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Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 12:37
Le bizutage de la pension Smith est particluièrement sévère. Les chatiments corporels étant encore institués dans cet établissement, toutes les filles savent qu'elles sont succeptibles d'être punies et corrigées en cas de manquement au règlement.

Le bizutage annuel est donc calqué lui aussi sur les sévices corporels et il doit permettre de se faire une idée du pouvoir de résistance des nouveaux élèves.

Cette année, le thème du bizutage est: " cordes et baguettes"
Les nouvelles seront bizutées le premier samedi du mois qui suit la rentrée des classes.
Elles ne connaissent en principe pas les autres élèves et ces bizutages sont donc subis avec encore plus de diificultés par les nouvelles.
Etre exposées et fessées devant des inconnues donne un piment supplémentaire que les anciennes tiennet à perpétuer. La direction de son coté, fait en sorte de ne pas intervenir dans ces bizutages et ce sont donc uniquement les anciennes qui en décident les modailtés.

Claire est une nouvelle. Son air de première de la classe a tout de suite énervé les autres filles qui ont vu en elle une possible rivale.

Claire est donc choisie tout naturellement pour être la première "bizut" de l'année.
Elle va devoir subir deux épreuves.
Pendant que les anciennes continuerons les bizutages, Claire va devoir rester attachée toute la matinée. Dans le cas ou elle parviendrais à ce dettacher seule, le second bizutage lui serait épargné. Dans le cas contraire, elle devra subir le "bizutage de la salle des tortures".

Pour le premier bizutage, Claire a été conduite sur son lit pour y être attaché solidement.
Jamie, la plus ancienne du collège a prit les choses en main et commence à lui lier les manis dans le dos aprés l'avoir fait allonger sur le ventre.

Elle passe les cordes autour de ses poignets puis continue et lui liant les chevilles.


Pour bien l'immobiliser, Jamie relie les chevilles aux poignets de Claire. Elle se trouve donc avec les bras tirés en arrière et les pieds repliés sur les fesses. Impossible de se redresser et d'espérer pouvoir se déplacer. Le bondage est parfait.

Jamie qui souhaite tester le pouvoir de résitance de Claire, la retourne sur le coté et commence à lui ouvrir son petit chemisierqui lui couvre la poitrine.

Claire a une poitrine importante et cela à l'air d'exciter Jaimie. qui s'empresse de défaire un a un les boutons qui ferment le tissu.



Elle ouvre le chemisier dans un geste qui laisse apparaitre une magnifique poitrine. Comme Jaimie s'en doutait, Claire ne porte pas de soutien gorge et les deux gros seins blancs sont maintenant bien en vue.

Jaimie continue son ligotage et complète l'esthétique en entourrant la poitrine de Claire en passant les cordes en dessus et en dessous de la superbe poitrine de Claire.
" Maintenant, tu vas attendre que l'on vienne te chercher, à moins que tu arrive à te détacher toute seule. Mais cela m'etonnerais" dit Jaimie en se relevant.
Claire est maintenant sur le dos et pour mieux l'humilier une des filles commence à lui caresser le bout des seins pour tester sa réaction.
Presque instantanément, les tétons durcissent sous la pression des doigts et cela a pour effet de faire rire les filles présentes.
" Tu es super chaude" lui dit Marie, une des anciennes.
"Je crois qu'on va bien s'amuser avec toi".

Les bizuteuses quittente la chambre à regret pour rejoindre un autre groupe qui les attendent pour commencer le bizutage d'une autre nouvelle.

La porte se referme et Claire se retrouve seule, à demie nue, les mains et les peids solidement attachés. Heureusement, les filles ne lui ont pas enlevé sa culotte. Elle en serait morte de honte, elle qui est si timide.

Elle a beau essayer de faire glisser ses liens, Claire se rend bien vite compte qu'elle va devoir rester dans cette position toute la matinée.
L'attente va être longue..........
 

Vers Midi, Claire entendit des pas et elle sortie de son demi sommeil. La porte s'ouvrit et quatres filles entrèrent dans la chambre.

" Tu vas nous suivre dans la salle des tortures, pour passer ton deuxième et dernier bizutage de la journée" dit une d'entre elles.

Elles lui détachèrent uniquement les chevilles en prenant bien soin de lui laisser les bras attachés dans le dos. On lui remit en place son chemisier blanc, mais on lui enleva ses souliers noirs.
"Tu vas enfiller la paire de chaussettes et des chaussures règlementaires. Tu as l'air d'une idiote avec ces souliers vernis. Dêpeche toi" lui commanda une des bizuteuses.

Elle du traverser les grands couloirs du collège avec les mains attachées derrière le dos dans sa nouvelle tenue d'écolière modèle.

Une fois arrivée devant la salle de biologie, elle entra et vit qu'aux moins une bonne trentaine de filles étaient assises sur les chaises en attendant d'assiter au spectacle.

On la fit installer sur l'estrade, on lui dettacha les poignets et Jaimie qui se tenait derrière le bureau du professeur commença à parler:

" Tu vas devoir répondre à trente questions de culture générale. Chaque mauvaise réponse te vaudra une tape sur les fesses. Si tu fais plus de dix erreurs, tu sera fessée cul nu.
Si tu fais plus de vingt fautes, ce sera cette fois la baguette qui te rougira les fesses".

"Tu as intêret à être à la hauteur de la réputation du collège, ici les incultes n'ont pas leur place".

Elle commenca à poser les question qui avaient été savament préparées à l'avance.
Au bout de dix questions, Claire n'avait répondu juste à aucune question, des larmes commencaient à couler le long de ses joues car elle venait de réaliser qu'elle allait être mise nue devant toutes ces inconnues et qu'elle allait devoir subir une humiliation terrible.

A la trentième question, Jaimie lui dit:
" Seulement cinq bonnes réponses, ce n'est pas glorieux. Tu es la plus mauvaise élève de la journée".
Les questions avaient été triées sur le volet afin que Claire ne puisse répondre qu'à seulement quelques questions. Elle n'avait pratiquement aucune chance dés le départ, mais c'était la règle du bizutage.

Deux filles montaient maintenant sur l'estrade pour la saisir chacune par un bras. Elle dut s'allonger sur le grand bureau qui était devant le bureau du professeur.

"Tu vas remonter ta jupe dans ton dos que l'on puisse voir ton gros derrière d'ignare" lui dit Jaimie.

Pétrifiée par la honte de s'exposer ainsi devant des inconnues, Claire hésitait à s'exécuter. Une violente tape sur les fesses lui fit entendre raison elle commenca tout doucement à relever sa jupe.

Des sifflets mélangés à des applaudissements ponctuairent cette auto-mise à l'air. Le plus difficle pour claire s'était qu'il allait falloir baisser sa culotte. Autant pour relever sa jupe, cela n'avait pas été trop difficile, autant maintenant, se mettre à nue devant tous ces regards moqueurs c'était terrible et difficle à commencer.

Une seconde tape sur la fesse gauche, lui rappela que les filles n'avaient pas envie d'attendre trop longtemps son bon vouloir.

De nouvelles larmes coulaient derrière ses lunettes et de la buée lui masquait partiellement la vue.

Voyant que Claire n'arrivait pas à se décider seule, Jaimie s'approcha et prenant un bout de la culotte dans chaque main, elle le tira d'un coup sec et décidé vers le bas, mettant à nu un magnifique postèrieur. Ses fesses et ses cuisses étaient trés blanches et un peu rondes.
Il était déjà évident que les coups allaient laisser des traces sur cette chairl à peine rosée.

Claire eu envie de se protéger les fesses avec les mains, mais sa tentative fut tout de suite stoppée par Jaimie qui lui donna un coup de baguette sur la main pour bien lui faire comprendre qu'il ne fallait plus bouger.

Jaimie leva la baguette bien haut et annonça:
" Vingt cinq coups pour punir ton ignorance".

Elle leva la baguette à une bonne trentaine de centimètres au desssus des fesses de Claire et commença par lui donner cinq petits coups en travers du fessier.
Immédiatement des traces rouges apparurent sur les deux fesses et le contraste était  impressionnant.



Chaque coup était donné maintenant avec plus de force et plus de précision. Jaimie faisait en sorte d'attendre que Claire se relache un peu et reprenne son souffle pour reprendre sa fessée.

Claire ne pouvait retenir de petits cris et elle suatillait à chaque fois que la baguette touchait ses fesses.
Au vingtième coup, le postèrieur de Claire était zébré et le sillon de ses fesses dessinait une croix avec les traces perpendiculaire.
Elle serrait les fesses au maximum afin de ne pas exposer son entre jambes.




Le vingt cinquième coup de baguette arracha un véritable cri à Claire. On ne pouvait dire si c'était la souffrance seule ou si c'était aussi un cri de délivrance.

Jaimie lui annonça qu'elle devrait rester allongée epndant que les responsables du labo photo du collège allaient prendre des photos pour les archives du collège.

Jaimie s'approcha de Claire et lui écarta légèrement les cuisses. Elle fit descendre tout en bas sa petitte culotte et l'enleva d'une geste rapide.

Claire se retrouvait le cul à l'air sans même ce minuscule rempart qui lui donnait le sentiment de ne pas être totalement nue. Maintenant c'était pire, plus rien ne cachait sa nudité, ni la naissance de son sexe qui était jusqu'alors caché par la culotte.



Pour augmenter son supplice, Jaimie écarta un peu plus les jambes de Claire. Elle prit à deux mains ses jambes et en écarta le compas pour que tout le monde puisse admirer son petit sexe imberbe et d'un rose particulièrement foncé.

Claire ne savait plus comment se protéger. Elle devait offrir son sexe et son anus à la vue de toute ses filles qui ne manqueraient pas de se moquer d'elle tout le reste de l'année.

Au bout d'une longue scéance de photos. la fin du bizutage fut annoncé par Jaimie.

"Bravo, maintenant tu es digne d'appartenir à notre collège. La preière qui se moquera de toi ou qui fera allusion à ce bizutage sera sévèrement punie".
Son supplice venait de prendre fin.........




























Par Plume - Publié dans : bizutages
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Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 12:09
Je vais vous raconter un souvenir cuisant d'internat qui m'est arrivé lorsque j'étais en terminale au lycée de Meineganf.

Je m'appele Carola et j'avais alors dix sept ans et j'étais pensionnaire dans cet établissement depuis le début de l'année scolaire. Le réglement stipulait qu'il était interdit de fumer dans tout l'établissement.
Venant d'un autre lycée ou cette interdiction n'éxistait pas, j'avais du mal à m'y résoudre car je fumais régulièrement depuis un an, un demi paquet de cigarette par jour.

J'arivais à ne pas me faire attraper par la surveillante générale et les autres internes faisaint en sorte de me prévenir lorsqu'elle arrivait dans les couloirs.

Au milieu de l'année scolaire, alors que je sortais avec lui depuis plusieurs mois, je décidais de rompre avec Johan, mon "boy friend" car j'en avais assez de sa jalousie maladive.
A vrai dire mes regards commencaient à se poser sur un autre garçon de terminale.

Un soir, fatigués d'avoir à expliquer à Johan les raisons de ma rupture, je montais dans ma chambre pour fumer une cigarette et décompresser un peu. Johan partis en colère car il venait de comprendre que je ne reviendrais pas en arrière et que notre relation était finie.

J'allumais une cigarette et commencait à me décontracter.

Je n'avais pas tiré plus de deux bouffées, que j'entendis la porte de ma chambre claquer avec violence.
C'était Madame Hannes la surveillante générale qui venaient de faire irruption avec une canne à la main.

" Johan avait raison, tu fumes dans l'internat alors que sais que c'est strictement interdit".
"Tu mérite une bonne punition" me dit-elle.

"Tourne toi et allonge toi sur le lit. Si tu n'obéis pas je te fais renvoyer définitivement sur le champ".
Terrorisée à l'idée d'être renvoyée du lycée, je m'exécutais sans dire un mot. Je connaissais la dureté de Mamda Hanes et je savais que si je n'acceptais pas la punition, elle se ferait un plaisir de me faire renvoyer.

Une fois allongée sur le ventre, elle s'approcha de moi et remonta ma jupe en haut de mes cuisses pour découvrir entièrement mes fesses.
Elle attrapa à deux mains ma culotte et commenca à la faire descendre, me mettant les fesses à nue.

Madame hanes savait exactement ou elle voulait en venir. J'allais devoir subir une fessée dont elle connaissait manifestement tous les rouages.
Elle descendit ma culotte sur mes cuisses afin de me mettre complètement à nue. J'avais maintenant la culotte sur les jambes et mon postérieur était une cible parfaite.

"Un paquet de vingt cigarettes, ca mérite vingt coups sur les fesses, ça t'apprendra à obéir et à respecter le règlement".

Elle commenca me fesser avec précision. Chaque coup me faisait sauter de douleur, et je ne pouvais retenir des cris de douleur.
Tous les autres internes allaient être informer de ma punition.

Au dixième coup, ne pouvant plus me contenir, j'esquivait un geste de défense en me mettant sur le coté. Voyant cela, Madame Hanes attarapa ma culotte avec sa main gauche et tira d'un coup sec pour l'arracher. Le dernier rempart défensif venait de m'abandonner.


Folle de rage de voir que je cherchait à me protéger les fesses, elle se mit à frapper avec plus de force et chaque coup me faisait hurler de douleur. J'avais déjà les fesses toutes zébrées par les traces de coups.


N'arrivant pas à me fesser correctement; Madame Hanes m'ordonna de me mettre en traver du lit et de m'allonger à plat ventre pour qu'elle puisse finir sa punition sans avoir à se contorsionner pour me fesser.

A la simple pensée du renvoi du lycée, je m'exécutais immédiatement et me mis en position pour recevoir les dernires coups de baguettes.

Pour son plaisir personnel, car elle devait aoir des penchants lesbiens, elle continua à me fesser à mains nues. Le contact de sa main froide sur mes fesses me provoquait une sensation bizzare et je dois avouer que j'y prenais un certain plaisir. Mais bien sur il était hors de question qu'elle s'en rende compte.
Je serrais les dents pour encaisser sans broncher les dernires coups.

Madame Hanes, voyant que je criais plus se douta que les claques sur les fesses n'étaient pas assez fortes. Elle reprit la baguette en bois et me flagella le derrière avec force.
Elle continua jusqu'à quarante coups sur mes fesses qui étaient striées de marques violacées.
J'avais attrocement mal, mais je devais subir la punition jusqu'au bout.

Je me mis à pleurer, de honte et de douleur et cela eu pour effet de faire stopper presque immédiatement la punition.
"Ne recommence plus jamais à fumer ici, ou tu seras renvoyée définitivement. Que cela te serve de leçon" me dit -elle en quittant la pièce.

Une fois Madame Hanes partie, je m'allongeais dans mon lit pour essayer de ne plus penser à la douleur et à cette humiliation que je venais de subir.

Hulli et Agathe frappèrent à la porte et me voyant pleurer dans mon lit elles entreprirent de me consoler.
" C'est ce fumier de Johan, qui m'a dénoncé. Madame Hanes est arrivée pendant que je fumais est elle m'a frappé pour me punir".
"Il faut se venger de ce sale cafard" proposa Hulli.

Trés solidaires dans l'adversité nous avons décidé de faire payer cher à Johan sa trahison.
Agathe eu la première une idée de génie. On allait se débrouiller pour que la jeune professeur d'anglais Madame Moore découvre un paquet de cigarette dans les affaires de Johan.
Nous n'aurions plus qu'à lui raconter la punition que Mme Hanes m'avait infigé, pour qu'elle en fasse autant avec Johan.

Agathe avait glissé dans le cartable de Johan un paquet de cigarettes entammé.
Bien sur elle avait pris soin d'avertir avant le début du cours Mme Moore de la présence de cigarettes dans le cartable de Johan et n'avait pas manqué également de l'informer de la punition que j'avais du subir des mains de Mme Hanes.

Etonnée mais bien décidée à faire respecter un juste équilibre, Mme Moore avait confirmé à Agathe que si c'était bien le cas, Johan subirait la même punition. Avant même de commencer le cours la prof demanda à chaque élève d'ouvrir son cartable pour un controle de sécurité.

Johan s'éxécuta en premier et à sa grande surprise, il vit le paquet de cigarette à l'intérieur. Il eut beau essayer de se justifier, Madame Moore ne lui laissa pas le soin de se défendre.


"Johan, c'est intolérable. Tu vas recevoir la même punition que Carola. Si tu résistes, je te fais renvoyer immédiatement par le directeur".
Johan venait de comprendre dans quel piège il était tombé.

"Viens t'allonger sur mes genoux pour recevoir ta punition" ordonna Mme Moore.
Johan s'allogea résigné sur les genoux de la prof pendant que les autres filles en profitaient pour lui descendre son pantalon et son slip sur les chevilles.


"Met toi de l'autre coté pour que les autres élvèves puissent profiter du spectacle"
Johan dut se placer les fesses face aux élèves. On pouvait voir ses fesses poilues bien écartées.
Ses testicules pendaient entre ses cuisses et cela faisait rire les autres élèves de voir un grand garçon comme lui se faire fesser par des filles.


Les claques fusaient sur ce fesses qui commencaient à rougir sous l'avalanche de coups.



"Remplace moi s'il te plait Carola, j'ai mal aux mains, mais il faut finir la punition" me dit la prof.
Je ne me faisais pas prier pour prendre sa place et je commencais à frapper Johan avec des forces décuplées par le plaisir de la vengeance.
Je lui frappais les fesses de toute mes forces en serrant les dents de colère.
J'allais lui mettre le cul en feu.

Voyant que Johan aurait bien du mal à rester en place, elle passa derrière lui pour lui maintenir les chevilles et le maintenir en position.
Cela me permit de continuer à le fesser et à lui rougir le cul.
Les élèves applaudissaient ma performance car je frappais sans m'arréter et je devais bien en être à une cinquantaine de coups. Je n'avais même pas mal à la main.


Mme Moore décréta soudain que la punition été finie. Elle dit à Johan de se rhabiller et d'aller en salle de permanence attendre la prochaine heure de cours.
Une fois qu'il eut quitté la salle, la prof s'adressa à nous tous.

" J"ai voulu cette punition pour vous montrer que fumer est dangereux pour vos poumons mais aussi pour vos fesses et aussi et surtout pour vous montrer que les "traitres" sont toujours punis".
"Maintenant continuons le cours"

Tous les élèves applaudirent Mme Moore.
J'étais vengée et Johan ne m'importunerais plus.




Par Plume - Publié dans : bizutages
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Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 12:04
Chaque année le premier vendredi du mois d'Octobre est la journée consacrée au tirage au sort des épreuves de bizutage des "deuxième années" de l'ESCAE.

La tradition maison veut que chaque garçon soit bizuté par une fille de quatrième année et chaque fille par un "major".

Je m'appele Bertrand, j'ai dix neuf ans et je suis donc en deuxième année avec la ferme intention de réussir mon examen de passage en troisième année.

Le bizutage est totalement différent à l'ESCAE car contrairement aux autres fac, il ne se fait pas en public. Les bizutages ont lieu chez le bizuteur qui choisi lui même l'épreuve à accomplir. Un rapport écrit et accompagné de photos ou vidéo du bizutage est ensuite transmis aux majors qui doivent voter la réussite ou non de l'épreuve.

Les "recallés" doivent alors subir des épreuves en public et chaque année cela donnne lieu a des remords pour tous ceux qui n'ont pas accepté sur leur épreuve initiale.

Pour ma part, j'ai vu l'an passé les bizutages publics et je compte bien faire tout mon possible pour ne pas avoir à en subir un.

Le tirage au soir du vendredi m'a attirbué Joelle comme bizuteuse. C'est une petite brune trés sportive qui pratique l'athlétisme et qui est deplus pompom girl pour l'équipe de basket de la fac.

Elle se doit d'annoncer publiquement le bizutage qu'elle va me faire subir et les majors doivent le valider ou choisir eux mêmes de le compléter si nécessaire.

Joelle, dont je ne connait absolument rien, sort un papier de sa poche et lit à haute voie l'épreuve que je devrais subir:

"Bertrand devra se rendre chez moi à pied samedi aprés midi. Il sonnera et se rendra imméditament dans ma chambre. Là il devra strictement obéir à mes ordres.
Son bizutage consistera à recevoir une fessée cul nu. Une fois allongé sur le lit et une autre fois sur mes genoux.Il recevra au total cinquante coups sur les fesses.
 La scéne sera filmée à l'aide de mon camescope. Si le nombre n'est pas atteint, le bizutage en public sera appliqué.
Ensuite Bertrand devra subir le supplice du chaud et du froid.
S'il resiste à ces trois épreuves sans se plaindre ni s'arréter en cours de bizutage, le rapport confirmera la réussite de l'épreuve". Annonca t-elle d'un ton solannel.

Je confirmais mon acceptation aux majors et m'en allait en attendant l'épreuve du lendemain.

Je ne savais pas si je pourrais résister, mais je ne voulais pas passer pour un dégonflé.
Le lendemain, je me rendais chez Joelle qui habitait apparament seule dans un bel appartement de plusieurs chambres.

Comme convenu une fois rentré, je la laissais me conduire dans sa chambre, sans prononcer la moindre parole. J'étais trés intimidé cependant de me retrouver seul devant une inconnue qui allait me corriger comme un petit enfant.

Joelle me fit assoir sur une chaise de sa chambre et me dit d'un ton qui ne souffrait pas l'objection:
"Allonge toi à plat ventre sur mon lit, les genoux aux sol et ne bouge plus".

Connaissant l'enjeu, je m'exécutais sans chercher à négocier. Le ton emplyé par Joelle m'avait surpris par sa fermeté.
Elle me poussa en avant pour me mettre en position en me mettant la main au fesse pour me forcer à mettre mes cuisses au bord du lit.


Je sentis deux mains décidées, passer sous mon ventre et s'attaquer à la ceinture de mon jeans.
Joelle savait parfaitement comment s'y prendre pour défaire mon pantalon. Elle dégraphait un à un les boutons et un fois la braguette complètement dégagée, elle tira vers le bas mon jeans et mon calçon à carreaux.
Je me retrouvais le cul à l'air, le pantalon et le calçon sur les genoux, en position pour recevoir la fessée promise.

Joelle tenait dans ses mains une véritable arme de combat. Je ne sais pas ou elle avait pu acheter cet instrument de torture, mais je devinais qu'il devait faire extrémement mal sur les fesses.

Sans plus attendre elle comenca à compter en partant de cinquante. Les coups tombaient régulièrement , avec méthode et précision.  Elle devait certainement jouer au tennis ou au ping pong car ces coups étaient préçis et toujours donnés avec la même force.

Au vingtième coup, je ne pu retenir un cri de douleur. Il en restait encore trente à subir et j'avais déjà  les fesses en feu.
Joelle s'appuya sur moi pour éviter que je ne me redresse et continua à frapper avec précision le bas de mes fesses.
Ca me brulait terriblement et j'avais envie de m'enfuir.

Au vingt-cinquième coup, elle me dit de me mettre debout et de veni s'allonger sur ses genoux.
Joelle avait prit place sur la chaise et me traitant comme un enfant de dix ans, elle m'installa sur ses genoux, les fesses bien exposées pour pouvoir reprendre le compte à rebours.


Sa main gauche était terrible car aucun coup ne ratait sa cible.
Tantot sur le haut , tantot sur le bas de mes fesses. Toutes les zones de mes fesses étaient la cible de sa "raquette". Mes fesses me piquaient comme si des milliers d'abeilles m'avaient piqué le derrière. La douleur était à peine supportable, mais je devais faire front si je ne voulais pas être obligé de subir le bizutage public.

Je voyais devant moi l'objectif du camescope posé un trépied, qui enregistrait  depuis le début et qui montrerait aux majors cette scéne humiliante.


Au bout d'un temps qui me sembla durer des heures, j'entendis: "Zéro".
C'était la fin de ma première épreuve. Je me frottais les fesses pour essayer d'en atténuer la douleur.

Joelle me dit aussitot:
"Tu vas aller t'allonger dans l'autre chambre, car j'ai préparé l'épreuve du chaud et du froid".
"Si tu supporte cette épreuve sans te plaindre une seule fois, tu auras réussi ton bizutage.

Je me relevais et enjambais mon jeans car Joelle me dit que je devais être entièrement nu. Je devais en plus enlever ma chemise.
Je m'exécutais sans chercher à comprendre, et nu comme un nouveau né, je rejoignais la deuxième chambre.

Là , comble de l'horreur, je me retrouvais face à une grande jeune fille qui m'était totalement inconnue. Ce devait être la "co-locataire" de Joelle. Je compris instanément que leur plan était préparé d'avance. Elle avait du assister à mon bizutage sans que je m'en rende compte et maintenant c'était à elle de prendre le relai.

Elle me regarda droit dans les yeux et m'intima l'ordre de m'allonger sur le lit.
"Tu as eu le chaud, maintenant tu vas avoir le froid" me dit-elle d'une voix décidée.
"Si tu fait le moindre mouvement pour t'en aller, tu devra subir le bizutage public".

Je vis arriver Joelle, qui tenait toujours son camescope dans la main et qui filmait en continue pour pouvoir apporter un témoignage incontestable aux majors.

"Tina, tu peux commencer, je vais m'approcher pour filmer de plus prés" dit Joelle.

Je vis donc Tina s'approcher de moi tenant dans ses mains de fines cordelettes. Pour plus de sécurité, elle m'attacha les bras en croix aux pieds du lit et je me retrouvais dans une position ou il m'était impossible de me protéger avec les mains.
Elle prit chaque cheville et fit de même afin d'écarter mes jambes au maximum. Même si les cordes n'étaient pas trop tendues, je ne pouvais pas bouger et j'étais donc complètement sans défense.

Tina alla chercher quelque chose et je la vis revenir tenant un trés grand verre à la main.
Le verre était rempli de glaçons.

"Nous allons te refoirdir le zizi" me dit-elle en pouffant de rire.
Sans plus tarder elle reversa le verre en emprisonnant mon sexe à l'intérieur. De sa main experte, elle secouait légèrement le verre pour que les glaçons se mettent bien autour de ma verge. 
Elle se mit à faire un léger mouvement circulaire avec le verre et cela eu pour effet de provoquer immédiatement une érection de mon pénis. Les glaçons se mettaient en place et ma verge était maintenant complètement entourée de glace. La sensation n'était pour le moment pas désagréable.

Tu vas rester comme cela et compter jusqu'à 300. Si tu te trompe tu seras puni autrement.

Je commencais à compter en me concentrant afin de ne pas me tromper. Pendant ce temps Tina continuait à faire bouger le verre et la sensation de froid devenait de plus en plus intense.
De l'eau glacée coulait sur mes testicules. Je continuais à compter espérant arriver au chiffre final sans me tromper, mais le chiffre de 275 me fut fatal. Je m'embrouillais et n'arrivant plus à me concentrer, je sautais le chiffre 276.

Tina se mit à crier immédiatement: "Tu n'est même pas capable de compter correctement, je vais devoir te punir plus sévèrement".

Elle enleva le verre de glaçons de mon pénis et j'eu quelques instants de repos. je regardais ma verge qui était  toute violacée par le froid.

Tina revenait en tenant à la main un petit panier. Elle se remit à coté de moi et s'employa à me faire rebander en me passant un glaçon sous les testicules.

Mais rien à faire le froid m'empéchaitmaintenant toute érection. Rien n'y faisiat elle avait beau me caresser avec le glaçon, mon pénis restait terriblement rabougri par le froid.
"Je vois que tu n'as plus aucune réaction, j'ai ce qu'il faut pour te réchauffer la bite" me dit-elle d'un ton agressif.

Elle plongea sa main dans le panier et déposa sur le lit huit petites pinces à linge en bois. Elle commenca par me presser la peau des bourses et y mis plusieurs pinces.
Elle entreprit ensuite de me recouvrir la verge avec le reste des autres pinces à linge. En quelques secondes, je fus recouvert par ses petits engins de tortures et je compris trés vite que j'allais souffrir pour de bon.
La pression sur ma peau était intense, et la souffrance à peine supportable.
"Tu vas rester comme cela pendant que nous allons préparer la suite de ton bizutage" me dit-elle.

Elle quittérent la pièce et me je retrouvais seul, nu , attaché les bras en croix et les jambes écartées, la verge et les testicules emprisonnés par les pinces à linge, et ne sachant pas ce qui allait m'arriver par la suite.



Au bout d'un bon quart d'heure, je souffrais le martyre. La chair de mes bourses était à vif et ma verge me brulait attrocement. J'avais eu beau essayer de résister j'avais de plus en plus envie d'abandonner et de choisir l'humiliation publique.

Les deux filles firent à nouveau irruption dans la chambre. Joelle tenant toujours son camescope dans les mains et Tina portant dans ses mains un petit sac et une boite d'allumettes.
Lorsqu'elle sorti du sac une grosse bougie noire, je compris tout de suite ce qu'elle allait faire.
Elle s'approcha de moi et m'enleva une à une avec lenteur les pinces à linges.

"Puisque tu ne sais pas compter, nous allons t'apprendre" dit Tina.
Tu vas compter avec nous les gouttes de cire qui vont couvrir ton corps.
"Tu comprendras ce qu'endurent les filles lors des scéances d'épilations" complète Joelle.

"Nous en étions à 276, il va falloir aller jusqu'à 300" dit Tina.

A chaque goutte qui tombait et qui me brulait la peau je me remis à compter. Tina déplacait la bougie avec précision afin que chaque goutte atteigne son objectif. Elle commenca par ma poitrine, mon ventre et mes cuisses.



Au bout de quelques minutes je commencais à être couvert de cire. Tina commenca alors à me faire couler de la cire sur le pubis et sur la peau de mes testicules. La sensation de brulure était terrible à supporter. Comment les filles pouvaient elles se faire épiler de la sorte ???

Lorsque je fus intégralement recouvert de cire, Tina se mit à genoux sur le lit et se mit à m'épiler le corps en tirant séchement chaque petite plaque de cire.
Je ne pouvais retenir un cri à chaque fois qu'elle m'arrachait des poils.
Puis vint le moment de s'attaquer à mes poils pubiens et à mes bourses.
Elle arracha en même temps mes poils pubiens et les poils de mes testicules. Je hurlais de douleur.
Les filles se mirent à éclater de rire.
"Mais comme il est douillet. Nous on supporte ça régulièrement sans se plaindre"dit Joelle
"Te volia épilé comme nous".

Tina commenca à enlever mes liens. Une fois déttaché, je me frottais le corps pour essayer de faire disparaitre la douleur.

"Vas te rhabiller et rentre chez toi, tu as réussi tes épreuves" annonca Joelle.
"Je garde la cassette pour la montrer aux majors".

Je filais récupérer mes affaire et aprés m'être habillé en vitesse je quittais l'appartement sans plus attendre. Il fallait que j'aille prendre le plus vite possible une douche ou un bain pour appaiser mes souffrances.

Je mis à courrir dans la rue et sutant de joie car je venais de réussir mes épreuves et j'allais échapper au bizutage en public.
Par Plume - Publié dans : bizutages
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:40
Une journée à la plage
 

Ce petit témoignage m’est revenu en lisant votre site, et témoigne d’une fessée donnée en public dont j’ai été témoin. J'étais avec mon mari en vacances sur la côte prés de Ramatuelle dans les années 80. On allait la plupart du temps se reposer et bronzer près de la piscine mais parfois l'envie nous prenait d'aller à la plage publique pour changer. Un après-midi on s'est retrouvés en compagnie d'un couple d'une quarantaine d'années, Regina et Thierry, avec qui nous bavardions tranquillement quand une balle en caoutchouc est venue heurter le dos de la dame. Bien que cela fasse un moment et que je n'ai pas gardé de contact avec ce couple, je me souviens encore de Regina, une dame au fort accent toulousain. C'était une vraie méditerranéenne de tempérament, la quarantaine, assez grande et un peu forte. Cela faisait un curieux contraste de la voir avec son mari, un petit homme presque chauve et à la voix fluette. Nulle doute que c'est elle qui portait la culotte!

 

"Ho les jeunettes, allez jouer un peu plus loin vous dérangez tout le monde avec vos jeux" dit Regina en s'adressant à une jeune fille d'à peine 20 ans qui venait pour récupérer sa balle, une raquette en plastique dans la main. Il y avait un peu de monde ce jour là, pour la plupart des couples qui bronzaient ou se reposaient tranquillement sur leurs serviettes ; et juste devant nous, deux pimbêches en bikini avec leur lunettes Gucci qui jouaient au Racquetball près de l'eau.

 

Je trouvait que la petite jeune qui était venue récupérer sa balle était gonflée de ne même pas s'être excusée. Elle jouaient tellement mal ces deux là que souvent les balles atterrissaient sur les serviettes des gens, ou carrément sur quelqu'un. On aurait dit que c'était un prétexte pour dandiner leur derrière sur la plage. A plusieurs reprise on leur a demandé de faire attention mais elles nous regardaient l'air ahuri. Mon mari lui les trouvaient plutôt jolies et nous disait d'être relax, que la plage était à tout le monde, mais quand une deuxième balle est venue cette fois renverser la bouteille de jus de fruit de Regina, on a tous rouspétés ensembles. La fille qui venait rechercher la balle toujours la même, s'est platement excusée cette fois, mais Regina lui a demandé cette fois d'aller jouer plus loin et prise d'énervement à jetée la balle vers la mère. Juste avant de détaler en lui tournant le dos la jeune femme lui a lancé un "grosse vache" et a fait exprès de lui projeter du sable en raclant ses sandales en partant. J'ai vu Regina bouillir et à deux doigts de se lever mais la fille a décampé.

 

"Mais t'as vu ça mon chéri, quelle peste !" disait-elle. Les gens en avaient aussi assez d'être importunés constamment dans leur sieste où alors qu'il bronzaient. J'ai dit à Regina que si elle recommençait elle n'aurait qu'à garder sa balle. Et comme je m'y attendait, cinq minutes plus tard une autre balle perdue atterrissait sur notre serviette. Cette fois je pris la balle et la tendit à Regina qui la mit dans son sac.

 

"Confisqué ma jolie tu auras qu'à jouer ailleurs la prochaine fois" lança sèchement Regina à la jeune fille qui attendait qu'on lui renvoie la balle d'un air crâneur. Sa copine elle, partit en disant qu'elle allait en chercher une autre à son hôtel. L'autre qui s'approchait de nouveau avec son air altier rouspétait en disant qu'elle avait pas le droit de garder sa balle et le ton est monté rapidement. Quand d'un geste d'énervement la jeune femme à balancé un coup de pied envoyant du sable sur Regina encore allongée sur sa serviette. Celle-ci s'est relevé d'un coup, le visage nerveux et bouillonnant. Elle lui a mis deux gifles et sans attendre elle s'est jetée sur la fille, l’entraînant au sol. Les deux femmes se battaient furieusement au sol et ce fut un joli crêpage de chignons. On n'osait trop intervenir car Regina pestait de rage qu’on la laisse faire, disant qu'elle allait lui apprendre la politesse à cette petite peste. La jeune fille avait beau frétiller, elle n'était pas de taille face à la poigne et au gabarit de la dame. Elle s'est rapidement retrouvée immobilisée à plat ventre, le gros derrière potelé lui écrasant les reins.

 

Regina s'est ensuite saisie d'une des raquettes en plastique qui traînait à côté et lui a annoncé qu'elle allait lui donner une fessée devant tout le monde malgré son age. On étaient tous un peu surpris et gênés mais la fille nous étaient tellement antipathique qu'on a finalement rien dit, d'autres l'encourageaient ouvertement.

 

La peste jurait ses grand dieux qu'on le lui paierait mais Regina était décidée et inflexible. Elle se mit à lui claquer sèchement les fesses par dessus son petit maillot, à l'aide de la raquette en plastique. Le bruit sec et mat retentissait aux alentours et bientôt les gens s'approchaient tout autour pour voir ce qui se passait. Regina n'en avait cure et continuait à la fesser avec entrain. Les jambes de la jeunes fille gigotaient vivement, essayant désespérément de s'extirper. A force de se débattre elle finit par réussir à s'extraire, non sans que Regina n'agrippe son bas de maillot in extremis et ne parvienne à l'arracher. La peste s'est retrouvée d’un seul coup à la surpise générale, debout le cul à l’air. Les gens pointaient vers les marques rouges laissés par la fessée sur la croupe rosée. La jeune fille s'est mise à courir vers ses affaires comme une hystérique en hurlant. Récupérant son sac elle ne prit même pas la peine de reprendre ses raquettes et fila vers le parking sous les regards d'une foule de passants étonnés et amusés. Regina elle, secouait le maillot qu'elle avait arraché, comme un trophée. Regina disait en plaisantant à moitié que si jamais elle la recroisait, elle lui donnerai une fessée déculottée en public. Je me disait intérieurement que pourvu pour la jeune fille qu’elle ne se croisent pas en boîte de nuit ou au restaurant !

 
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 20:40

Date: Thu, 23 Sep 2004

Je n'ai jamais reçue de fessée petite, il a fallut attendre mes 20 ans pour recevoir la première et j'espère la dernière. Cela s'est passé aux examens de fin d'année dans l'école ou j'étais, avec une copine, comme nous avions rien appris, nous avons décidé de tricher en collant des notes sous notre table la veille en nous faufilant dans la salle.

 

Le matin de l'épreuve, nous arrivons ensemble à l'école, le surveillant nous a tout de suite attrapée et nous a conduit dans le bureau du directeur. Nous avions compris qu'on avait découvert nos notes et la panique nous envahit aussitôt. La directrice nous dit que c'est inadmissible et qu'elle allait nous dénoncer. Les conséquences étaient énormes et nos études foutues. Nous la supplions de ne pas le faire, mais elle était bien décidée. Au bout d'un moment, je commençais à pleurer voyant la situation et elle nous proposa un marché. J'étais prête à tout accepter, mais elle nous dit :

-          Je suis prête à ne rien dire, par contre vous serez punie sévèrement toute les deux. Vous recevrez chacune une bonne fessée comme des gamines.

Nous avons rien répondu, elle ajouta :

-          Vous avez le choix , mais vous servirez d'exemple pour les autres, la fessée aura lieu dans la salle d'examen devant tout le monde.

Nous étions stupéfaite, je ne voulais pas subir ça, mais Cécile dit que c'était d'accord et je répondit timidement comme elle.

La directrice nous expliqua que la punition aura lieu après les écrits, puis elle demanda qui avait décidé l'autre de tricher. Cécile avoua aussitôt que c'était elle, la directrice lui dit qu'elle en prenait note et que sa punition n'en sera que plus sévère.

Le moment de l'épreuve est arrivé, deux longues heures d'écrit, je n'arrivais pas à me concentrer, je pensais à la punition. Fin de l'examen, la directrice entre dans la salle mon coeur se met à battre très vite. Nous rendons nos copies, elle dit à tout le monde d'aller s'asseoir et expliqua nos mésaventures, tout le monde nous regardait. Enfin elle nous appela :

-Cécile et Caroline venez au devant de la salle.

Nous nous levons et traversons la salle, elle nous dit de nous dépêcher, la peur au ventre nous arrivons au près de lui.

-          Très bien, nous allons commencer par vous Cécile, comme vous être à l'origine du problème, vous allez vous mettre en culotte.

Tout le monde réagit de la même façon, Cécile lui dit qu'elle était folle et voulu partir, mais la directrice lui rappela le marché, elle était prête à déchirer sa copie.

Cécile se mit à pleurer, comprenant qu'elle devait se résoudre, elle se déshabillait, morte de honte, moi, je pensait égoïstement qu'elle allait m'épargner ça, car c'était Cécile qui m'avait décidé à tricher. Quand Cécile fut en sous-vêtements, elle se retourna vers moi et me dit d'enlever ma jupe.

Dans le malheur, j'était contente de n'enlever que ma jupe et je me décidais à le faire. En descendant la fermeture, je m'aperçut, que je portais comme cécile un grand slip en coton de petite fille, tant pis il fallais y aller, ma jupe tomba par terre. J'étais morte de honte, comme Cécile qui ne pouvait s'arrêter de pleurer comme une gamine. Puis la directrice pris une chaise pour s'asseoir dessus et dit à mon amie de venir s'allonger sur ses genoux. Cécile refusa et dit qu'elle préférait rester debout.

La directrice lui intima l'odre de se courber au dessus du dossier de la chaise. La fessée commença, tout le monde regardait, on lisait dans leurs yeux qu'ils prenaient tous du plaisir, surtout les garçons vu notre tenue. Le rythme s'accélérait, on entendait les plaintes de Cécile, ça commençait à lui faire mal, puis sans rien dire, la directrice descendit sa culotte d'un coup sec jusqu'à ses chevilles et lui conseilla de ne pas bouger. Elle du mettre ses mains en l'air pour bien dégager ses fesses et faciliter au maximum la fessée. Les coups faisaient rougir ses deux jolies fesses qui commencaient à ressembler à des tomates.


Cécile était en sanglot, la directrice arrêta et lui enleva son soutient-gorge, elle était toute nue dos au tableau, un bras devant ses seins, une main devant son sexe pour cacher son inimité. Elle baissa la tête pour ne pas croiser les regards sur elle.

Je compris que c'était mon tour, elle me dit que je ne serais pas mise toute nue, mais qu'il fallait quand même que j'enlève ma culotte pour la fessée. Je me suis retournée pour la faire glisser, puis j'ai pris la place de Cécile sans me mettre face à la salle. La fessée commença très fort au bout de quelques claques, j'avais très mal, je bougeais, je mettais mes mains pour me protéger, je m'efforçais de garder les jambes serrées, toute la classe en connaissait déjà assez de mon intimité.


Pour mieux nous humilier devant toute la classe, la directrice nous fit mettre pendant une bonne dizaine de minutes debout le dos tourné à la classe et les mains jointes sur les chevilles.

Ca vous fera faire de la gym dit-elle en riant. Ne vous relevez pas ou je serais dans l'obligation de recommencer la punition à son début.
Malgré la douleur sur nos fesses et l'humiliation d'exposer ainsi nos derrières, nous faisions en sorte de suuporter la douleur et la honte sans nous redresser, de peur de subir un nouveau chatiment.


 Je voulais ne pas pleurer, mais c'était trop dur et les larmes de douleur et de honte m'envahirent, je devais comme Cécile, avoir le visage trempé et les cheveux collés sur mes joues, mais tant pis, après s'être dénudée, ça ne pouvait pas être pire.

 

La fin de la punition arriva, un vrai soulagement, je me frottait un peu les fesses, la directrice me dit d'aller rejoindre mon amie, je mis aussi les mains devant moi. C'était le moment le plus difficile être exposée ainsi, c'est vraiment affreux, le sentiment de honte est indéfinissable, pour moi . Nous étions toutes les deux les mains sur la tête,la culotte sur les pieds et nos fesses rougies  exposées devant toute la classe devant la bibliothéque.

"Vous allez attendre que je finisse de trier les copies"
"restez bien droite et les mains sur la tête" dit-elle pour nous rappeler que tout manquement serait sanctionné.


Je pensais que pour Cécile s'était encore pire, Nous ne pensions qu'à nous rhabiller enfin. La directrice fit sortir tous les élèves, il restait que les profs, elle me tendis, ma jupe et ma culotte, je remis mes affaires en quatrième vitesse. Puis elle donna la permission à Cécile de se rhabiller aussi. Elle se découvrit entièrement pour prendre ses affaires, tout le monde la regardait. Le cauchemar était terminé, après un dernier sermon, nous avons pu partir.

Voilà le plus mauvais souvenir d'école, mais avons eu notre examen, c'est l'essentiel.

 
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