance, mais surtout afin de cacher sa gène et un plaisir qu'elle ne pourra contenir bien longtemps.

Mais Morgan est courageuse, elle subit sans vouloir abdiquer et tente de se relever.

Voyant sa manoeuvre, Kirta cherche à la coucher à nouveau au sol.
Elle lui endonce sans ménagement un doigt dans l'anus.
De gros éclats de rires accompagnent la scène.
Kirta enfonce au maximum son index dans le rectum de Morgan et fouille son intimité sans aucune gène. Elle est bien décidée à l'humilier devant tout le monde.
Se faire ainsi sodomiser en public !!!
Elle est persuadé que Morgan ne va pas tarder à rompre le combat et à s'avouer vaincue.


Profitant d'un moment de relachement de Kirta, qui semble trop sure de sa victoire, Morgan parvient à glisser sur le côté. D'une main rageuse, elle arrache violament le slip de Kirta et le jète en dehors du ring. Le combat va-til prendre une autre tournure ?

Les deux filles sont maintenant à égalité car elle sont nues toutes deux. La victoire ne peut revenir qu'à celle qui abdiquera sous la douleur.
Morgan bloque maintenant la tête de Kirta entre ses cuisses et lui fait subir le même traitement qu'elle a subi quelques instants plus tôt. Elle appuie ses fesses au maximum sur le visage de Kirta pour lui emplir les narines de son odeur intime. Nous sommes persuadés que si elle le pouvait Morgan ne se génerait t pas pour lui "péter" à la figure. Peut être a t-elle essayé, mais personne ne s'en est rendu compte.


Pendant de longues minutes les deux filles roulent sur le tatami, essayant à tour de rôle de prendre l'avantage. Mais le combat s'est équilibré et aucune d'elle ne veut s'avouer vaincue.

Aprés plus d'une demi heure de combat acharnée, les deux filles sont au bord de l'épuisement. Les gestes ne sont plus décisifs, la force ayant abandonnée leurs muscles.

Ruisselantes de sueur et toute haletantes, elles restent là allongée sur le ring, dans une position qui ressemble à un superbe 69.
Aucune d'elle n'a pu prendre un avantage définitif.

Sous les applaudissements de tous les étudiants, un match nul logique est décidé à l'unanimité par le jury.


Ce combat devait avoir "émoustillé" les filles, car on vit  Olga et Martha se dirriger vers les "doyens" et manifester leur intention de combatre l'une contre l'autre.

Cette demande non prévue au programme prit de court les bizuteurs qui proposèrent de se réunir pendant cinq minutes pour prendre une décision. Il fallait quil y ait un enjeu sinon cela ne présentait selon eux aucun intêret.

Aprés plusieurs minutes de discutions à huit clos, les "doyens" firent connaitre leur proposition.

"Si vous acceptez de combattre, ce sera selon nos règles. Le combat consistera à immobiliser son adversaire et à la faire jouir devant tout le monde. La perdante sera celle qui jouirra la première et elle devra faire le lit de toutes les anciennes pendant un mois La gagante empochera elle une somme de 100 euros. Si vous êtes d'accord sur ce point, alors vous avez le droit de combattre" proposa le "chef des doyens".

L'envie de gagner cette somme, ajoutée au désir de vaincre en public pour affirmer sa supériorité, fit que les deux acceptèrent la proposition.

En quelques minutes elles furent sur le tatami de combat et au coup de gong un farouche combat s'engagea entre les deux filles.


Les deux grandes blondes essayaient chacune de bloquer l'autre en lui faisant une prise de judo. Elles avaient commencé leur combat en ne gardant que leur bas de maillot afin d'être moins facile à attraper.

Olga fut la première à perdre son maillot , Martha était positionnée derrière elle et avait l'avantage de la situation. Elle fit glisser le maillot par le dessous et Olga se retrouva intégralement nue devant les élèves qui applaudissaient et l'encourageait à continuer.


Martha était trés forte et elle savait comment fatiguer Olga. Elle lui bloquait le bras par une clé et enserrait avec ses jambes la taille d'Olga qui ne pouvait plus bouger. Le temps jouait en faveur de Martha qui n'avait plus à attendre qu'Olga soit épuisée à force d'essayer de se déffaire de l'emprise de Martha.

Au bout de quelques minutes, Matha sentie qu'Olga n'offrait plus beaucoup de résistance et elle décida de passer à la phase 2 du combat.



Au moyen d'une prise de judo parfaitement réussie, Martha retourna Olga et la plaqua au sol en s'allongeant sur elle pour l'empécher de se relever.

Olga avait beau essayer de se mettre sur la pointe des pieds, le poids du corps de Martha bloquait ses bras et elle ne pouvait se défaire de cette emprise.

Martha en profita pour glisser sa main entre les cuisses d'Olga et une fois  sa main bien calée , elle commença à  fouiller avec ses doigts l'intimité d'Olga qui ne pouvait empécher cette main de lui pénétrer le sexe.

Le pouce de Martha titilait le clitoris d'Olga alors que ses autres doigts pénétraient profondément dans la chatte , qui commencait à ressentir les premiers effets de ces caresses. Olga  essayait de lutter pour ne pas succomber trop vite.


Au bord du "Ko" Olga essaya de se redresser pour échapper aux caresses de Martha.
Voyant cela, Martha qui ne voulait pas lacher sa proie, fit en sorte de la bloquer à nouveau.



Pour en finir avec elle, il fallait que Martha immobilise définitivement son adversaire. Elle efectua un nouveau retournement afin de remettre Olga sur le dos.

A bout de force Olga ne pouvait plus résister à cet assaut et elle se retrouva vite coincée sous les jambes et le corps musclé de Martha.

Les cuisses de Martha bloquaient définitivement les bras et le haut du corps d'Olga qui n'avait plus aucune chance d'échapper aux caresses maintenant.

D'une main gauche décidée, Martha recommença à fouiller le sexe d'Olga et elle se mit à frotter à toute vitesse ses doigts sur le clitoris d'Olga qui au bout de quelques secondes ne pu retenir un cri.

Elle ne pouvait empécher une formidable onde de plaisir de monter en elle, et vaincue par le plaisir elle se mit à jouir sans plus aucune retenue. Elle était secouée de spasmes profonds car Martha continuait à la faire jouir de sa main experte. Elle savait comment se faire jouir, donc pour elle s'était facile de transposer les mêmes caresses sur une autre fille.



Le gong retenti enfin et il sonna la délivrance pour Olga qui épuisée, resta de longues minutes allongées nue sur le sol, ne cherchant même plus à dissimuler son sexe offert à la vue de tous.

Elle était épuisée et cette vision d'une grande fille blonde les yeux fermés, étendue nue les jambes écartées et cherchant à reprendre sa respiration avavit quelques chose de magique et de fascinant. Les autres élèves regardaient Olga avec respect et admiration. Il pas faux d'immaginer que quelques filles révaient secrètement d'être à sa place.......
Publié dans : bizutages
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 09:48
BIZUTAGE ECOLE DE COMMERCE:

Chaque année le taditionnel bizutage de fin d'année à lieu dans notre quartier général, le nignt club "Bains-Mousse". C'est l'occasion pour nous toutes de laisser libre cours à nos phantasmes et à profiter de cette unique soirée pour mater les beaux gosses de la fac.

Cette année c'est la Chantilly qui a été choisie comme thème du bizutage. Les garçons et les filles bizutés devant se plier aux exigeances des bizuteurs.

La soirée est trés vite montée en température quand le DJ a annoncé au micro le début des hostilitées.
des bombes de chantilly ont été données aux bizuteurs ( filles et graçons )  et le spectacle a pu commencer.


Le premier garçon à passer à la casserolle a été Antoine. Un superbe brun que de nombreuses filles revaient de voir à poil.
Elles ont été servies. Antoine a du se déshabiller devant toute l'assistance et s'allonger nu sur la piste de danse.

Une fois en position, Jeremy lui a copieusement  aspergé le ventre et le sexe de chantilly.
Les filles regardaient en rigolant et en imaginant la suite des opérations.
Antoine se laissait faire, trop content d'être celui qu'on allait bientôt manger.



Pour que le bizutage soit vraiment complet Jeremy lui vide le reste de la bombe sur le pénis, afin que les filles soient obligées d'y gouter.


La première bizut à passer, fut Caroline. Elle se mit à genoux devant Antoine, s'approcha de son ventre.
Ses longs cheveux bruns posés sur le torse d'Antoine, elle commença à lècher la chantilly avec sa langue en prenant appui sur ses deux mains pour mieux se pencher sur le ventre d'Antoine.
Ce dernier semblait appréicier et se laissait faire en regardant d'un oeil amusé la scène.



La seconde fille qui fut appelée pour subir son bizutage s'appelait Andréa, s'était une petite "fausse blonde" trés portée sur le sexe.
Sans attendre, le signal du départ, elle se précipita sur le pénis d'Antoine et, devant toutes les filles éberluées devant tant de naturel et d'audace, elle se mit à sucer la verge recouverte de mousse blanche.
Les garçons applaudissaient à tout rompre. Les filles sifflaient pour encourager  Andréa qui sans reprendre sa respiration, pratiquait une magnifique féllation devant toute l'assemblée.

Voyant qu'il n'allait pas tarder à jouir, Andréa compris toute seule qu'il était temps d'arrêter pour qu'une autre "bizut" prenne sa place.


Linda attendait son tour en admirant le superbe numéro d'artiste d'André.
Quand vint son tour elle se mit elle aussi à genoux et se mit à lécher le ventre d'Antoine avec des petits coups de langue. Sa main s'appuyait sur la cuisse d'Antoine et l'on vit sa verge commencer à se redresser légèrement.

Ce contact direct semblait lui provoquer un effet difficilement contrôlable.

Elle continua à le lécher , epndant que sa main s'aventurait entre ses cuisses. De sa main droite elle se mit à lui carresser discrètement le dessous des bourses. Mais personnes n'était dupe. On voyait bien que Linda avait une furieuse envie de s'attirer les faveurs de ce super male.
On savait qu'elle n'avait pas de petit ami et elle faisait ce qu'il fallait pour lui montrer ses capacités.
Antoine visiblement appréciait la prestation !!!


Il fallait maintenant trouver un moyen d'arréter Linda car il était hors de question qu'elle monopolise la soirée en s'occupant seule de la verge sucrée d'Antoine.
Les filles décidèrent de se joindre à elle et  Chrisitane prit sans attendre une autorisation, la place de Linda entre les jambes d'Antoine. Elle passa sa main entre ses jambes et à sa grande surprise elle lui enfonca l'embout d'une bombe de chantilly dans l'anus.
Les autres filles étaient sur lui et il ne pouvait pas bouger. En plus il glissait sur le sol et il fut donc obligé de subir cet affront que tout le monde pouvait voir.

Christiane lui vida la bombe de chantilly dans l'anus. Cela commencait à déborder de partout.
Pendant ce temps pour ne pas être en reste, les filles recouvraient les feses de Christiane avec de la chantilly. Elle avait elle aussi, les fesses remplie de mousse sucrée et collante.

La fin de la soirée fut à l'image des quelques photos qui ont été prises.
Un vrai délire, et du sexe vraiment bien sympa.
Vivement l'année prochaine.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 23:13
PHOTOS SANS TEXTE: JOURNEE BIZUTAGE DES DIFFERENTES FACS DE LA VILLE

SYMPA , AMUSANT , DECONTRACTE ,  SEXY A SOUHAIT !!!!

VIVEMENT LES MEMES EN FRANCE !!!!!!











Publié dans : bizutages
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