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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:29
 
Exposition
 

Au cours de ce séjour dans un pays nordique, Rodolphe et Valeria étaient logés dans la belle villa d'une connaissance de Rodolphe. Un vaste jardin s'étendait devant les grandes baies vitrées de la maison. Seules quelques haies séparaient l'habitation du voisinage mais, comme c'est l'usage dans ces pays aucune clôture n'en interdisait l'entrée. Rodolphe avait remarqué que deux jeunes garçons, deux frères vraisemblablement, dont l'aîné devait avoir tout juste douze ans ne cessaient de passer à bicyclette devant la maison; curieux de savoir quels étaient ces deux étrangers et certainement attirés par la beauté de Valeria.. Une idée vint à Rodolphe. Il la confia à Valeria qui l'accepta sans hésiter même si elle appréhendait un peu la nouvelle épreuve qui l'attendait.

Rodolphe lui confectionna un bandeau qui lui couvrait complètement les yeux mais deux trous habilement dissimulés dans les plis du tissus permettaient de voir autour de soi sans qu'on puisse soupçonner que la personne dont les yeux étaient bandés voyait parfaitement ce qui était devant elle. Rodolphe appliqua ce bandeau devant les yeux de Valeria puis il lui demanda de se dévêtir totalement. Lorsque la jeune fille fut nue, il lui attacha les poignets avec une corde qu'il fit passer dans un anneau qu'il avait remarqué au plafond près de la large baie vitrée. Il tira sur la corde et la fixa solidement. Droite et nue, Valeria sentit ses bras s'élever au-dessus de sa tête. Sans défense, elle était dès lors entièrement livrée au regard de toute personne qui serait passée dans le jardin à proximité de cette baie. Rodolphe lui annonça qu'il allait s'absenter mais qu'il serait bien étonnant qu'elle ne reçût pas de visite avant son retour.

Pendant de longues minutes, Valeria demeura là, se sentant totalement exposée sans avoir la possibilité de faire le moindre geste pour se cacher si quelqu'un se présentait là devant elle. Cette idée lui parut troublante comme si elle attendait secrètement qu'on la vît ainsi toute nue.

Effectivement, un quart d'heure plus tard, elle aperçut des ombres qui bougeaient près de la fenêtre. Ce devaient être les deux garçons qui s'étaient aperçus du départ de Rodolphe et qui venaient rôder autour de la maison à l'affût de quelque surprise. Ils ne furent pas déçus. En voyant que la belle femme nue qui était liée par cette corde avaient un bandeau sur les yeux, ils s'enhardirent en pensant qu'elle ne les voyait pas. A pas de loup, ils s'approchèrent et se placèrent devant la fenêtre, regardant avidement le troublant spectacle qui leur était offert. Valeria éprouva alors un intense sentiment de honte : elle était livrée aux deux jeunes garçons sans pouvoir se dérober à leur vue. Elle les voyait la voir, la détailler sans pouvoir un instant se soustraire à cet examen humiliant. Elle une grande fille, une adulte, se sentait considérablement gênée d'être ainsi comme un objet devant ces deux gamins qui n'avaient probablement jamais vu une femme totalement nue. Ils regardaient ses seins, ses cuisses et surtout son ventre et le triangle blond de son sexe. En même temps que la honte, un sentiment sourd s'emparait d'elle. Incontestablement elle éprouvait une sorte de plaisir à ne plus s'appartenir. Elle sentit monter en elle une étrange excitation et voici que sans qu'elle puisse le contrôler un violent orgasme s'empara d'elle. Même si les deux garçons ne comprirent pas quelle émotion la traversait, ils ne purent manquer d'apercevoir les mouvements voluptueux qui secouèrent alors son corps.

Comme elle reprenait son souffle, elle vit soudain les deux gamins disparaître. Ils avaient entendu la voiture de Rodolphe qui revenait. Ils allèrent se cacher derrière un buisson à quelques pas de là, bien désireux de continuer à se délecter de l'aubaine qui leur était offerte.

Sans détacher Valéria, Rodolphe lui demanda comment les chose s'étaient passées. Elle lui raconta la visite des deux garçons et le plaisir qu'elle avait éprouvé à être ainsi livrée à leurs regards avides. Rodolphe lui déclara qu'elle méritait une sérieuse punition qu'il allait lui administrer immédiatement. Pendant qu'il allait chercher le fouet, elle aperçut les gamins mal dissimulés derrière les arbustes. Ils allaient donc assister à son châtiment. Quelques minutes plus tard, elle hurlait sous le fouet et comme la porte était légèrement ouverte, les deux petits voyeurs devaient entendre nettement ses cris. A la pensée du spectacle qu'elle leur offrait ainsi de son corps voluptueusement tordu sous la morsure du fouet, elle atteignit un second orgasme encore plus violent que le premier.

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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:28
 
Le vieillard
 

En chemin, Valéria songeait à la nouvelle épreuve qui l'attendait et qui lui avait été présentée par Rodolphe comme une bonne action. Ils se rendaient chez un vieillard que ses infirmités clouaient sur un fauteuil roulant. Depuis bien longtemps il n'avait approché aucune femme et précisément Rodolphe demandait à Valéria de lui offrir sa jeunesse, sa fraîcheur, sa beauté.

Ce fut une robuste matrone qui leur ouvrit : elle devait être une sorte de gouvernante chargée de prendre soin du vieil homme. Manifestement, elle avait été prévenue de leur visite, car elle les conduisit immédiatement dans la chambre de celui qu'elle appelait monsieur Adrien. Elle les laissa devant le vieillard qui était recroquevillé sur son fauteuil roulant, serrant frileusement autour de lui une couverture. Son visage décharné et livide semblait sans vie. De lui on voyait seulement deux mains osseuses qui étreignaient fébrilement la couverture. Son regard s'anima quand il vit la jeune femme qui accompagnait Rodolphe.

- Monsieur Adrien, permettez-moi de vous présenter Valéria!

- Bonjour, belle enfant, murmura le vieillard.

Il pria Rodolphe de s'asseoir dans un vaste fauteuil de cuir qui se trouvait près de lui et demanda à Valéria de s'approcher.

- Elle est vraiment charmante, dit-il en tournant avec effort la tête vers Rodolphe.

Valéria se sentit détaillée par son regard. Elle portait ce jour-là un petit tailleur gris très chic sur un polo rose pêche. La jupe courte laissait voir ses belles jambes presque jusqu'à mi-cuisse. Ainsi examinée longuement, elle avait le sentiment que le vieillard imaginait déjà son corps nu qu'elle allait devoir lui montrer dans quelques instants.

- J'ai grande envie de voir mieux les jolies jambes que cette petite jupe laisse voir. Voudriez-vous la retirer?

Valéria obéit et laissa tomber à ses pieds la jupe. Le vieillard admira les cuisses dorées qu'il put voir jusqu'au petit slip blanc qui couvrait le ventre de la belle fille. Il lui ordonna ensuite de retirer sa veste, puis son polo et de faire quelques pas dans la pièce.

- un corps magnifique, murmura-t-il.

Valéria se sentait exposée, mais après tout elle n'était pas plus dévêtue que si elle avait été sur une plage : le pire était à venir.

- J'aimerais bien voir ses seins déclara faiblement Monsieur Adrien.

Sur un signe de Rodolphe elle retira son soutien-gorge et toute honteuse cacha ses seins qu'elle venait de découvrir.

- Ah! non s'écria Adrien, ne nous cachez pas ces merveilles. Mettez vos mains derrière votre tête.

Valéria dut lever les bras et laisser voir ses seins fermes et délicieux. Son visage s'empourpra à l'idée de se voir ainsi exposée devant ce vieillard exsangue. Après avoir longuement admiré sa poitrine, il lui donna l'ordre de retirer son dernier vêtement le petit slip de coton blanc. Elle se tourna suppliante vers Rodolphe

- Oh non épargnez-moi cela : j'aurais trop honte!

Sévèrement Rodolphe lui répliqua qu'il n'admettait pas qu'elle refuse d'obéir et qu'il s'en souviendrait. Tremblante et presque pleurant, la jeune fille comprit qu'elle aggraverait son cas en différant davantage d'exécuter cet acte qui l'humiliait tant. Alors courageusement, elle fit glisser le slip jusqu'à ses pieds et s'en dégagea. Elle était désormais totalement nue devant Rodolphe et le vieillard. Elle n'osait pas croiser leurs yeux et regardait au loin. Le vieillard voulut l'humilier davantage et lui demanda de le regarder droit dans les yeux et de lui dire comment elle était et ce qu'elle ressentait. Elle dut prononcer ces mots qui redoublaient sa honte :

- je suis toute nue devant vous et j'ai très honte que vous me voyez ainsi.

Elle fut obligée de rester là immobile sous le regard des deux hommes : on la fit tourner sur elle-même pour qu'elle expose tout son corps, qu'elle offre son ventre, son sexe, ses cuisses, ses fesses et ses seins à leur implacable examen. Elle fut alors priée de s'asseoir sur un petit tabouret qui était placé en face de monsieur Adrien : celui-ci lui demanda de se renverser en arrière jusqu'à ce que ses mains touchent le sol, tandis qu'elle était priée d'écarter largement ses jambes. Elle se sentit alors totalement livrée aux regards du vieillard qui pouvait détailler avec ses jumelles les moindres plis de son sexe. Comme dans un rêve, elle entendit les deux hommes parler de lèvres, de vulve, de vagin et de clitoris. Elle savait qu'Adrien se repaissait de son intimité et que Rodolphe prenait plaisir à la livrer ainsi à la convoitise de ce vieillard lubrique. A l'idée de ce qu'elle leur montrait ainsi, elle sentit une soudaine moiteur s'insinuer entre ses cuisses. Une fois de plus, la vive honte qui l'empourprait se mêlait à un sentiment plus trouble.

On la fit se retourner et adopter un position semblable en appuyant son ventre sur le tabouret. Comme elle dut une fois encore écarter le plus largement ses cuisses, elle sut qu'elle ne pouvait cacher le sillon qui séparait ses fesses et le petit anneau délicat dans lequel, pour mieux marquer sa honte, Rodolphe enfonça un crayon qu'il tendit ensuite à monsieur Adrien.

Après avoir fait durer cette exposition de longues minutes, les deux hommes se regardèrent.

- il me semble, dit alors Adrien, que vous étiez tout à l'heure mécontent de cette jeune personne -

- Effectivement, répondit Rodolphe, je ne l'ai pas oublié. Valéria mérite une punition.

Il commença par ordonner à la jeune fille d'aller se mettre debout, le visage tourné vers le mur comme une écolière punie qui a été mise au piquet.

- Avant de corriger cette désobéissante, nous allons prendre un petit apéritif, proposa Adrien.

Il agita une petite clochette et quelques secondes après la robuste matrone qui les avait introduits pénétra dans la pièce. Bien qu'elle lui tournât le dos, Valéria ne put s'empêcher de rougir en pensant que cette femme sévère la voyait ainsi toute nue dans une position humiliante.

- Que désirez-vous prendre?

- Oh simplement un whisky avec un glaçon, répondit Rodolphe

- Amélie, vous apporterez donc un scotch pour Monsieur, et pour moi un doigt de porto.

- Et pour...mademoiselle ? risqua Amélie.

- Rien, bien entendu, vous voyez bien qu'elle est punie.

Lorsqu'Amélie revint avec un plateau portant deux verres, il fut décidé que Valéria allait être corrigée avec le beau fouet que Rodolphe avait pris le soin d'apporter. La jeune fille ne put s'empêcher de frémir quand elle apprit que c'était Amélie qui allait être chargée de la fouetter. Elle craignait la vigueur de cette femme et aussi l'hostilité qu'elle avait lue dans ses yeux dès qu'elle était entrée. Buvant son porto à toutes petites gorgées, Adrien indiqua l'endroit où il souhaitait qu'eût lieu la punition : il avait en effet un vif désir de voir de près la jeune fille au moment où elle se tordrait sous le fouet. Il demanda même à Rodolphe s'il était possible de lui infliger la moitié de la punition le dos tourné vers eux et l'autre moitié en leur faisant face. Rodolphe remit le fouet à Amélie en lui disant de commencer par administrer cinq coups sur les fesses et les cuisses de Valéria qui dut lever les mains au-dessus de sa tête avec interdiction de les abaisser sous peine de voir sa punition doublée.

De toutes ses forces, Amélie cingla la croupe de la jeune fille qui ne put s'empêcher de pousser un hurlement. On entendit les coups se succéder, accompagnés des cris perçants de Valéria.. Comme Amélie laissait passer quelques instants entre les coups, Valéria avait le temps de se représenter le spectacle qu'elle offrait à monsieur Adrien. Il se délectait certainement d'entendre la lanière claquer sur la peau nue et de voir ce corps délicieux se tordre de douleur. Après les cinq premiers coups, Valéria reçut l'ordre de se retourner et de regarder Monsieur Adrien pendant que le reste de la punition lui serait administré. Amélie reprit position derrière elle et recommença le châtiment. Obligée de regarder monsieur Adrien pour ne pas aggraver son supplice, Valéria put le voir guetter sur son visage et sur son corps les signes de la souffrance. Les larmes coulaient lentement sur son visage. Lorsque la correction fut terminée et qu'Amélie se fut retirée, on la laissa un long moment sangloter debout, nue et frissonnante.

M. Adrien lui demanda ensuite de s'approcher de lui : il commença par examiner la trace des lanières sur ses fesses et ses cuisses, puis délicatement il passa ses mains osseuses sur la peau meurtrie de la jeune fille. Les caresses se firent plus insistantes et on lui ordonna de décrire ce qu'on était en train de lui faire; les plus humiliantes précisions lui furent demandées. Elle s'entendit dire à haute voix :

- vous passez vos mains sur mes fesses, vous caressez mes seins, vous en touchez les pointes qui se dressent à ce contact, vous écartez mes fesses, vous introduisez votre doigt dans mon anus, vous remontez le long de ma cuisse. Vous écartez les lèvres de mon sexe. Vous introduisez votre doigt dans mon vagin; vous massez mon clitoris.

Le contact des doigts, la honte qu'elle ressentait à ces investigations qu'elle devait commenter, tout la plongeait dans un état second où elle ne s'appartenait plus. A sa grande honte, elle se sentit devenir toute humide sous les griffes décharnées de monsieur Adrien. Se remémorant tout ce qu'on venait de lui infliger, en pensant que belle, jeune et nue, elle était ainsi livrée à cet infirme moribond, elle sentit monter en elle une jouissance qu'elle ne pouvait plus retenir. A ses gémissements succédèrent des cris voluptueux. Pour Rodolphe, ce fut un spectacle troublant que de voir cette belle fille nue se tordre de plaisir sous la main noueuse du vieillard.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 14:25
Au théâtre
 

Depuis plusieurs jours, ils répétaient la pièce qu'ils allaient jouer dans un de ces petits théâtres érotiques qui attirent des cars entiers de touristes. Le propriétaire de la salle était une connaissance de Rodolphe : il accepta volontiers la proposition qui lui était faite d'une participation bénévole à son spectacle. Il fut donc convenu que Valéria et Rodolphe se produiraient un samedi, le jour où un car d'Allemands était attendu : quand Rodolphe décrivit le scénario, il apparut qu'un tel spectacle ne pouvait que satisfaire cette clientèle. Les différents meubles ou objets qui étaient nécessaires furent installés sur la scène.

Le moment fatidique est arrivé : nue sous son peignoir blanc, Valéria ,cachée derrière le rideau, voit se remplir la salle. Elle regarde ces hommes blonds et robustes s'installer. Leurs rires gras indiquent bien ce qu'ils viennent chercher. Et c'est devant eux que tout à l'heure, elle devra...Angoissée et impatiente à la fois, Valéria sent des images contradictoires se bousculer dans sa tête. Elle imagine déjà ce que sera sa honte quand des centaines d'yeux vont se fixer sur elle, sur son corps dénudé. En même temps, elle goûte par avance le plaisir qui accompagnera ce sentiment de honte, le plaisir de se livrer à ces inconnus, de savourer son humiliation.

Mais on vient l'avertir que le spectacle va commencer : elle se couche sur le lit, relève l'une de ses jambes de telle sorte que le peignoir révèle son genou et sa cuisse . Elle prend le livre qu'elle est censée lire (il s'agit de Justine ou les Infortunes de la vertu), puis elle appuie sur le bouton du petit magnétophone. On entend une douce musique sensuelle et envoûtante. Pendant ce temps, l'obscurité se fait dans la salle.

Lorsque le rideau se lève, elle sent que plus rien ne la sépare de la salle et qu'on la regarde même si ainsi couchée en train de lire, elle ne voit pas les spectateurs. Elle sait qu'on l'examine, qu'on observe ce qui est déjà visible de son corps dans l'attente impatiente de son total dévoilement. Elle entend le silence, les respirations un peu haletantes. Elle savoure ce moment où rien ne s'est encore produit, où elle pourrait s'imaginer seule dans une chambre bien fermée, puis au bout de quelques instants, elle se lève lentement, va se placer devant le grand miroir qui est tourné de trois-quarts vers la salle et qui reflète son image ; elle-même aperçoit dans le miroir quelques visages qui se perdent dans l'obscurité.

Lentement, elle écarte les pans de son peignoir pour dénuder sa poitrine. Désormais ses jolis seins fermes se reflètent dans la glace et tous les spectateurs peuvent les voir. En les caressant, elle peut sentir sous sa paume leur pointe se durcir. Puis elle défait la ceinture de son peignoir : on entrevoit déjà le reste de son corps, mais c'est le geste suivant qui est attendu par la salle. Valéria fait glisser le peignoir de ses épaules et le laisse tomber à terre. La voici totalement nue devant une centaine d'hommes excités par cette troublante vision. Elle imagine ce qu'ils peuvent voir : son dos voluptueux qui glisse délicieusement vers une charmante paire de fesses rebondies, ses longues cuisses satinées encore dorées de l'été. Ils peuvent aussi voir son ventre et sa toison blonde dans le reflet du miroir. C'est là que maintenant se portent ses mains. Toute troublée de se sentir ainsi totalement exposée devant tous ces hommes, elle pose sa main vers son sexe, s'insinue entre les lèvres déjà tout humides et ne peut s'empêcher de frissonner de plaisir à ce contact.

Pendant ce temps, sans faire de bruit, un homme vient d'entrer. C'est Rodolphe, qui après l'avoir contemplée silencieusement quelques instants éteint l'appareil. Au moment où la musique s'arrête, Valéria se retourne surprise. Rodolphe s'écrie : "Eh bien, c'est du joli!" Menaçant, il s'avance vers la jeune fille qui recule, terrorisée. De ses mains elle cache ses seins et son sexe. Toujours nue et craintive, pleine de honte, elle tente d'échapper à l'homme âgé - tuteur ou parent- qui implacablement se rapproche d'elle.

Lorsqu'ils arrivent sur le devant de la scène, il se saisit de son bras. Valéria tombe alors à ses genoux en implorant sa clémence. Mais l'homme la relève et la conduit vers le lit où il s'assoit en tenant toujours fermement la jeune fille. Il la force alors à s'allonger sur ses genoux. Pendant quelques instants la jeune fille reste immobile dans cette position et a le temps de se représenter le spectacle qu'elle offre. Nue et immobilisée, elle sent que ses fesses sont maintenant l'objet de toutes les attentions. Chacun de ces hommes pense à la fessée cuisante qu'elle va recevoir. Il désire sa souffrance et son humiliation.

Avec vigueur, Rodolphe lance une première claque qui retentit sur la peau nue. Valéria ne peut s'empêcher de gémir. Les claques sont espacées : entre chacune, Valéria songe à ce qui se passe et dont elle n'avait jamais rêvé dans le plus fou de ses fantasmes. Une centaine d'hommes la voient recevoir une cuisante correction sur ses fesses nues, jouissant de sa nudité et de ses plaintes. Les fesses lui brûlent mais une sournoise humidité s'insinue aussi entre ses cuisses. La punition dura bien une dizaine de minutes : en tout cas, elle parut fort longue à Valéria qui pourtant n'était pas contrariée de la sentir se prolonger ainsi. Rodolphe s'est relevé, la laissant allongée sur le lit, encore haletante et gémissante. Elle se sent bien ainsi : ses fesses toutes rouges sont exposées au public et elle éprouve du plaisir à se laisser voir ainsi, à abandonner son corps à tous ces regards avides.

Mais voici que Rodolphe lui demande de se retourner et de continuer ce qu'elle était en train de faire lorsqu'il l'avait surprise. A sa grande honte, elle dut relever ses jambes, les écarter le plus largement possible, puis porter sa main sur son sexe déjà humide. Elle n'eut pas de peine à ouvrir les lèvres de sa vulve que le plaisir naissant rendait toutes tendres. Elle pensa que les spectateurs qu'elle ne voyait plus pouvaient maintenant contempler l'intérieur de son sexe rose. A cette idée, elle se porta vers son clitoris qui déjà durcissait. Son doigt ferme le fit se dresser un peu plus tandis que des gémissements de plaisir commençaient à se faire entendre. Sans oublier qu'on la regardait avidement, elle se laissa envahir par son plaisir que le souvenir de tout ce qui venait de se passer rendait encore plus troublant. Elle sentit bien qu'elle ne pourrait plus retenir l'onde de volupté qui la submergeait et qu'elle allait crier sa jouissance devant tous ces hommes. Elle connut alors le comble de la honte et du plaisir et hurla son orgasme sans retenue.

Quelques instants après, elle se releva, le feu aux joues, pour venir saluer avec Rodolphe, au milieu d'un tonnerre d'applaudissements.

Par Plume - Publié dans : bizutages
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Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 22:48
Le bizutage de Sarah a été décidé par les filles de l'internat. Sarah est une nouvelle qui vient de la ville et qui depuis plusieurs mois nargue les petites "villageoises" avec ses tenues et vêtements de grands couturiers. Certaine de sa condition sociale élevée, de son physique et de son grand pouvoir d'attraction, elle impose sa présence à toutes qui ne peuvent rivaliser devant elle.

Bien évidement cela provoque des jalousies et des rancoeurs qui commencent à bouillir dans la tête de la plus part des "pensionnaires".

Irène est une paysage au caratère bien trempée. Elle est petite, boulote, sans aucun charme et quand elle rentre chez elle une des rares occupations qu'elle peut est autoriser à faire, c'est de s'occuper des vaches !!!!

Un soir ou les filles complotent en secret le futur bizutage de Sarah, Irène se lève est explique son point de vue:

" La richarde, elle a le même cul que nous. Foutons la à poil et elle verra que sans ses superbes habits, elle est comme tout le monde . On n'a qu'à la ligoter pendant une journée, ça lui rabattra son caquet"

"Bravo, bonne idée" reprend immédiatement, jocelyne, la meilleure amie d'Irène.

Proposition adoptée à l'unanimté. Sarah sera donc bizuté par toutes les filles qui lui feront subir une mise à l'air publique et elle sera attachée à poil dans la salle de lecture pour que toutes les internes puissent provoquer du spectacle.

Le mercredi suivant, les externes ayant rejoint leurs foyers, seules restaient sur place les internes. Les cent cinquante filles avaient été prévenu par bouche à oreille du bizutage de Sarah et un groupe de dix bizuteuses avaient été désignées pour s'occuper d'elle.

A la fin du repas, Sarah quittait le réfectoire pour regagner sa chambre. Le groupe des filles
suivi Sarah et une fois dans le couloir, Sarah fut kidnappée pour être emmené de force dans la salle de lecture.

Elle se débattait pour essayer de se délivrer mais chaque fille lui tenait une main ou une jambe et les autres l'avaient soulevé pour la porter dans la salle.

Elle fut plaquée au sol et Irène commenca à lui dégraffer et entre-ouvrir sa superbe jupe de velours.Elle portait une magnifique culotte de satin rouge.
 Elle ouvrit aussi son chemisier blanc qui laissait entrevoir un superbe soutien gorge en dentelle rouge.

Une des filles tirait sa jupe vers le bas pendant qu'une autre lui enlevait son chemisier. Sarah était maintenant en slip et soutien gorge.

"A poil et tout de suite" lui dit Irène sur un ton qui ne souffrait pas la discution.
"Donne ton soutien gorge".

Sarah se mit à pleurer en essayant de protester, mais rien ni fit, les filles attendaient qu'elle enlève son soutien gorge.
Comprenant que si elle ne s'exécutait pas elle allait certaienement le récupérer tout déchiré, elle commenca à le dégraffer dans le dos et soudain elle laissa entrevoir sa lourde poitrine pour une fille de son âge.

"Maintenant, la culotte" enchaina Irène.
Sarah, laissa tomber par terre son soutien gorge et mis ses deux mains de chaque coté de sa superbe culotte rouge.
 Elle se tourna pour l'enlever prestement et une fois passée sous ses pieds elle se retourna en mettant une main devant son pubis et une autre devant ses seins.

Jocelyne ramassa les sous vêtements et intima à Sarah l'ordre de mettre ses mains dans son dos. Rouge de colère et de honte, elle se forca à obéir.
Les filles pouvaient admirer sans le dire le corps superbe de sarah. Ses seins étaient gros et positionnés trés haut. Les tétons étaient gros avec de larges auréoles brunes.

Son pubis était recouvert d'un magnifique duvet trés léger et tondu depuis peu qui ne cachait absolument pas son sexe. On pouvait voir la fente rosée et les grandes lèvres serrées qui essayaient de dissimuler  l'entrée de son intimité la plus secrète.

Les mains une fois derrière le dos, Jocelyne passa derrière elle et lui attacha les mains dans le dos provisoirement.

Sarah reste debout face aux filles qui commentent à haute voie la grosseur de ses seins et sa toison taillée avec soin.

Jocelyne place un tabouret au milieu de la pièce et  force Sarah  à s'allonger sur le dos. La position est trés inconfortable et  les filles doivent l'aider à se maintenir sur le tabouret pendant qu'Irène  commence à l'attacher.

Sarah se retrouve trés vite les jambes ouvertes et les chevilles attachées à chaque pied du tabouret. Elle ne peut plus cacher son sexe à la vue des filles, car il lui est maintenant impossible de serrer les jambes.
Les bras eux aussi sont attachés aux pieds du tabouret. Sarah se met à crier pour essayer d'intimider les filles. Elle espère obtenir du secours.

Myriam détache son serre tête en velour rouge et décide d'en faire un baillon. Elle le passe derrière la tête de Sarah et serre trés fort en lui faisant ouvrir la bouche.
Maintenant baillonée, Sarah ne peux plus qu'émettre de petits sons inaudibles du couloir.

Iréne finit son ligotage en prenant une autre grande corde et elles fait de nombreuse boucles autour de la taille de Sarah qui se trouve ainsi plaquée sur le plateau du fauteuil, dans l'impossibilité de se redresser.


Les filles décident maintenant d'appeler toutes les internes pour venir contempler Sarah à poil.
Une des bizuteuses sort de la salle pour aller chercher les autres filles. Au bout de quelques minutes toutes les internes sont informées que Sarah est attachées toute nue dans la salle de lecture.

Le défilé commence et Sarah, la tête en bas, voit arriver à l'envers des visages hilares. Elle ne sait pas comment cacher la honte qui lui tenaille le ventre. Elle n'arrive pas à maintenir ses jambes serrées et elle doit exposer ainsi son sexe, écarté, visible par toutes et subir les commentaires les plus déosbligeants.

Certaines filles, plus vindicatives lui pincent le bout des seins ou lui titille le clitoris.
L'une d'elle commence même à la masturber, mais devant la réaction de Sarah qui se met à gigoter dans tous les sens, elle s'arrête bien trop vite au gout des autres filles.





Irène qui souhaite que l'humiliation soit totale a décidé de modifier la position de Sarah. En se faisant aidée par Jocelyne et une autre fille, elle détache les pieds de Sarah et lui remonte les genoux vers la poitrine.

Sarah se retrouve avec les jambes encore plus écartées. Irène a parfaitement  attaché ses genoux  qui sont maintenant plaqués sur la poitrine de Sarah.

Cette position encore plus humiliante, permet de ne plus rien cacher du sexe de Sarah.
On voit parfaitement ses grandes et ses petites lèvres bien roses.
Le petit triangle de poils qui lui sert de protection ne cache absolument rien: Elle est nue et ne peut rien dissimuler.

Même son anus est bien visible.

Comme elle est intégralement rasée entre les cuisses et aussi entre la raie des fesses, la petite rosette de son anus hexibe sa nudité avec impudeur. Les commentaires des filles recommencent et cela est le plus difficile à supporter.

" son trou du cul est vierge" dit l'une d'elle.
"On va vérifier" dit une autre. Elle mouille son index dans sa bouche et le presse immédiatement  sur le petit orifice de Sarahqui se contracte de peur.
La fille à l'air de s'y connaitre car elle commence à faire tourner son doigt sur l'orifice qui commence à s'ouvrir petit à petit.

D'un coup sec elle décide de forcer le passage et, en même temps que Sarah pousse un cri de honte et peut-être de douleur, son index pénètre entièrement dans le cul de Sarah.

Les filles applaudissent à tout rompre.

"La voila dépucelèe du cul" s'écrie Irène.




Au bout d'une heure de supplice, toutes les filles ont défilé dans la salle et plus aucune d'elle n'ignore maintenant l'anatomie de Sarah.

Elles savent que tout le reste de l'année, Sarah se conduira avec moins d'arrogance car sinon
les filles auront vite fait de lui rappeler cette journée mémorable.

Avant de la détacher Jocelyne fait quelques photos de Sarah avec son  téléphone portable. On ne sait jamais cela peut toujours servir..........































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Jeudi 22 mars 4 22 /03 /Mars 23:50
La tradition du club des "escaladeurs freevol " est de bizuter chaque membre qui obtien sa licence d'instructeur 3ème dregré.
Cette année s'est Chantal qui a réussi son monitora et elle va devoir satisfaire à la tradition.
Le bizutage consiste à jouer pendant une journée les "houdini". Houdini était un spécialiste de l'évasion et sa connaissance des noeuds et de la façon de les défaire était extraordinaire.

Chantal subira donc son bizutage au bord du Rhone, non loin de notre camp d'entrainement.
Elle devra se délivrer sans aucune aide extérieure, des liens qui l'immobiliserons.
Jams, le spécialiste et responsable des cordages du club aura en charge d'attacher Chantal et de pratiquer un véritable "bondage" de professionnel.

Si Chantal n'arrive pas à se détacher dans un délai maximum de trois heures, elle en sera quitte pour offrir le repas à tous les membres du club. C'est la tradition.

Heureusement pour Chantal, ce week-end il fait particulièrement beau et la température est trés douce.

Pour corser le bizutage, Jams décide de mettre Chantal à poil, histoire de mettre un peu de "piquant" dans ce bizutage. Chantal est naturiste est cela ne lui pose aucun problème de se déshabiller avant que Jams commence à la ligoter.

Elle se laisse faire quand Jams commence à lui passer les cordes d'escalade autour du corps.
Il connait bien son affaire et en quelques minutes Chantal ressemble à ses japonaises que l'on voit liogotées dans les revues érotiques.


Pour donner encore un peu plus de réalisme à ce bizutage, jams attache les genoux et le poignets de Chantal avec un soin particulier. Comme le jeu consiste à se libérer sans aide extérieure, il décide de mette un baillon à Chantal, afin qu'elle ne puisse appeler de l'aide.

Une fois certain de la qualité de ses noeuds, Jams dit à Chantal qu'il va rejoindre les autres pour faire la voie d'escalade qui était prévu ce week-end.
Chantal va donc rester seule sur la berge, attachée, baillonée, avec pour seules armes:
sa connaissance des cordes et sa volonté sans limite.

Pour mieux se concentrer sur la tactique à adopter, elle se couche sur le coté afin de ne pas fatiguer trop vite.


Chantal commence à essayer de bouger lentement pour faire glisser les liens.
Mais Jams est un expert et elle constate bien vite que les liens ne glisserons pas d'un centimètre.
Elle à beau essayer de les distendre, les cordes sont bien enplace et les noeuds judicieusement placés, empèchent tout mouvement.
Chantal est entrain de réaliser qu'elle est bel et bien piègée et qu'elle n'arrivera pas à se déttacher toute seule.


Au bout d'une heure de tentatives infructueuses, Chantal doit se résigner et s'avouer vaincue.
Les moeuds sont trop solides et trop bien faits.
Fourbus par tous ses efforts pour essayer de les détendre, Chantal abandonne le combat et se couche définitivement dans l'herbe fraiche qui borde la rivière;

Elle va devoir attendre encore deux heures dans cette position, cela va être long.
Pourvu que personne ne vienne se promener par ici.
Si on la découvrait dans cette tenue, attachée et baillonée , ce serait la honte de sa vie.
Elle n'ose pas immaginer quelle serait sa réaction si cela arrivait.


Il commencait à faire vraiment chaud et le soleil réchauffait les fesses de Chantal.
Elle attendait avec impatience le retour de Jams et des autres membres du club.
Un bruit de pas, la sortie de sa somnolence. C'était les copains qui arrivaient.

" Nous avons gagné le repas" s'écria Dominique.
"Merci Chantal - Merci Chantal" se mirent à chanter les garçons.

Un grand éclat de rire général ponctua la chanson.

"Hé les gars, il serait temps de me détacher maintenant, je commence à en avoir des fourmis dans les jambes".
Bon prince Jams me détacha et sous les applaudissements du groupe, je me rhabillais.
"Ok les gars, j'ai perdu, mais j'ai le choix du resto. Comme vous êtes des vrai salopards, on ira tous chez Macdo. Ca vous apprendra à martyriser une si sympatique jeune fille".


Par Plume - Publié dans : bizutages
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