Concours

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:45

L'IMPUISSANCE ULTIME

Il y a plusieurs années je m'étais inscrite pour suivre un cours de cinq semaines en Virginie du sud. Puisque cette affaire devait être aussi longue, et que les chambres de motel arrivaient rapidement à me lasser, j'avais loué une petite kitchenette dans un vieux motel sur la vieille route n°1. En plus d'un plus grand confort et d'une plus grande taille, cela me fournit également plus d'intimité ; aucune de mes collègues de classe n'avaient voulu "clairement venir ici". La tranquillité est probablement la vraie raison qui me fit rester là. Cet appartement n'était pas fantastique mais il y avait un service de chambre chaque samedi matin, c'était propre et très privé.

Un samedi soir je décidai de prendre quelques photos de moi-même en bondage. L'appareil-photo et le flash étaient placés sur un trépied et le câble souple de 6m de l'obturateur à distance en forme de poire était connecté sur l'appareil et positionné sur le sol où je me trouvais. Mon équipement était entièrement de couleur blanche, un soutien-gorge 95D bien rempli ; une ceinture de taille autour de ma taille la réduisant à 66 centimètres, (la mienne avait été ainsi il y a longtemps) et une culotte d'un blanc pur accrochée confortablement d'une hanche à l'autre, 96 centimètres, au-dessus d'un porte-jarretelles blanc. Les bas étaient d'un noir profond avec juste une touche de vamp ajoutée par une paire de bottines noires avec des talons-hauts de 10 centimètres.

La position pour la première photo serait le "hog-tie", une de mes positions favorites. Commençant par les chevilles, mes jambes furent également fixées au-dessous et au-dessus de mes genoux et de mes cuisses. Pour rendre cela un peu plus restrictif, mes chevilles furent fixées au dos de mes cuisses avec deux tours de corde. Attaché de cette manière, les jambes étaient comme un grand paquet solidaire et ne pouvaient seulement qu'être déplacées autour de la taille.

Plusieurs tours de corde juste au-dessous du soutien-gorge et quelques autres supplémentaires autour de ma taille furent serrés de sorte que mes bras pouvaient juste être passés dans les boucles, mais avant de faire cela un bâillon-boule (blanc naturellement) étira ma mâchoire et fut étroitement noué derrière mon cou.

La touche finale était de fixer les poignets. Une extrémité d'une courte corde en nylon tressée fut attachée à la corde qui entourait mes chevilles et l'autre extrémité était transformée en deux boucles concentriques avec un nœud glissant. Quand les deux poignets furent passés dans les deux boucles et tirés contre les chevilles, cela sembla très sécurisé. Parce que le nylon donnait un peu de jeu, je pouvais habituellement travailler pour libérer mes mains avec un peu d'effort quand je voulais sortir de mon bondage.

Comme sauvegarde j'utilisais habituellement un couteau que je pouvais atteindre ; cependant, quand les choses se font sans problème pendant si longtemps, une personne tend à devenir négligente : cette fois donc, aucun couteau !

Après avoir pris quelques images, je décidai de me libérer en glissant mes mains hors des doubles boucles. Cela ne me prit pas longtemps pour me rendre compte que j'étais coincée. Les deux boucles de la corde étaient entre la bosse de mes poignets et mes mains. N'ayant jamais utilisé de corde tressée pour mes poignets avant cela, je ne m'étais pas rendu compte que cette corde ne glissait pas et n'était pas extensible comme le nylon torsadé. Avec toute la lutte afin de me mettre en position pour les photos, la corde des chevilles avait tiré sur la boucle du nœud coulant qui était devenue très serrée.

Avec les cordes maintenant mes bras serrés contre mon dos, il n'y avait aucun moyen de me libérer. Je commençai à me tordre, à lutter et à m'agiter, mais aucune des cordes ne se desserra, même un peu.

Après ce qui me sembla comme une éternité mais qui n'était seulement que quelques minutes, j'étais trempée de sueur et toujours attachée très étroitement. Le seul mouvement que je pouvais faire était de me plier à la taille et de rouler un peu. Lentement, je commençai à réaliser ma situation : portant un bâillon efficace et très serré à travers lequel je pouvais seulement gémir il m'était impossible d'appeler à l'aide, la femme de ménage ne serait pas ici avant au moins une semaine, et mes collègues de classe ne savaient même pas où je me trouvais.

La panique et la crainte remplissaient mon esprit par flots entiers et la lutte était inutile. Les cordes semblaient devenir de plus en plus serrées et le plancher de plus en plus dur, tout commençait à me faire mal. Je frottai le bâillon-boule contre le sol essayant de l'expulser de ma bouche, mais cela ne m'aida pas ; ma mâchoire me fit simplement un peu plus mal.

Les couteaux de la cuisine demandaient un long et lointain chemin, avec la traversée d'une porte, et étaient situés dans un tiroir en hauteur. Il n'y avait aucune possibilité de les récupérer. J'envisageai de faire tomber la télévision, espérant que la chute casserait le tube et que je pourrais ensuite utiliser les bouts de verre pour couper mes liens et me libérer. C'était la seule chance de sortir de ce qui me semblait être des cordes toujours de plus en plus serrées, mais la télé était allumée et j'eus peur d'être électrocutée.

Alors je me rappelai que dans la poche de mon jeans il y avait un petit canif que j'avais trouvé cet après-midi. Le jeans se trouvait sur une chaise à environ 3 mètres de distance. Avec les cordes retenant mes chevilles sur mes cuisses, les cordes supplémentaires maintenant mes bras serrés contre mon dos et mes poignets solidement fixés à mes chevilles, 3 mètres étaient un très très très long chemin.

Mais maintenant avec un certain espoir et un but, la panique commença à diminuer. Enfin me tortillant comme un ver jusqu'à l'arrière de la chaise, je tirai les pattes du pantalon vers le sol. Je commençai à fouiller dans les poches, mais avec mes doigts commençant à avoir des fourmis et travaillant derrière mon dos, cela allait très lentement. Je ne trouvai aucun couteau, le couteau n'était pas là.

Après avoir fouillé les poches trois fois supplémentaires le sentiment d'impuissance et la panique recommencèrent de nouveau à m'envahir. Le couteau n'était pas là !

Je commençai vraiment à réfléchir rapidement. Qu'est-ce qui était sur le sol pour proche du sol et que je pouvais attraper pour couper mes liens et me libérer ? L'idée de faire tomber la télévision m'effrayait toujours parce qu'elle était allumée et que je ne pouvais pas être sûre qu'elle n'atterrisse pas sur moi, et si c'était le cas, elle ne se casserait pas, ou si elle se cassait je serais électrocutée. Mon seul espoir était d'arriver au tiroir de la cuisine, mais pour faire cela quelques cordes devaient être enlevées.

Après ce qui me sembla comme le meilleur effort que je pouvais rassembler, j'arrivai à faire glisser la corde qui entourait et maintenait mes chevilles et mes cuisses serrées ensemble, en l'accrochant sur le coin de l'armature du lit. En roulant et en m'agitant tout en serrant mes chevilles aussi serrées que possible contre mes cuisses, je glissais finalement cette corde au-dessus de mes genoux. Ce n'était pas beaucoup, mais ce petit morceau de liberté était merveilleux.

Avec ce mouvement additionnel disponible, ma tête contre le côté du lit et en luttant beaucoup, je fus capable de me mettre à genou. Dans cette position je pouvais trottiner sur les 10 mètres vers la cuisine, pousser la porte en position ouverte pendant que j'avançai, accrocher la lanière du bâillon-boule à la poignée du tiroir aux couteaux et tirer ce tiroir pour qu'il tombe avec son contenu sur le plancher. Les 10 mètres ressemblaient au dernier tiers du Marathon du New-York mais c'était mon seul espoir de me libérer.

Il fallait que j'agisse vite parce que je n'avais plus de sensation dans ma main gauche. Avant de débuter mon long voyage je jetai un dernier regard derrière moi au pantalon sur le sol. Il était là : LE CANIF, posé sur le plancher à côté de mon jeans. Il avait dû tomber hors de la poche lorsque j'avais tiré le pantalon vers le sol, mais comme je m'étais tortillée en arrière jusqu'aux poches, le canif était hors de ma vue.

Cela doit avoir été très difficile de l'ouvrir sans aucune sensation dans une de mes mains, mais je ne m'en souviens pas et quelques courtes minutes après j'étais LIBRE, endolorie, épuisée, et très soulagée.

Depuis ce temps je fais beaucoup plus attention lorsque je me mets en position de self-bondage, mais je dois admettre que cela fut une expérience très passionnante. Une fois que ce fut terminé, je réalisai que j'avais expérimenté le degré ultime dans l'impuissance : être attachée sans aucune possibilité de me libérer.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:44

C'était la rentrée à la fac, le premier mardi d'octobre à 8h00 du matin. Maryse dispensait alors son premier cours de l'année devant l'amphithéâtre bondé. Une femme magnifique de 35ans, blonde aux longs cheveux, avec des yeux verts aussi brillants que des émeraudes. Elle était professeur de droit civil, et enseignait cette matière aux élèves de première année.

Sa réputation n'était plus à faire: excellente dans son domaine, elle n'avait aucune autorité, et son cours devenait trop vite "le cirque"! L'administration lui avait donné une dernière chance de "tenir" son cours. Si à la fin de l'année, l'amphi n'était pas plus calme, ce serait la porte et le chômage.

Maryse avait longtemps réfléchi au sujet. Déprimée au début de la mise en garde, elle se ressaisit et décida d'employer les grands moyens...

Dans la vague d'étudiants qui déferlait dans l'amphithéâtre, on pouvait remarquer Stéphanie, une belle jeune fille de 18ans, toute pimpante, une brune aux cheveux mi-longs, et aux yeux d'un bleu presque trop profond. Elle était vêtue d'un jean bleu clair très serré aux bas évasés, d'un chemisier froufroutant blanc, d'une veste cintrée noire, et de très jolies bottes noires avec des talons hauts de 10cm. Elle riait beaucoup avec ses amies, jusqu'à ce qu'elles soient assises sur les bancs.

La jeune professeur se tenait debout à coté de son bureau, au centre de l'estrade. Elle portait un petit tailleur gris clair, veste cintrée et minijupe moulante, une sorte de body noir sous la veste, des bas noirs gainant ses magnifiques jambes, et des escarpins à brides aux talons aiguilles vertigineux, au moins 12cm.

Elle souriait en regardant s'installer les élèves. Le cours commença, puis 5minutes après, commencèrent les chuchotements.
"Mademoiselle!!?? Oui vous là-bas! Quel est votre nom?" - "heu... Stéphanie... Stéphanie Martin...". La jeune étudiante en devint tout rouge... Ceci eût pour effet de calmer les étudiants pour un moment.

Mais voilà, les formes et la tenue sexy de la prof, son manque d'autorité connu, ont réactivé bien vite l'excitation et les bavardages de l'amphi. "Stéphanie Martin!!! Ca suffit maintenant!! Deux fois!" Stéphanie était vexée de s'être fait une nouvelle fois reprendre. Elle ne chahutait pas plus que les autres.

A la troisième interruption du cours Maryse s'adressa une nouvelle fois à Stéphanie. Elle devait lui en vouloir... "Descendez me voir, et laissez votre veste là-haut! Dépêchez-vous!!!". Stéphanie obéit et bien mal assurée, assez inquiète et humiliée, descendit l'escalier pour retrouver sa prof sur l'estrade.

Maryse prit la parole en direction de l'amphi: "Veuillez m'excuser pour cette interruption de 5 minutes, mais c'est la faute de votre camarade. Je m'occupe d'elle, et ensuite je reprends le cours!" dans un silence général, Maryse s'adressa à la pauvre Stéphanie. "Ainsi donc tu bavardes et perturbes le cours ? Je vais y remédier." Maryse ouvrit un tiroir de son bureau. Stéphanie voyant le contenu écarquilla les yeux.

"Mets tes mains dans le dos jeune fille!" Stéphanie, hésitante, humiliée, mais résignée, obtempéra lentement. Maryse sortit vite une corde du tiroir et attacha les poignets dans le dos de la jeune étudiante: paume contre paume, le plus serré qu'elle put. Ensuite, continuant le "rituel", sortant une corde du tiroir, elle fixa ensembles les coudes de l'élève par de nombreux tour de cordes.

Stéphanie était surprise et très humiliée. L'amphi ne bougeait pas. Pas un mot, pas un bruit, la surprise totale, l'effarement général. Maryse sortit alors un énorme bâillon-boule rouge harnais. Elle le boucla de toutes ses forces autour de la tête de la jeune fille, enfonçant bien la boule dans la bouche. Stéphanie, ne tarda pas à saliver. Maryse continua son ligotage comme une pro.

Elle sortait une à une les cordes du tiroir pour s'en servir cruellement pour le corps de Stéphanie. Une passa très très serré autour de la taille et fut attachée au lien des poignets. Ceci plaqua les mains de l'étudiante sur les reins, et étranglait sa taille. Comme cette corde était très longue, deux bouts pendaient des poignets. Maryse entreprit de les passer entre les jambes de la punie, puis de les remonter sur le ventre, les passant sous la corde de la taille. Et puis le chemin inverse, repassage entre les jambes, pour revenir vers les poignets...

Maryse tira très fort ces bouts pour qu'ils reviennent pouvoir se fixer aux poignets... Un crotchrope à 4 cordes sur le jean de l'étudiante qui gémissait sous le bâillon. Maryse fit mettre sa victime à genoux, en l'aidant bien sur, puis la fit s'allonger sur le ventre. L'élève se sentait de plus en plus humiliée. Maryse s'accroupit près d'elle, et on put apercevoir la jarretière de ses bas...

Elle avait deux cordes de même longueur dans les mains. Elle enroula la cuisse gauche de la punie, par deux tours de cordes bien serrés. Elle fit un nœud sur l'arrière, laissant encore deux longs brins dépasser... Elle replia la jambe gauche de Stéphanie, et les brins restant lui permit d'attacher la cheville tout contre l'arrière de la cuisse, le talon de la botte "enfoncé" dans la fesse...Comme elle procéda de la même façon avec l'autre jambe, la cruelle prof de droit venait d'installer son élève dans un frogtie des plus sévère.

Cette dernière se débattait à coté du bureau, tandis que Maryse prit enfin une dernière corde. Elle la passa sous le crotchrope en haut des fesses (au plus près des poignets). Un bout dans sa main gauche, elle fit passer l'autre bout dans l'anneau de métal situé au sommet du harnais bâillon-boule, au sommet de la tête de la jeune fille...

Elle tira les deux cotés très sévèrement, afin que les deux bouts se rejoignent au niveau du lien des coudes. Une fois ces bouts fixés, on put comprendre que cela avait pour effet de tirer la tête de Stéphanie vers l'arrière, et on se doutait que cela exerçait aussi une forte pression sur son entrejambe...

Maryse se releva et sourit en contemplant son œuvre. Fière et sure de son effet elle toisa les visages incrédules de l'assemblée: "Voilà, quand on perturbe mon cours maintenant, on s'expose à une punition..." Puis elle reprit son cours dans un silence de cathédrale... Pas tout à fait total car on percevait les "mmpppfff" et autres gémissements étouffés par le bâillon. Point de lutte contre les liens... Trop serrés, trop bien faits, totalement indéfaisable, Stéphanie eut tôt fait de prendre le parti de la résignation.

La fille resta attachée toute la journée, même après que sa classe ait quitté le cours. Les autres années défilaient dans l'amphithéâtre, et Maryse expliquait la punition de Stéphanie. Et personne n'osait bavarder après...Le ligotage du matin servit d'exemple jusqu'à 18h.

Maryse n'eut plus de problèmes de chahut, et tout le monde la respecta... On reparla encore longtemps de cette entrée en matière, mais ni chez les élèves, ni chez l'administration, on a voulu l'ébruiter. Stéphanie quand à elle fut très humiliée. Elle était devenue la fille la plus connue du campus malgré elle. Mais par sa force de caractère elle digéra l'affaire, après un temps ou elle ne pouvait croiser les regards des camarades.

A l'université, on s'est souvent demandé pourquoi Stéphanie avait été "choisie" pour l'exemple, alors qu'elle ne chahutait pas plus, si ce n'est même moins, que les autres...

Bien c'est assez simple, c'est que Maryse, s'appelle Maryse Martin, et que Stéphanie est sa petite sœur !!! Et promis que la cadette n'était pas dans le jeu de l'ainée...
Comment je le sais ??? C'est que Stéphanie c'est moi!!!

 
Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:43
L'histoire d'Elsa



    Elsa était bien contente d'avoir choisi de venir passer quelques jours chez son amie. Jude et elle, s'étaient toujours bien entendues et se voyaient malheureusement de moins en moins souvent...Enfin là, il faisait beau, elles étaient en vacances toutes les deux, sans projets précis que de se reposer et de se donner du bon temps.
    Assise dans son fauteuil de jardin, Elsa se tournait  vers le jardin
    - tu as bien de la chance de pouvoir profiter d'une aussi belle maison !
    Jude, assise à coté d'elle se retourna lentement
    - j'ai surtout eu de la chance d'avoir un oncle qui me l'a laissée... Avec un bazar pas possible d'ailleurs! Tu verrais tout ce que j'ai mis au grenier!
    - à ce point la ?
    - oui, il était inventeur, il a travaillé sur plein de chose, même avec l'aéronautique, il a créé surtout des tas de trucs qui n'ont jamais servi a rien !
    Elsa se mit à sourire
    - c'est sympa les inventeurs, j'irai bien jeter un ?il sur ce bazar, comme tu dis, il a peu être créé des choses, il y a des années qui seraient bien utiles maintenant !
    Jude se mit à rire
    - utiles!! Il n'a jamais rien vendu pour ainsi dire! C?était plus un rêveur qu'autre chose.
    Elle se redressa.
    - tu veux aller jeter un coup d'?il? Remarque tu as raison, au grenier on sera au frais, il commence à faire trop chaud ici !
    Elsa se leva à son tour
    - c'est vrai ca devient étouffant, même en maillon de bain, on a trop chaud, allons y !
    Les deux jeunes femmes se levèrent en même temps de leur fauteuil de jardin, et entrèrent dans la maison, l'air frais les fit frissonner dans leur maillon de bain. Jude se dirigea vers le garage et entrepris de relever une échelle posée à terre.
    - aide moi, lança t elle à Elsa, on ne peut accéder au grenier que par la petite lucarne que tu vois la haut.
    Elsa vint en aide à son amie et, à elle deux, elles relevèrent l'échelle jusqu'à l'approcher de la lucarne.
    - c'est pas dangereux ? s'inquiéta Elsa, c'est haut quand même !
    -oh non!  la rassura Jude j'en ai fait des voyages la haut pour me débarrasser de ses vieilleries, enlève tes sandales quand même, tu pourrais glisser...
    Elsa défit ses sandales, les posa a coté de l'échelle et se mit à monter à la suite de Jude.
    Elle vit celle ci donner plusieurs coups dans la lucarne avant de parvenir à l'ouvrir, elle se glissa ensuite à l'intérieur du grenier et disparu dans le noir. Elsa arriva à son tour en haut de l'échelle et hésita à entrer
    - c'est tout noir fit elle
    - attends, répondit Jude j'allume
    En effet, quelques instants après, une petit ampoule s'alluma au plafond et Elsa se risqua a l'intérieur
    - fais attention à la barre que j'ai mis pour tenir la porte ,ca ne s'ouvre que de l'extérieur ; j'ai  failli me faire avoir une fois
    Elsa prit garde de ne pas toucher la barre de fer qui retenait la porte et s'avança avec précautions
    Le grenier était  plus grand qu'elle ne m'imaginait  mais bas de plafond il y faisait encore plus chaud qu'au dehors, le sol était jonché de carton d'emballage, de malles et de coffres; ce qui avait du être des étagères était défoncé par le poids des cartons.
    - ca a du être du travail de monter tout ca ici fit Elsa
    - tu peux le dire ! J?en ai fait des allers retours ! Approuva celle ci, regarde moi ca! fit elle en ouvrant un carton : des schémas, des plans... des trucs qui ne servent a rien ou pire, qui ont déjà été inventés !
    - un des pires ajouta t elle, ce fut celui ci avec des tas de trucs en ferraille.
    Pendant  que Jude s'efforçait de faire un peu de place pour accéder au fond du grenier, Elsa jeta un ?il dans le carton dont parlait son amie, elle souleva un rabat et vit un curieux tas de chaînes reliées les unes aux autres, intriguée, elle se pencha vers le carton.
    En plus des chaînes, elle aperçut deux paires de chaussures qui attirèrent son attention. L'une était une paire de chaussures homme, larges et  remontantes et l'autre une paire de chaussures à talons. Elle se pencha et en prit une en main.
    Les deux pieds étaient curieusement reliés entre eux par une courte chaîne à gros maillons et quand elle voulut prendre la paire elle s'aperçut que d'autres chaînes partaient encore des chaussures, elles avaient, en fait, une sorte de semelle de métal dont une partie remontait aux chevilles et ou étaient scellés les anneaux qui les reliaient entre elles.
    Elsa reposa les chaussures un peu déçue, malgré des talons démesurés, ces escarpins avaient belle allure.
    -c'est quoi ce truc la ? demanda t elle à Jude
    - aucune idée répondit celle ci, j'ai eu tellement de mal à le monter ici que j'ai été pressée que d'une chose: c'est de m'en débarrasser. Laisse donc tomber, on va redescendre !
    Elsa jeta à nouveau un ?il dans le carton et toujours aussi intriguée, repris les escarpins en main
    - tu crois que je pourrais les mettre? fit elle en les montrant à Jude
    Celle ci y jeta un coup d'?il rapide.
    - d'accord si ca t?amuse, mais vite fait il fait chaud ici
    -d'accord je me dépêche promis Elsa

Ayant eu l'approbation de son amie, Elsa tira les souliers vers elle. Au fur  et à mesure qu?elle les retirait du carton les chaînes sortaient à leur  tour. Elle réussit enfin à poser les deux escarpins par terre et les contempla un instant, plusieurs chaînes partaient d'une boucle qui faisait le tour de la cheville. Après avoir réussi  à poser les deux chaussures par terre, elle glissa ses pieds dedans. Déséquilibrée par la hauteur des talons, elle dut se retenir pour ne pas tomber.
    Malgré la curieuse semelle de métal, elle se trouva relativement à l'aise et voulut faire quelque pas mais ses pieds glissaient dedans, elle s'aperçut que la boucle retenant les chaînes se refermait autour de la cheville. Elle se pencha et attrapa la boucle pour la refermer autour du pied.
    - c'est dur à fermer, dis donc lança t elle à Jude
    - laisse donc ca , fit  celle ci, tu vas te faire mal
    Têtue , Elsa referma  finalement la boucle de la cheville à l'arrière de l'escarpin dans l'emplacement qui semblait être prévu à cet effet. Elle fit de même avec l'autre cheville et se redressa. Elle fit un pas en avant  et les chaînes se tendirent derrière elle, sortant peu à peu du carton.
    - Jude, tu veux m'aider s'il te plaît, fit elle
    Jude se retourna vers elle en ronchonnant
    -qu'avais tu besoin de toucher à ca, franchement ? répondit elle en s'approchant
    - aide moi avec ses chaînes, je ne sais pas a quoi ca sert, implora Elsa
    Jude se pencha vers le carton et le déchira sur la coté, laissant le tas de chaîne s'étaler par terre. Elle prit entre ses doigts une des chaînes qui partaient des chevilles et remonta jusqu'à une sorte de ceinture de métal. Elle l'approcha d'Elsa.
    - on dirait que ca se mets à la taille, fit elle
    -oui essaye voir comment ca tient.
    Jude passa la ceinture de métal autour de la taille de son amie ce qui lui permit de relever les chaînes qui tombaient sur ses chevilles.
    - il y a une sorte de plaque dans le creux des reins ou la chaîne doit rentrer, fit Jude dans le dos d'Elsa
    - oui, ca doit être comme celles des chevilles, regarde !
    - on la referme alors ?
    - oui oui, je voudrais bien comprend comment il fonctionne cet engin ! Il a du inventé un sacré truc, ton oncle !
    Jude haussa les épaules
    - encore un qui n'a jamais servi a tous les coups!
    Elle approcha les deux bouts de la ceinture, obligeant Elsa à se comprimer le ventre, au bout de plusieurs essais, elle entendit enfin un clic et relâcha la ceinture, celle ci tenait fermement à la taille. Elle suivit deux autres chaînes plus courtes qui aboutissaient à des bracelets métalliques.
    - on dirait que ca va aux poignets, fit Elsa
    - possible oui, admit Jude.
    Elsa lui tendit ses mains et Jude les rapprocha de la ceinture, elle referma les bracelets autour de ses poignets, ceux ci étaient pourvus du même système de fermeture que la taille et les chevilles et elle dut encore forcer pour les refermer. Elsa tira sur ses poignet emprisonnés et s'aperçut qu'elle ne pouvait presque plus les relever, les chaînes de la taille aux poignets ne faisait guère plus de 20 cm.
    - il y a encore quelque chose dans le dos qui pend, regarda Jude
    Elle attrapa la chaîne du dos, celle ci se prolongeait sur une vingtaine de centimètres avant de finir par deux morceaux de chaînes à angle droit, munis chacun de bracelets.
    - on dirait que ca va aux coudes, fit elle
    - ah... essayons alors et Elsa serra les coudes contre son corps. Jude les prit l'un après l'autre  et referma les bracelets sur chaque. Elsa se mit à gigoter :
    - ca fait cambrer les reins ca, dis donc, et  ca limite sacrements les mouvements !
    - oui et ce n?est pas fini ton affaire, il en traîne encore devant toi ...
    Elsa se pencha et vit le tas de chaîne pendant devant elle
    - j'ai l'impression qu'il n'y  qu'en mettant tout qu'on saura à quoi ca sert
    - j'en ai bien l'impression oui, admit Jude, de toute façon au point ou tu en es, autant t'harnacher correctement
    Elsa sourit et baissa la tète, regardant Jude ramasser d'autres chaînes devant elle.

Accroupie devant son amie, Jude prit délicatement la chaîne qui partait des poignets d'Elsa.
Elle était plus longue que celle de la ceinture et se terminait par un bracelet en métal. Jude la remonta prudemment et s'aperçût que le bracelet lui arrivait au niveau du cou
    - si tu veux mon avis c'est fait pour être passé au cou, ca !
    - j'en pas envie que ca m'étrangle quand même, s'inquiéta Elsa
    Jude approcha le bracelet du cou et en fit lentement le tour, serrant avec précaution
    - ca va comme ca? demanda t elle en rapprochant la boucle du bracelet de la fermeture
    - oui ca serre un peu, mais ca va, répondit Elsa, mais c'est lourd dis donc  !
    - ou ca lourd ? s'inquiéta Jude
    - au cou, déjà,   et puis c'est lourd tout ca ! Même aux poignets !
    - je crois qu'on a bientôt fini de toute façon, il ne reste plus grand chose qui traîne.
    En effet, il ne restait plus à pendre au cou de la jeune fille, qu'un curieux ensemble de chaînes scellées entre elles avec juste une barre de métal à un endroit. Jude le prit et le reprit dans tous les sens sans parvenir à les défaire
    - la je ne vois pas admit elle
    Elsa regarda l'ensemble à son tour
    - moi non plus, encore que ...Reprends les comme tu faisais a l'instant !
    Jude tenait l'ensemble de chaîne à l'opposé de la barre de métal
    - on dirait comme un casque tu ne trouves pas ?
    Jude déplaça sa main et la fit glisser de l'autre coté des chaînes
    - ah oui tu as raison , ca doit se mettre sur le visage, par contre pour la barre je ne vois pas
    - essayons , lui proposa Elsa
    Jude enfila les chaîne sur le crâne de son amie, la barre de métal vint se positionner presque naturellement devant les lèvres d'Elsa, celle ci ,ne sachant trop quoi faire, ouvrit la bouche et quand Jude resserra les chaînes dans la nuque, la barre de métal vint se coller contre ses dents.
    Jude resserra jusqu'à entendre le clic de fermeture de l'ensemble.
    - bon cette fois on a tout mit ! fit elle en se reculant.
    Elle s'éloigna légèrement vers le fond du grenier et regarda Elsa d'un air amusé:
    -ca te fait une drôle d'allure tout ca !
    Elsa réussit à sourire malgré la barre en travers de ses lèvres
    - j'ai l'air de quoi? commença t elle. Mais elle s'arrêta aussitôt, la barre la gênait énormément pour parler et un filet de bave s'écoula dessus
    Elle entreprit de se déplacer  et poussa un soupir. L'ensemble de chaîne était extraordinairement lourd, et ses pieds enchaînés entre eux ne lui permettaient pas de bouger de plus de quelque centimètre à chaque pas.
    - viens par ici! Jude lui fit signe de s'approcher
    Elsa tourna les talons avec difficulté, fit quelques pas vers son amie mais s'arrêta bientôt
    - mais on n'avance pas avec ca, réussit elle à dire maladroitement
    - c'est évident ma chère!
    Elsa fit encore quelques pas et s'arrêta :
    - j'ai rien compris à ce truc finalement, conclut elle, détache moi donc
    Jude se rapprocha
    - tu ne sais jamais ce que tu veux, toi ! la gronda t elle. Tu es incorrigible !
    Elsa sourit malicieusement en regardant son amie s'approcher.
    Jude vint se mettre dans le dos d'Elsa et commença à tirer sur le bracelet du cou sans résultat
    - aie, gémit Elsa, ca étrangle !
    - attends, j'essaye la taille alors !
    Elsa prit la ceinture de la taille à deux mains et tira sur la fermeture, à nouveau sans résultat
    -dis donc c'est bien fermé ces trucs la, je ne vois pas de système d'ouverture.
    Elsa baissa la tête vers ses poignets et chercha à son tour un moyen de les délivrer.
    - comment ca s'ouvre, enfin ! s'impatienta t elle
    - ah, ne t'énerve pas ! répondit  Jude c'est toi qui a voulu les mettre non ?
    Les deux jeunes filles s'acharnèrent un long moment sur les bracelets, sans résultat. Elsa commença à regarder son amie avec une lueur d'inquiétude dans le regard.
    - je vais voir si il n'y a pas une notice dans le carton, proposa Jude
    Elsa fit oui de la tète
    Jude se pencha vers le carton
    - ah oui tiens, il y a comme une lettre avec !
    Elle se releva avec une grosse enveloppe jaunie à la main, elle l'ouvrit délicatement et en sortit plusieurs feuilles de papier. Elle s'assit en face d'Elsa, qui commençait  à gigoter, se reposant d'un pied sur l'autre
    - que t'arrive t il ? demanda Jude
    - mal aux pieds murmura Elsa
    - ca, ca devait arriver! avec des talons pareils !
    Jude étala les papiers un à un autour d'elle. Ils ne fournissaient que le détail des chaînes et leur emplacement. Enfin, à  la dernière feuille, elle put lire à haute voix :
" cher confrère,
    Je te retourne ce modèle de chaînes de forçat car nous ne l'utiliserons pas, j'en suis désolé pour toi. Certes, ton idée était bonne: prévoir un ensemble de chaînes impossible à enlever, sans clé, dans un métal indestructible, comme condamnation c'est imparable! Mais justement, c'est le coté définitif de la chose qui n'a pas plu aux autorités.
    Un conseil cher ami: j'ai effectivement vérifié que ce métal est impossible à découper, et les serrures impossibles à ouvrir. Débarrasse toi de ca avant que quelqu'un ne le referme sur lui par inadvertance, sinon il serait condamné "
    Jude releva lentement les yeux vers son amie. Elles se regardèrent incrédules un long moment jusqu'à ce que qu'Elsa fonde en sanglots.
    - te voilà bien avancée maintenant ! la gronda Jude: enchaînée, dans un grenier dont tu ne peux même pas sortir ! Que vais-je faire de toi maintenant ?

Elsa se mit à sangloter de plus en plus fort, elle tira sur les chaînes de ses poignets, plusieurs fois, sans succès, tenta de recracher la barre de métal qui lui obstruait la bouche.
    Jude fronçait les sourcils en la regardant
    - ah tu es bien avancée maintenant, bravo ! c'était malin d'insister pour les passer, ces chaînes !
    Elsa se mit à pleurer de plus belle
    - oh et puis tu m'agaces, ajouta Judo en se levant, débrouille toi donc toute seule !
    Elle tourna le dos à Elsa et se dirigea vers la porte
    Affolée à l'idée de la voir s'en aller, Elsa la supplia:
    - je t'en prie, reste avec moi !
    Jude se retourna et lui lança un regard sombre
    - tu ne crois quand même pas que je vais rester dans ce grenier ! Tu n'as qu?à descendre avec moi!
    Joignant le geste à la parole elle se tourna vers l'échelle et la désigna à Elsa. Celle ci fit quelques pas maladroits qui lui permirent de se rendre compte tout de suite qu'elle ne pourrait pas descendre le long de l'échelle. Elle se remit à sangloter.
    - mais je ne pourrais pas descendre avec ca, murmura t elle en désignant ses talons hauts
    Jude la détailla longuement de la tête aux pieds, puis s'approcha d'elle. Sans un mot, elle se mit à tourner autour d?elle, soupesant ses chaînes. Elle resta un long moment dans son dos, Elsa tourna la tète de gauche et de droite sans croiser son regard
    - Je m'aperçois que je n ai pas assez serré la nuque, fit tout à coup Jude, c'est pour ca que tu peux encore parler, je vais arranger ca !
    - oh non non la supplia Elsa, non !
    Jude la contourna et revint s'asseoir lentement sur un coffre, face à elle.
    - voyons, réfléchissons, commença t elle, il est clair que tu es condamnée à porter ces chaînes en permanence, tout comme il est évident que tu ne pourras pas quitter ce grenier, n'est ce pas ? Tout ca par ta faute !
    Elsa baissa la tête, honteuse.
    - je fais quoi de toi moi maintenant ? reprit  Jude, je n'ai pas l'intention de m'encombrer de toi dans cet état...
    Elle fixa Elsa avec froideur
    -  tu préfères que je te confie a quelqu'un d'autre ?
    - oh non non ! fit Elsa aussitôt
    - bien bien, conclu Jude, d'un air rêveur
    Elle garda le regard rivé sur Elsa et celle ci n'osa relever la tête. Elle avisa les papiers, les schémas étalés à coté d'elle.
    - l'ami de ton oncle avait raison, il faut se débarrasser de tout ca.
    Elle prit les papiers un à un et les déchira consciencieusement, jusqu'à les réduire en poussière.
    - au moins maintenant plus personne ne risque de faire de bêtises avec, c'est ce pas ?
    Elle se releva s'approcha d'Elsa, posa deux doigts sur son menton et l'obligea à relever la tête
    -alors tu veux rester avec moi ?
    Elsa lui jeta un regard implorant
    - bien alors, c'est d'accord, mais ce sera à mes conditions !
    - oui merci Jude, fit Elsa
    Celle ci eut un petit sourire
    - déjà il faut finir de bien t'harnacher ! Joignant le geste à la parole, elle passa la main sur la nuque de son amie et resserra le harnais, la barre s'enfonça plus avant dans la bouche d'Elsa, celle ci voulut dire quelque chose mais la barre de métal l'empêchait désormais de parler
    - bien ensuite, il va falloir t'installer ici puisque tu ne peux pas descendre, je vais arranger ca... Et puis finalement tu me feras une petit distraction quand je n'ennuierai, je passerai te voir de temps en temps...
    Elle se dirigea vers l?échelle, descendit les premiers barreaux  et ajouta :
    - prépare toi à vivre souvent dans le noir! Mais si un jour tu en as assez, si tu veux descendre, surtout dis le moi, d'accord ?
    Elsa grommela quelque mots incompréhensibles
    - a bientôt, conclut Jude en refermant derrière elle
    Quelques instants plus tard, la lumière s'éteignit et Elsa se retrouva dans le noir.

 
Par Plume - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:41

Kidnapping- La Grange
(histoire envoyée par un internaute)


C'est arrivé un de ces jours d'été, je m'étais rendue dans la campagne pour visiter une vieille grange déserte que j'avais trouvée un jour lors d'une excursion. J'étais déjà venue là plusieurs fois avant et c'était le lieu idéal pour mes explorations de self-bondage, loin de la vue de la route qui passait derrière la forêt, car je ne voulais pas être dérangée pendant que je serais attachée agréablement et solidement. J'aimais m'attacher moi-même à l'extérieur pour sentir le vent sur mon corps, les grands espaces tout autour de moi pendant que j'étais dans mon propre petit espace de liens, cela était excitant ainsi que le danger qui en découle, il y avait plus de chance d'être découverte et je crois que c'était ce frisson que j'appréciais le plus.

Je commençai cette session en cachant ma voiture dans les bois et en revenant à pied pendant 600 mètres le long d'une vieille route boueuse vers la vieille grange déserte, c'était la seule construction à des kilomètres à la ronde et elle semblait faire partie d'une ancienne ferme, les propriétaires ayant disparu depuis longtemps. Pour débuter, je déchargeai mon sac d'équipement de bondage sur le sol pous­sié­reux de la grange et commençai à me préparer pour un après-midi de self-bondage.

Après m'être déshabillée, je plaçai tous mes vêtements dans le sac et le cachai dans un coin de la grange. Mainte­nant complètement nue, je marchai vers ma pile d'instruments étalés sur le sol. Prenant quelques cordes je commençai à attacher mes chevilles ensembles les entourant avec la corde plusieurs fois, la passant entre mes jambes et tirant sur la corde pour rendre tout ça très serré. Mmmm ! Ca semblait bon, je pouvais sentir mon corps tout entier commencer à réagir à la corde, une chaude et agréable sensation irriguait mes veines. Puis j'attachai mes cuisses ensembles, juste au-dessus des genoux, de la même façon, tirant sur la corde pour rendre les liens agréables et serrés.

Ensuite je plaçai solidement le bâillon dans ma bouche, c'était un nouveau bâillon que j'avais acheté récem­ment, le propriétaire du magasin m'avait fait une démonstration en me le passant, et cela m'avait envoyé des fourmillements sur la peau lorsqu'il me toucha quand il fixa les lanières, je fondis lorsqu'il le sécurisa sur ma tête, "S'il vous plaît faites de moi votre esclave" pensais-je alors que mon corps devenait chaud me tenant debout là dans le magasin avec le bâillon dans la bouche.

Faisant pénétrer la grosse boule dans ma bouche, je commençai à fixer les lanières en place derrière ma tête avec les lanières de harnais courant tout autour de ma tête et sous mon menton, cela était parfaite­ment serré et verrouillé en place avec un petit cadenas sur le derrière de ma tête. Comme je jetai la clef vers le côté opposé de la grange, je savais que je ne pourrai pas enlever le bâillon tant que je n'aurai pas retrouvé la clef. Récupérant le bandeau, je le plaçai autour de mon cou pendant que je préparai mes mains. Verrouillant étroitement un anneau de cuir autour de mon poignet gauche et un autre autour de mon poignet droit, tout ce qu'il me restait à faire maintenant était de placer un cadenas dans leurs crochets pour les réunir ensembles.

Les clefs de ces cadenas avaient été jetées à l'autre bout de la grange, ainsi une fois attachée fermement en "hog tie" je devrai ramper sur mon sexe nu à même le sol poussiéreux, autour des gravats et des vieux matériels de ferme qui étaient éparpillés sur le sol pour retrouver les clefs et délivrer mon corps attaché, les sensations délicieuses qui m'envahissaient à la pensée que quoi qu'il arrive la pression m'envahissait. Maintenant plaçant le bandeau autour de mes yeux, je verrouillai les lanières derrière ma tête avec un cadenas et attachai deux cadenas de chaque côté de ma tête à travers le harnais du bâillon permettant de fixer le bandeau au bâillon, ôtant toute possibilité de retirer le bandeau pendant mes luttes, et puis je jetai les clefs en l'air. Elles retombèrent les unes à côté des autres avec un tintement de métal contre métal. Je jugeai qu'elles étaient tombées sur une vieille machine et qu'elles seraient maintenant difficiles à trouver, spécialement aveuglée !

M'allongeant sur le sol, la poussière s'envola lorsque mon corps entra en contact avec le sol. Je plaçai mes mains derrière mon dos et fermai le crochet du cadenas qui maintenait les deux anneaux ensembles. M'étendant sur le dos, je mis mes jambes à la verticale puis les pliai afin que mes chevilles touchent mes poignets, puis je passai une petite chaîne entre les chevilles attachées et la tirai vers mes poignets. Verrouillant la chaîne contre mes anneaux de poignets avec le dernier petit cadenas j'étais maintenant fermement attachée en "hog tie" et la dernière clef fut jetée aussi loin que je pus la lancer alors que j'étais maintenant allongée attachée.

Maintenant complètement impuissante, je ne pouvais rien faire d'autre que de rester là attachée, et me réjouir de mon bondage, quelques heures pendant lesquelles je chercherai les clefs de tous les cadenas que j'avais jeté à travers la grange, le bandeau allait rendre la tache un peu plus difficile et plus excitante.

Je venais juste de prendre possession de mon self-bondage, mon corps était maintenant agréable et chaud, mon sexe devenait très chaud et les jus commençaient à sortir lorsqu'un bruit imprévu me glaça dans mon mouvement sur le sol. J'entendis la vieille porte de la grange grincer en s'ouvrant à cause de ses vieilles charnières rouillées. Qui était en train de pénétrer dans la grange et pourquoi ?

Qui que ce soit, la personne marcha dans la grange et alla rapidement vers les endroits où les clefs avaient atterri, prenant chacune d'elle puis revenant vers mon corps nu attaché allongé face contre le sol. Le type parla et me dit qu'il m'avait suivie ici, en fait il m'avait suivie autour du campus pendant les deux dernières semaines observant chacun de mes mouvements et le week-end dernier il m'avait observée en train de m'attacher dans cette grange puis de me tortiller pour récupérer les clefs de ma liberté. Il vit tout ce que je fis et compta mes orgasmes alors que je rampai étroitement attachée sur le sol, il décida alors de planifier ce week-end dans l'espoir que je revienne m'attacher de nouveau.

Maintenant il avait les clefs de ma liberté. J'étais fermement attachée, bâillonnée, aveuglée et incapable de me libérer sans les clefs qu'il détenait maintenant. Il souleva mon corps, plaça un sac sur ma tête et le tira sur le reste de mon corps. J'étais complètement enfermée dans le sac et soulevée sur ses épaules. Il me transporta hors de la grange dans la forêt, il marcha quelque distance dans les bois avant de me déposer parterre quand il eut rejoint son campement. Il me dit que nous étions à des kilomètres de nulle part, que personne ne pourrait entendre les bruits que je ferais, que nous ne serions pas dérangés et que je ne devais pas essayer de m'échapper parce que je ne pourrais que me perdre dans la forêt sans que personne ne me retrouve vivante.

Mon esprit se glaça lorsqu'il me raconta cela, était-ce un fantasme devenant réalité ou un cauchemar ? Il me laissa allongée et attachée là dans ce sac alors qu'il retourna à ma voiture et la conduisit plus loin dans la forêt, la cachant derrière des fourrés. Quand il revint, il me raconta ce qu'il venait de faire et me dit que je serai maintenant son esclave, utilisée pour son bon plaisir. Il me dit qu'il avait voulu mon corps la première fois qu'il avait posé ses yeux sur moi et qu'il m'avait espionnée dans l'espoir de pouvoir être plus proche de moi. Puis il détacha le haut du sac et me versa sur le sol. Il déver­rouil­la la chaîne qui reliait mes poignets et mes chevilles dans mon dos et m'aida à me relever. Il détacha ensuite la corde qui entourait mes cuisses, puis commença à détacher mes chevilles mais avant que je pus faire un mouvement il glissa des cordes à nœud coulant autour de chaque cheville et les tira très serrées, les autres bouts étaient attachés à des pieux qu'il avait plantés dans la terre.

Puis il me fit asseoir et m'enleva les anneaux de mes poignets, me renversa brutalement vers l'arrière sur le sol et maintint mes bras au-dessus de ma tête où il avait placé deux cordes à nœud coulant supplé­men­taire pour bloquer mes bras contre les pieux au-delà de ma tête, maintenant attachée en croix sur le sol, il commença à tendre les cordes étirant mon corps nu, portant toujours le bâillon et le bandeau qui étaient verrouillés autour de ma tête. Totalement exposée à son regard et incapable de me libérer, j'étais allongée là alors qu'il commença à faire courir ses mains sur mes formes disponibles, incapable de bouger lorsque ses mains continuaient à explorer toutes les parties de mon corps nu, ouverte à ses attouchements, il avait accès à mon être tout entier.

Sa bouche commença alors à encercler mes tétons alors qu'il était en train de les sucer les faisant venir en érection. Son souffle et la pression de ses lèvres sur mes tétons déclencha mon excitation sexuelle. Je ne pouvais pas résister à quelqu'un me suçant les seins, l'intensité des impressions obligeait mon corps à réagir et commençait à me trahir alors que mon sexe devenait moite. Sa langue donnait des pichenettes sur mon téton et courrait autour des parties les plus sensibles de mon sein. L'électricité qui envahissait mon corps était allumée par le contact de sa bouche contre mon téton, émettant de délicieuses ondes de choc à travers tout mon corps.

Il commença à tester mon sexe avec ses doigts et trouva qu'il devenait humide de ses touches, il inséra son doigt dans mon trou, j'entendis sa respiration devenir plus forte lorsqu'il devint plus excité en obligeant mon corps à réagir encore plus aux touches de sa langue et de ses doigts. Ma respiration devint plus rapide alors qu'il continua à explorer mon corps attaché, ensuite sa bouche commença à bouger vers mon estomac et travailla dans ce chemin vers ma chatte. Il sembla hésiter et je sentis son souffle chaud contre mon sexe, déjà il abaissa sa tête et ses lèvres chaudes entrèrent en contact avec les miennes. Il commença à balader sa langue sur et sous mes lèvres externes. Bougeant sa langue dans la niche intime de mon trou mouillé, cela commença à me procurer encore plus de chocs électriques sur ma peau. Les ondes de plaisir commençaient à déferler à travers mon corps.

J'étais perdue dans ce moment, mon esprit ne sachant pas s'il fallait rejeter ces avances ou continuer avec les sensations merveilleuses que sa langue me procurait. Sa langue ferme commençait à travailler réellement mon petit morceau, l'entourant puis lui envoyant des pichenettes de haut en bas m'amenant au bord de l'orgasme. Je ne pouvais croire ce qui m'arrivait, ici je gisais maintenue captive par cet homme, kidnappée, quel destin inconnu m'attendait, et mon corps réagissait comme si cela n'était pas arrivé, comme si cela était normal mon corps s'amusait à chaque minute des touches de cette langue. Maintenant il grimpa sur moi et je sentis son membre en érection frôler mes jambes, puis appuyer sur les lèvres de ma chatte, frayant son chemin dans mon tunnel moite, s'enfonçant profondément en moi, il commença à avancer et reculer, poussant en moi son pénis, le bougeant dans une lente onde rythmique, prenant son temps avec mon corps. En fin de compte il vint en moi, après m'avoir donné un autre orgasme plein, il déversa son sperme en moi, son pénis palpitant contre mes murs comme il pouvait, il resta allongé sur moi pendant un certain temps, retrouvant ses esprits, puis me laissa là attachée en croix sur le sol.

Plus tard il revint sur mon corps attaché et m'utilisa de nouveau mais cette fois il monta seulement sur mon corps et pris son plaisir sans remplir le mien. Après quoi, il détacha mes jambes et y mit une corde d'entrave, un morceau de corde attaché à chaque cheville avec un morceau détendu me permettant de faire des petits pas mais pas de courir. Ensuite il détacha mes bras mais les rattacha devant moi reliant mes poignets ensembles et entourant ma taille avec le reste de la corde, derrière mon dos il fixa solidement l'ensemble avec un couple de nœuds. Puis il me conduisit sous sa tente, enlevant mon bâillon une fois à l'intérieur, il me nourrit et me fit boire de l'eau, me disant qu'il me laisserait sans mon bâillon si je promettais de ne pas hurler. Etant donné que ma bouche commençait à être très douloureuse, je promis et pensai que si je pouvais parler avec lui j'aurai une meilleure chance d'être libérée sans mal s'il apprenait à me connaître. Mais il ne parla plus après cela, restant seulement assis là, contemplant mon corps et occasionnellement étendant mes mains pour me toucher, me faisant sursauter lors de ce contact inattendu.

Il commença à faire froid et je devinai que la nuit tombait, derrière le bandeau tout était complètement noir mais j'avais commencé à entendre les animaux de la nuit lançant leurs appels dans la forêt. Peu de temps plus tard il me dit qu'il était l'heure de dormir. Il m'aida à me relever et m'amena dans les bois pour me soulager. Puis nous revinrent au campement où il m'assit et plaça mes pieds dans un sac de couchage. Il saisit ensuite mon corps et me maintint debout, il continua de glisser dans le sac de couchage sur mon corps nu m'enfermant dans le sac. Il dit qu'il avait apporté ce sac spécialement pour moi à cause de la ficelle autour de l'ouverture qui était maintenant serrée autour de mon cou, me bloquant dans le sac. Momifiée dans le sac de couchage, je commençai à me sentir en sécurité, vu qu'il ne pouvait plus voir mon corps nu et toucher ma peau.

Il commença à appliquer des cordes autour du sac, le rendant plus serré qu'avant, maintenant incapable de bouger ni de m'échapper, j'étais attachée pour la nuit. Il m'aida à m'allonger sur le tapis de sol, attachant encore une corde autour de mes chevilles, l'autre bout étant relié au poteau de la tente pour éviter que je puisse me tortiller jusque dehors pendant la nuit. Je tombai très vite dans un sommeil profond avant qu'il put faire quoi que ce soit avec moi. Je restai là sans bouger tout au long de la nuit, même quand je me réveillai pendant la nuit, car je ne voulais pas qu'un mouvement de ma part le réveille, ne sachant pas ce qu'il aurait bien pu encore me faire.

Le lendemain matin il ouvrit ses yeux et me regarda allongée là toujours ligotée dans le sac de couchage, il se leva du lit et m'attrapa par le sac de couchage et m'emporta dehors pour me poser debout pendant qu'il détachait les cordes. Après m'avoir dégagée du sac de couchage, il me porta sur ses épaules vers les arbres. Il marcha sur une courte distance mais je pouvais entendre la rivière approcher, il me hissa plus haut et me lança dans l'eau toujours ligotée par mes poignets fermement maintenus contre ma taille et mes jambes dans l'entrave de corde. L'eau était froide et je paniquai lorsqu'elle recouvrit ma tête, mais il sauta rapidement dans l'eau derrière moi et tira ma tête hors de l'eau. Il commença à frotter tout mon corps avec ses mains, me nettoyant tout le corps en étant sur que j'étais propre partout.

Il me sortit de l'eau dès qu'il fut sur que j'étais propre, disant que j'avais maintenant besoin d'être suspendue pour sécher. Il détacha la corde qui reliait mes poignets à mon corps en défaisant les nœuds derrière mon dos, puis il attacha une autre corde à mes poignets ligotés et les hissa vers le haut sur ma tête, mes jambes quittèrent le sol alors qu'il continuait à tirer sur la corde et il me laissa pendue par les poignets dans les arbres à deux mètres au-dessus du sol pendant qu'il s'assit là pour me regarder me balancer dans la brise. Mes poignets commencèrent à souffrir de la douleur causée par les cordes mordant ma peau à cause de la suspension. Je tentai d'éviter autant que possible de bouger pour diminuer le stress sur mes poignets, mais mon corps était toujours balancé par la brise. Après environ une trentaine de minutes il me descendit sur le sol, mes poignets étaient sensibles et endoloris d'avoir supporté mon poids sur la corde. Puis il me poussa par terre sur le sol, me mit à plat ventre dans la poussière et tira la corde de mes poignets (celle qui avait permit de me suspendre dans les arbres) vers mes chevilles ligotées par l'entrave entre mes jambes, m'obligeant à relever mes fesses en l'air, mon sexe étant alors exposé à son regard et lui étant complètement disponible.

Attachée étroitement dans cette position, je ne pouvais pas bouger lorsqu'il entra dans mon intimité par derrière, poussant son membre durcit très profondément en moi, plus profond que personne avant, me coupant la respiration quand il plongea encore plus profondément dans mon trou, les sensations douloureuses me firent sangloter alors qu'il continuait son exploration de mon intimité jusqu'à ce qu'il se retire par la suite, grognant de plaisir. Ensuite il se releva et défit la corde qui maintenait mes poignets contre mes chevilles et me ramena à sa tente, où il me fit déjeuner et me permit de nouveau de me soulager toujours sous son regard vigilant.

Lorsque j'eus fini, il me conduisit vers un hamac fait avec un filet qu'il avait tendu entre deux arbres et me posa dedans. Me poussant contre la corde rugueuse du filet, il commença à coudre une corde à travers les deux bords du hamac fermant le filet autour de mon corps, me maintenant étroitement dans son étreinte. Il ferma complètement le hamac autour de mon corps et tira plus étroitement la corde qui tenait les côtés ensembles accentuant la pression sur ma chair, ma peau se gonfla à toutes les petites ouvertures du filet. Il me laissa fermement ligotée dans le hamac, balançant légèrement pendant qu'il quitta le camp pour aller pécher. Je restai là me demandant ce qui arriverait ensuite, ce qu'il pourrait bien me faire ? Et si je pouvais être relâchée un jour ?

Je m'étais assoupie allongée et ficelée là comme un saucisson dans le hamac qui me berçait doucement vers le sommeil, ligotée agréablement et étroitement dans son étreinte. Plus tard dans l'après-midi il revint et me libéra. Il m'assit devant le feu pendant qu'il faisait cuire le poisson qu'il avait attrapé. Il couvrit doucement mon corps dénudé avec une couverture pour le protéger du froid et, pour la première fois, libéra mes poignets de leurs liens. Il était en train de montrer quelques signes de compassion envers moi, là où auparavant il avait juste utilisé mon corps, maintenant il commençait à prendre soin de moi.

Alors que nous étions assis là en train de manger, il me parla de la manière dont il m'avait aperçue au collège mais qu'il n'avait pas pu m'approcher à cause de sa timidité et de ma beauté. Il avait pensé que je ne voudrais pas sortir avec lui, <the prize geek>. Je lui répondis que tout ce qu'il avait à faire était de me demander et que j'aurai probablement fait ce qu'il voulait. Mais maintenant il dit qu'il avait tout gâché en me retenant captive pour le week-end. Je lui répondis que non puisque, comme il avait pu le constater dans la grange, j'aimai les jeux de bondage et que si ce jeu-ci pouvait se terminer sur une fin agréable avec ma liberté retrouvée, il n'y aurait pas de raison de dire que ses chances étaient gâchées, mais il aurait une meilleure chance si je ne connaissais pas son visage. Il convint que je devais garder mon bandeau et dit qu'il voulait maintenant me ramener dans la grange.

Me rattachant de la même façon que lorsqu'il m'avait trouvée dans la grange, verrouillant mes membres avec les mêmes cadenas, j'étais de nouveau fermement ligotée en "hog tie" avec le bâillon et le bandeau en place. Il me remit dans le sac, me porta vers la grange et me posa là, toujours dans le sac. Il me dit qu'il allait récupérer ma voiture avant de me permettre de me libérer. Je restai donc là me tortillant dans le sac, me réjouissant de ce confinement clos et pensant que je devrai inclure un sac dans mes prochaines sessions de bondage. J'entendis la voiture s'arrêter dehors, puis ses pas alors qu'il revenait dans la grange. Puis il me libéra du sac et lança les clefs de l'autre côté de la grange, m'expliquant qu'avant que je ne réussisse à me libérer, il serait déjà très loin, de retour au campus.

Je restai là allongée dans mes liens jusqu'à ce qu'il parte puis commençai à tortiller mon corps étroitement ligoté sur le sol poussiéreux pour ramper vers le lieu où je pensai que les clefs avaient atterri. Cela me prit un long moment pour atteindre l'endroit mais les clefs n'étaient pas là. Après encore environ une trentaine de minutes de reptation dans la poussière je trouvai les clefs et commençai à retirer mon bondage : en premier mes poignets, puis le bâillon suivi du bandeau. Je restai là sans bouger le temps que mes yeux s'accommodent à la faible lumière du soir. C'était la première fois que je pouvais voir de tout le week-end. Détachant mes chevilles j'étais maintenant libre de mes liens et précautionneusement me mis debout pour chercher mes vêtements. Je les trouvai dans le coin de la grange où je les avais placés plus tôt. Rapidement revêtue, je me précipitai dehors dans l'atmosphère fraîche de la nuit.

J'ouvris la porte de ma voiture et trouvai mon petit ami assis sur le siège du passager. Il me parla avec la même voix que mon kidnappeur. Il avait réussi à déguiser sa voix pendant tout le week-end et il était la seule personne qui avait abusé de moi pendant que j'étais ligotée et bâillonnée. Il me dit qu'il espérait que j'avais apprécié le week-end autant que lui. Je lui donnai une grande claque, mais lui répondis que je voulais revenir le week-end prochain pour m'attacher dans la grange comme ce week-end..

Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 16:40

Estelle et Isabelle, 19 et 20 ans, étudiantes à la fac, se retrouvent seules dans leur dortoir un vendredi soir. Elles sont très copines et pratiquent le bondage.

Estelle voudrait pimenter leur petit jeu en jouant à la Demoiselle En Détresse, chacune à leur tour, elles seraient attachée et bâillonnée et devront parcourir le couloir de l'étage dans son intégralité, le petit frisson étant d'être ainsi surprise attachée.

Les deux filles sont dans leur chambre et mettent au point un scénario à respecter.

Estelle se porte volontaire en premier pour se faire attacher par Isabelle.

Isabelle lui demande d'enlever son pantalon pour ne conserver que le tee shirt rouge qui lui moule de corps. Estelle se retrouve en slip et cela semble l'exciter énormément.
"Il vaut mieux que tu sois "jambes nues" pour cette épreuve" dit-elle.

Isabelle prend un grand rouleau de scotch gris et commence par attachers les poignets d'Estelle dans son dos.

Elle la fait mettre à genoux afin de pouvoir finir plus facilement son bondage.
Elle passe le scotch autour de ses chevilles et fait plusieurs tours pour bien les fixer ensemble.

Estelle proteste et lui dit qu'elle n'arrivera pas à bouger si elle est attachée ainsi.

"Ce n'était pas ce qui était prévu" dit-elle
"Tu es trop bavarde , je vais te clouer le bec" lui répond séchement Isabelle.

Elle découpe plusieurs morceaux d'adhésif et les plaques sur la bouche d'Estelle qui ne peut l'empécher de la bailloner. L'adhésif lui ferme la bouche et elle a beau essayer de crier, aucun son ne sort.


Maintenant tu vas devoir te relever, et me rejoindre de l'autre coté du couloir. Je t'attends dans la salle des douches. Lorsque tu sera arrivée, je te délivrerais.

Estelle n'a d'autre solution que de se mettre à ramper à genoux car elle n'arrive pas à se redresser. Elle sort de la chambre et commence à avancer dans le couloir à trés petite vitesse.

Ses genoux commencent à lui faire mal lorsqu'elle se retrouve à peine à mi-distance de la salle des douches. Elle essaye d'appeler Isabelle pour qu'elle vienne abréger ses souffrances, mais ses ridicules petits sons qui sortent de sa bouche ne peuvent être entendus.

Elle devra ramper jusqu'au bout du couloir. Au bout d'une bonne quinzaine de minutes elle arrive devant la salle des douches et constate avec horreur qu'Isabelle n'est pas là.

Elle a écrit sur un petit morceau de papier:

"Je suis allé chercher du papier wc chez le concierge car il n'y en a plus au toilettes. Je reviens bientôt"


Estelle et folle de rage, elle doit attendre le bon vouloir d'Isabelle et elle est contrainte d'attendre dans le couloir au risque que qu'une personne la découvre attachée à moitié nue.

Au bout d'un gros quart d'heure, Isabelle arrive en souriant et dettache Estelle qui furieuse lui dit que c'est maintenant à son tour d'être attachée.


Elles sont toutes les deux dans la salle de douches.
Isabelle est en jean, pieds nus, et pull léger. Estelle lui intime l'orde de se mettre immédiatement en slip et d'enlever son soutien gorge.

"Isabelle, je veux te voir les seins à l'air et tout de suite, ça t'apprendra à me faire attendre".

"On retourne dans la chambre" ordonne maintenant Estelle.

Une fois dans la chambre, elle fait allonger sur son lit Isabelle et prend un rouleau de scotch et des petites cordes blanches qu'elle devait avoir préparé, et lui attache les poignets dans le dos, elle fit d'innombrables tours à ses poignets.

"Tu as bien dix dix tours de cordes autour des poignets et des chevilles" plaisante t elle. Elle attache les coudes joints, de la même façon.

Isabelle est inquiète, "il n'y a vraiment personne, tu es sure ?" dit elle en essayant de tirer vainement sur ses liens. "Ce serait trop gênant d'être prise en flagrant délit maintenant, alors que le jeu n'est même pas commencé"

Estelle demande "Tes mains sont bien attachée ?

- Oui, c'est parfait, je ne peux pas me libérer, c'est juste que je m'inquiète un peu.

- Cela fait partie du jeu, répond Estelle souriante."

Elle serre les genoux de sa copine l'un à l'autre et les lui attache  les cordes, Isabelle est attachée de telle  manière qu'il lui serra difficile de se défaire.

Estelle s'agenouille pour faire les chevilles, Isabelle se met à gesticuler, autant que les liens de ses genoux les lui permettent ".
"Je ne peux pas parcourir le bâtiment comme çà, ce n’est pas évident, les liens sont trop serrés et je ne pourrait pas me redresser.


- Oh, dit Estelle, tu ne croyais pas t'en tirer comme çà, je vais faire de toi, une vraie demoiselle en détresse, pas de demi mesure."

Estelle prend les chevilles d'Isabelle vers elle, menaçant de faire tomber sa copine.
 "fais attention, je n'ai plus mes mains pour me rattraper, dit en riant Isabelle" Estelle serres bien les chevilles de sa copine l'une à l'autre et les attaches solidement grâce à de multiples tours autour des chevilles. Puis elle tire vers le haut les chevilles d'Isabelle pour les attacher à ses  poignets. Elle n'a alors plus la possibilité de rdéplier ses jambes.


Elle se lève et ouvre un tiroir.

Isabelle se dodeline, tirant sur ses liens, "regardes moi, je suis une vraie demoiselle en détresse.

- Pas encore, il te manque un bâillon, Estelle sort un rouleau d'adhésif noir  de son tiroir.
"Ferme la bouche ma petite did."


Isabelle s'exécute, Estelle lui barre la bouche avec le scotch et fait plusieurs passage sur sa bouche pour la réduire au silence.

"Voila, ma petite, tu vas rester dans cet état jusqu'à ce que je revienne".
"Finalement, je préfère que tu reste en place au milieu du couloir".


Isabelle gémit en hochant la tête, "mmphhhhhhhh".

Estelle ouvre la porte de leur chambre "Je te dépose à quelques pas de  la porte, à toi de rentrer toute seule dans la chambre. Débrouille toi"

Isabelle sautille pour sortir, aidée par Estelle qui la soutien, pour qu'elle puisse se rendre dans le couloir.
Elle regarde à gauche puis à droite pour voir si personne n'est là et sautille  jusqu'au milieu du couloir.
"La distance n'est pas grande, tu vas pouvoir y arriver toute seule".


Estelle la regarde se contorsionner gracieusement, puis elle disparait à un tournant du couloir.

Trois quart d'heures après, Isabelle a réussi à ramper jusqu'à la porte, elle pénètre dans la chambre et voit au pied du lit une ardoise. il y est écrit:
 "Désolé, j'ai dû partir précipitamment, mon petit copain est revenu à l'improviste et m'a donnée rencard chez lui, je ne pouvais t'attendre plus longtemps, passe un bon weekend end"

Isabelle n'a plus qu'une seule solution s'allonger sur son lit et attendre sagement que quelqu'un vienne la déliver.

Heureusement pour elle, son lit est trés bas et aux prix de quelques gesticulations, elle arrive à basculer son corps ou pouvoir s'y allonger
Elle se met à pleurer car elle sait qu'elle va vivre une humiliation épouvantable et qu'une fois qu'elle sera découverte dans cette état, tous les élèves seront informés de ses pratiques sexuelles.

Mais n'ayant aucun moyen de se détacher toute seule elle se résigne et s'allonge à plat ventre sur son lit car les liens sont trop tendus pour qu'elle puisse se mettre sur le dos.

L'attente risque d'être longue car elle n'a aucun moyen d'appeler au secours. Le baillon est bien trop collant et même en poussant avec sa langue elle n'arrive pas à écarter l'adhésif de sa bouche. Elle est contrainte au silence.

Les heures passent et toujours personne.


Elle commence à avoir mal et la position devient de plus en plus inconfortable.
Il va bientôt faire nuit et toujours personne.
La hantise d'avoir à passer le week-end ainsi attachée, lui provoque une terrible torsion dans le ventre.

Une irrestible envie de faire pipi lui tenaille le ventre et elle dois serrer les dents pour ne pas se soulager sur le lit.

Les heures passent et il fait maintenant nuit. Il doit être selon ses calculs environ huit heures du soir et plus aucun espoir de voir quelqu'un arriver.

Soudain, c'est l'horreur, elle ne peut plus se contenir et doit s'avouer vaincue par sa vessie.
Elle essaye bien de se retenir, mais elle sent un liquide chaud qui coule entre ses cuisses.

C'est la honte supprème, elle vient de se pisser dessus. Elle a beau serrer les cuisses, sa vessie continue inexorablement à se vider. Elle est trempée et une grande oréole jaune occupe maintenant une bonne partie du lit.

Elle essaye de se déplacer sur le coté afin de s'allonger sur une partie sèche du lit. Ses mouvements sont génés par les liens qui sont extrèmement bien faits.

Isabelle arrive enfin à trouver un coin du lit ou elle peut essayer de se détendre.
Fatiguée et vaincue par cette nouvelle humiliation elle finit par s'assoupir.

Quelques heures plus tard, elle est reveillée par une nouvelle envie. Mais cette fois, c'est bien plus grave, car il ne s'agit plus d'une envie de faire pipi, mais d'une furieuse envie de se soulager "l'arrière train".

Elle commence à suer à grosses goutes car elle est obligée de serrer ses sphincters au maximum. La pression devient de plus en plus difficile à supporter et elle commence à regretter l'énorme ventrée de tagliatelles quelle a englouti hier au soir. Comme depuis elle n'est pas allé aux toilettes, le petit déjeuner et le repas de midi ne font qu'empirer la chose.
Elle a le ventre plein et elle comprends qu'elle ne pourra passer la nuit sans se soulager.

Isabelle sent bien qu'elle ne va pas pouvoir se retenir bien longtemps. Elle se mord les gencives pour essayer de ne plus penser, mais au fond d'elle même, Isabelle a déjà accepté la terrible sentence. Ce n'est qu'une question de temps.
Aprés un bonne heure de lutte, elle capitule et s'effondre en larmes en constatant que ses sphincters viennent de lacher. Elle sent son anus se dilater pour laisser le passage. Rien ne pourra plus arréter ni contenir cette expulsion qu'elle a essayer de retarder au maximum.

Elle se glisse sur le coté pour essayer d'évacuer ses excréments le mieux possible. Mais cette manoeuvre la fait glisser du lit et dans un vacarme assourdissant elle tombe de tout son poids sur la moquette de la chambre.

Son rectum continue à se vider et elle sent à chaque passage dans son anus les matières fécales qui viennent tacher le sol.

Isabelle ne sait plus comment arréter ce flot continu qui lui souille le corps et qui commence à s'imprégner dans la moquette.

Elle croit avoir atteint le comble de l'horreur quand la porte de la chambre s'ouvre et elle voit en face d'elle le visage éffaré d'Estelle, qui découvre le spectacle hallucinant d'Isabelle au sol couverte de ses propres déjections et qui se tortille dans tous les sens pour tenter de stopper cette "hémoragie rectale".

"Mais c'est quoi ce bordel" dit-elle

"Je m'en vais simplement quelques heures et tu en profite pour jouer à la petite fillle qui ne sait pas se retenir".

Elle détache rapidement Isabelle et l'envoi se laver. L'odeur est épouvantable dans la chambre et il va falloir tout nettoyer avant lundi.

Estelle attend Isabelle dans le couloir et lorsqu'elle la voit revenir propre, elle lui annonce qu'elle va devoir tout nettoyer.

"Va chercher de quoi nettoyer ta merde et commence immédiatement, moi, je m'en vais pour de bon".

Le week-end sera pour Isabelle effectivement trés long.







Par Plume - Publié dans : bizutages
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus